Jean-François Racine
Journal de Québec
Les bébés se multiplient dans la région de Québec, mais les poussettes se bousculent davantage sur les trottoirs de certaines municipalités de la banlieue nord qui possèdent un taux de natalité impressionnant.
Selon les données compilées par le Journal, Sainte-Brigitte-de-Laval compte le plus de naissances par habitant. En 2010, les chiffres de l’Institut de la statistique du Québec indiquent 26,6 bébés par 1 000 habitants alors que la moyenne québécoise est de 11,2. Au total, 123 naissances ont été enregistrées.
Développement résidentiel
Si le secteur ouest comme Cap-Rouge ou Saint-Augustin-de-Desmaures se développait à une vitesse folle il y a 30 ans, la couronne nord a désormais la cote de popularité la plus élevée chez les jeunes familles. Lac-Beauport, Stoneham, Shannon et Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier profitent de cet élan sans précédent.
* Merci à un fidèle lecteur (Fernand Trudel)
30 janvier 2012 à 23 h 34
Ouf, Ste-Brigitte c’est peut-être bien beau, mais ça commence à être loin. Je n’ai pas de maison, mais je préférerais une maison plus petite, ou en rangée, bien située plutôt que de me taper le trafic Ste-Foy-Ste-Brigitte 2 fois par jour.
Ce n’est que mon opinion, faites-en ce que vous voulez…
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31 janvier 2012 à 10 h 05
c’est sur si vous travaillez à Ste-Foy…
Mais, Ste-Brigitte vers le nouvel édifice fédéral Sur D’estimauville c’est à peu près la même distance que Ste-Foy (près de L’Aéroport) jusqu’à D’estimauville… Avec moins de circulation…
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31 janvier 2012 à 12 h 13
Pas selon google maps du moins…
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31 janvier 2012 à 13 h 06
Selon Google Maps, avec les chemins les plus rapides, Il y a 2 kilomètres de moins (et 5 minutes de moins) Aeroport VS D’estimauville que Ste-Brigitte VS d’Estimauville…
Mais, tout dépend de quels points vous partez exactement..
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31 janvier 2012 à 07 h 42
Simplement la preuve que l’humain peut-être différent d’une personne à l’autre et que tes goûts ou priorités ne sont peut-être pas les mêmes que ceux de ton collègue de travail.. moi, j’ai jamais regretté mon choix de la banlieue pour élever mes enfants.
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1er février 2012 à 00 h 42
Je ne dis pas le contraire, je parlais pour moi, je ne veux pas juger les autres qui font un tel choix.
Par contre, pour les dépenses en infrastructure (routes, écoles, aréna), je crois que les gens qui s’établissent dans les banlieues éloignées doivent assumer les conséquences.
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1er février 2012 à 06 h 11
Est-ce que tes enfants apprécient devoir faire une heure d’autobus pour aller à l’université ou au CÉGEP? Est-ce qu’ils apprécient devoir payer 30$ de taxi à chaque fois qu’ils sortent dans les bars?
Mes parents aussi n’ont jamais regretés s’être installés en banlieue, mais moi j’ai toujours détesté.
Et si tu me réponds qu’il suffit seulement de s’acheter une voiture, eh bien il est justement là le problème.
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2 février 2012 à 23 h 21
Avant de s’établir quelque part en fonction des éventuels besoins vingt ans plus tard de futurs enfants à naître dans quelques années, on pense d’abord aux besoins des futurs parents, puis de la marmaille à prévoir. Par exemple, je me suis fait construire en 2006 (pas à Ste-Brigitte tout de même, je l’admets) et mes jeunes enfants apprécient l’espace de la cour arrière, l’énorme banc de neige devant la maison en hiver, la rivière et la forêt (qui ne se changera pas en maisons car à l’intérieur d’un parc municiplal) à 5 minutes de marche. Ils commencent déjà à apprécier les pistes cyclables, et quelques années plus tard ce sera les autobus à deux coins de rue (et plein d’autres s’ils marchent 15-20 minutes comme n’importe quel jeune en forme). Quelques exemples comme ça…
J’en connais qui viennent des « banlieues lointaines » et qui, rendu en ville 20 ans plus tard, s’ennuient de leurs grands espaces, de la montagne boisée dans leur fenêtre de chambre, etc. Dès qu’ils en ont les moyens, ils y retournent s’établir. Pourquoi? parce que c’est là qu’ils étaient heureux étant enfants, et c’est là qu’ils y sont encore étant adultes. Bref, on ne choisit pas un emplacement en fonction de quelques années dans la vie d’un enfant, années où il ne sera presque jamais à la maison de toute façon…
De toute façon, pourquoi prévoir ce que pourraient vouloir de futurs enfants (qui ne verront peut-être même pas le jour) 20 ou 25 ans plus tard? les choses peuvent changer assez pour que ce qu’on a pu prévoir devienne caduc. Par exemple, autant je pouvais excécrer mon « isolement » chez mes parents lorsqu’en âge de travailler car pas d’autobus par chez moi (sauf deux le matin et deux le soir pour aller en ville ou en revenir, le semaine seulement, et même pas moyen de revenir à la maison après la moitié de mes cours à l’université), autant mon petit frère profite aujourd’hui au même endroit d’un autobus aux 20 à 40 minutes 7 jours sur 7, en plus des nombreux autobus un peu plus « express » aux heures de pointe. Jamais mes parents n’ont prévu un telle chose en déménageant là jadis…
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31 janvier 2012 à 09 h 48
Il ne faut pas oublier que ce n’est pas tout le monde qui travaille en ville!
