Quel est le coût moyen d’un abribus ? 100 000 $ est-ce possilbe ? Quelle(s) entreprise(s) fabrique(nt) les abribus pour le RTC ? Pourquoi n’y a t-il pas de concours auprès des artistes et designer de Québec pour la construction d’abribus originaux et distinctifs ? ….
Ça sent l’improvisation, comme le complexe Jules-Dallaire dans son ensemble… L’abribus et la signalisation commerciale y sont plaqués comme autant de garnitures de pizza.
Je pense que le positionnement des enseignes était prévu. Les supports métalliques étaient probablement là pour ça. Mais ils auraient peut-être pu déterminer un style d’enseignes pour que ce soit harmonieux.
Par contre l’abribus c’est clairement de l’improvisation. Même chose pour l’augmentation du nombre d’étages. On dirait qu’ils sont partis avec une idée, ça n’a pas marché alors ils ont faits ce qu’ils pouvaient faire. Maintenant, ils empilent d’autres affaires par dessus pour rentabiliser leur investissement. Peut-être qu’un jour ça aura l’air de quelque chose.
En tout cas ça vas bien aller avec les centre commerciaux. Eux aussi sont faits de raboutage de n’importe quoi.
La première tour du complexe Jules-Dallaire devait avoir 27 étages à l’origine. il a été descendu à 24 et ensuite à 17 par Labeaume en raison qu’il avait peur d’un effet de vampirisation pour son projet de d’Estimauville. Ce 17 étages allait être aussi l’exception car la limite allait être de 13 pour la 2e tour . Finalement la ville a réalisé que c’est pas un effet vampirique qui empêchait le développement de d’Estimauville mais simplement que le privé veut ne veut pas y aller et préfère se développer à Ste-Foy. Donc la ville a finalement changé d’idée et a permis une construction plus en hauteur en échange d’avoir de l’habitation dans les projets (et non pas seulement des bureaux)
Bref, si tu trouves que ca sent l’improvisation tout ce projet, je pense que c’est la à ville (qui a changé d’idée continuellement) que tu dois adresser tes reproches.
Heureusement ce projet final aura beaucoup plus d’allure que le projet initial.
si on trouve quelque chose « de pas correct », la moindre des choses n’est-elle pas d’en faire la critique ? dans ce cas précis, effectivement, c’est ordinaire. sans doute parce que c’est dans la ligne de l’ordinaire de cette architecture – l’édifice -, et ça ne pouvait que déboucher dans la banalité de cet abribus.
Finalement , ils auraient du faire un abribus standard, comme ça vous auriez pu vous plaindre simplement qu’il n’est pas chauffé au lieu de parlé de l’architecture. Ca aurait été moins pénible à lire comme « plaignarderie » … ;)
Vous me faites rires en disant que vous »critiquez ». La définition d’une critique est le fait d’étayer un argumentaire afin de prouver son point.
Le petite clique de cynique qui sévit ici sur le blogue se contente habituellement d’un seul mot, par exemple ici : improvisation ou banalité et puis s’en va sans expliquer le pourquoi de leur opinion.
Bah… La vie est ailleurs, l’urbanisme aussi ; il y a bien d’autres endroits où je me permets de commenter et d’émettre des idées plutôt que des opinions lancées en l’air, je l’admets. Dire que c’est banal, lorsqu’il s’agit de l’abribus, c’est une simple opinion, pas la prétention que ce soit une idée. C’est beau, c’est laid. Quant à la critique, depuis 2003 que je commente ici (si ma mémoire est bonne), je crois que je n’ai pas à rougir de mes interventions passées.
Laisse tomber Matrix… Le RTC aurait pu construire un abribus avec sièges chauffants, poignées de porte en or 24 carats, plancher de marbre italien, services de massothérapie et tu aurais eu nos habituels critiques qui seraient venu se plaindre.
-« Le services de massothérapie n’est pas adapté à la durée de mon parcours, pourquoi est-ce qu’ils n’ont pas pensé à ca ? Ca sent l’improvisation tout comme la conception de l’autobus »
C’est glissant du plancher de marbre … moi je suis juste content qu’on aie un abribus tempérer de plus. Maintenant on attend que le CHUL et Laurier Québec se réveillent.
À lire les critiques de certains utilisateurs, on pourrait croire que le RTC roule sur l’or. Or, c’est tout le contraire. On est au Québec, chers amis, pas en Allemagne ou en Scandinavie.
28 décembre 2011 à 08 h 25
Quel est le coût moyen d’un abribus ? 100 000 $ est-ce possilbe ? Quelle(s) entreprise(s) fabrique(nt) les abribus pour le RTC ? Pourquoi n’y a t-il pas de concours auprès des artistes et designer de Québec pour la construction d’abribus originaux et distinctifs ? ….
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28 décembre 2011 à 10 h 09
Ça sent l’improvisation, comme le complexe Jules-Dallaire dans son ensemble… L’abribus et la signalisation commerciale y sont plaqués comme autant de garnitures de pizza.
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28 décembre 2011 à 11 h 24
Je pense que le positionnement des enseignes était prévu. Les supports métalliques étaient probablement là pour ça. Mais ils auraient peut-être pu déterminer un style d’enseignes pour que ce soit harmonieux.
Par contre l’abribus c’est clairement de l’improvisation. Même chose pour l’augmentation du nombre d’étages. On dirait qu’ils sont partis avec une idée, ça n’a pas marché alors ils ont faits ce qu’ils pouvaient faire. Maintenant, ils empilent d’autres affaires par dessus pour rentabiliser leur investissement. Peut-être qu’un jour ça aura l’air de quelque chose.
En tout cas ça vas bien aller avec les centre commerciaux. Eux aussi sont faits de raboutage de n’importe quoi.
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28 décembre 2011 à 17 h 07
Pier Luc
La première tour du complexe Jules-Dallaire devait avoir 27 étages à l’origine. il a été descendu à 24 et ensuite à 17 par Labeaume en raison qu’il avait peur d’un effet de vampirisation pour son projet de d’Estimauville. Ce 17 étages allait être aussi l’exception car la limite allait être de 13 pour la 2e tour . Finalement la ville a réalisé que c’est pas un effet vampirique qui empêchait le développement de d’Estimauville mais simplement que le privé veut ne veut pas y aller et préfère se développer à Ste-Foy. Donc la ville a finalement changé d’idée et a permis une construction plus en hauteur en échange d’avoir de l’habitation dans les projets (et non pas seulement des bureaux)
Bref, si tu trouves que ca sent l’improvisation tout ce projet, je pense que c’est la à ville (qui a changé d’idée continuellement) que tu dois adresser tes reproches.
Heureusement ce projet final aura beaucoup plus d’allure que le projet initial.
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28 décembre 2011 à 12 h 29
Vous devez être malheureux de toujours devoir trouver quelque chose de pas correct à critiquer…
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28 décembre 2011 à 12 h 46
si on trouve quelque chose « de pas correct », la moindre des choses n’est-elle pas d’en faire la critique ? dans ce cas précis, effectivement, c’est ordinaire. sans doute parce que c’est dans la ligne de l’ordinaire de cette architecture – l’édifice -, et ça ne pouvait que déboucher dans la banalité de cet abribus.
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28 décembre 2011 à 16 h 50
Finalement , ils auraient du faire un abribus standard, comme ça vous auriez pu vous plaindre simplement qu’il n’est pas chauffé au lieu de parlé de l’architecture. Ca aurait été moins pénible à lire comme « plaignarderie » … ;)
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28 décembre 2011 à 16 h 55
et pourquoi l’un devrait exclure l’autre ? soigner le design, l’architecture, il me semble que ça va de soi.
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29 décembre 2011 à 18 h 59
Vous me faites rires en disant que vous »critiquez ». La définition d’une critique est le fait d’étayer un argumentaire afin de prouver son point.
Le petite clique de cynique qui sévit ici sur le blogue se contente habituellement d’un seul mot, par exemple ici : improvisation ou banalité et puis s’en va sans expliquer le pourquoi de leur opinion.
un mot pour vous décrire : pathétique ;)
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29 décembre 2011 à 20 h 13
Bah… La vie est ailleurs, l’urbanisme aussi ; il y a bien d’autres endroits où je me permets de commenter et d’émettre des idées plutôt que des opinions lancées en l’air, je l’admets. Dire que c’est banal, lorsqu’il s’agit de l’abribus, c’est une simple opinion, pas la prétention que ce soit une idée. C’est beau, c’est laid. Quant à la critique, depuis 2003 que je commente ici (si ma mémoire est bonne), je crois que je n’ai pas à rougir de mes interventions passées.
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28 décembre 2011 à 14 h 26
Laisse tomber Matrix… Le RTC aurait pu construire un abribus avec sièges chauffants, poignées de porte en or 24 carats, plancher de marbre italien, services de massothérapie et tu aurais eu nos habituels critiques qui seraient venu se plaindre.
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28 décembre 2011 à 16 h 54
-« Le services de massothérapie n’est pas adapté à la durée de mon parcours, pourquoi est-ce qu’ils n’ont pas pensé à ca ? Ca sent l’improvisation tout comme la conception de l’autobus »
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28 décembre 2011 à 16 h 19
C’est glissant du plancher de marbre … moi je suis juste content qu’on aie un abribus tempérer de plus. Maintenant on attend que le CHUL et Laurier Québec se réveillent.
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29 décembre 2011 à 12 h 16
À lire les critiques de certains utilisateurs, on pourrait croire que le RTC roule sur l’or. Or, c’est tout le contraire. On est au Québec, chers amis, pas en Allemagne ou en Scandinavie.
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