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1er février 2012 à 00 h 43
J’ai bien pris Ste-Foy dans mon exemple, ça peut être le parc technologique, l’aéroport, le boulevard Hamel ouest, etc. Pas obligé d’être en ville « ville ».
Par contre, je serais très curieux de savoir combien de gens à Ste-Brigitte travaillent à Ste-Brigitte même…
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31 janvier 2012 à 09 h 55
Dans tous les cas, si l’on veut contribuer à faire perdurer le paradigme de la grosse maison, du terrain pour voir courir ses enfants et des 3-4 autos pour la famille, c’est normal d’aller aussi loin.
GO GO GO! :-)
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31 janvier 2012 à 10 h 07
pourtant, ça ne doit pas être juste l’attrait de la grosse maison… De plus en plus, on voit des maisons en rangée ou des condos dans les banlieues éloignées…
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31 janvier 2012 à 11 h 05
Il aurait été fort intéressant qu’on divise la ville de québec en petits secteurs de moins de 10 000 habitants (imaginez qu’on coupe tous les discricts électoraux en deux), question de pouvoir comparer ceux-ci aux municipalités environnantes qui ont à peu près cette population.
D’un point de vue de « démographie du territoire », Québec renferme une bonne partie de sa banlieue à l’intérieur de ses propres limites. Autrement dit, qu’on parle de St-Émile ou de Lac-Beauport, je les considère tous les deux à l’intérieur de la « couronne nord ». Ce n’est pas une limite administrative qui décide où comment et où se termine la banlieue. C’est au contraire une observation de l’état actuel des choses, en un moment donné.
Pour revenir à mon découpage de Québec, cela aura permis de voir où se trouve réellement les « jeunes familles » (on parle ici de naissances, alors disons sans trop se tromper qu’il s’agit de savoir où s’établissent les jeunes familles). Il y en a peut-être plus à St-Émile qu’à Lac-Beauport, ou encore dans « Neuchâtel-Est » qu’à Shannon. Un découpage assez fin permettrait aussi de donner un indice sur la préférence des jeunes familles entre des quartiers fraîchement construits (premiers occupants) ou encore plus ou moins vieux mais moins cher (car quand même « loin » en banlieue).
Finalement, outre mon intérêt pour plus de détails, j’irais même jusqu’à dire que la comparaison actuelle entre les petites municipalités entre elles est bonne, mais que les comparer avec Québec et Lévis, elles-mêmes des regroupements de villages paroisses et municipalité depuis des siècles, ne vaut pas grand chose.
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31 janvier 2012 à 15 h 04
Ça serait très facile à faire avec les données du recensement. Ce genre de découpage existe déjà en unités de 500-700 habitants ou 3000-4000 habitants…
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31 janvier 2012 à 11 h 46
Moi, ce qui me frappe, c’est l’opposition flagrante entre le profit personnel et les coûts collectifs d’un tel modèle :
D’un côté, c’est « abordable », c’est confortable à voyager (pas de feux de circulation jusqu’à Beauport… », etc…
De l’autre, d’incroyables coûts collectifs complètement négligés :
– dépendance totale à l’auto : trafic (infrastructure$), pollution (santé publique, environnement), consommation.
– toutes les infrastructures sont à construire : aréna, écoles, rues, etc. alors qu’on cherche des fonds pour rénover les arénas qu’on a déjà en ville et que des classes sont vides dans les écoles déjà construites!
– le territoire : déforestation, perte de terres agricoles.
D’un point de vue collectif (et de finances publiques!) c’est un non-sens que de poursuivre ce modèle de développement et d’occupation du territoire. Je ne dis pas qu’il faut interdire aux gens de s’installer là où ils veulent! Mais, impérativement, il faut intégrer les coûts collectifs dans ces projets domiciliaires, pour que les décisions individuelles se prennent avec les coûts réels.
Là, comme ailleurs, on privatise le profit et on collectivise les coûts.
PS : Remarquez, ça marche pareille au centre-ville : Venez pas déranger mon p’tit confort, construisez rien de neuf dans MON quartier – SURTOUT pas en hauteur! – pis fuck les coûts (collectifs)de l’étalement urbain… (soupir) :o/
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31 janvier 2012 à 12 h 00
Vrai, mais pour les écoles, je me questionne, est-ce que c’est vraiment plus cher construire une école neuve que d’en rénover une ancienne? Mise aux normes incendies, sismiques, adaptation aux handicapés… Sans compter la valeur de revente obtenue de ces immeubles dans des quartiers centraux…
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31 janvier 2012 à 15 h 07
Ça dépend de l’âge de l’école. La majorité du réseau scolaire actuel date des années 60-70
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31 janvier 2012 à 12 h 03
Procédure à suivre pour jeunes couples et futurs parents:
1) Vouloir absolument une maison neuve de deux étages avec sous-sol fini, grand terrain, trois stationnements, garage, remise, piscine, pas trop de voisins.
2) Chialer parce que ce type de maison est pas achetable en ville/banlieue.
3) Acheter un terrain à St-Clin-Clin (seulement à 25 minutes de Québec… le dimanche matin à 4h) pour des peanuts et une deuxième auto.
4) Se faire constuire une maison en carton pareille à toutes celles autour.
5) Chialer parce qu’il n’y a pas des services (écoles, arena, …).
6) Chialer pour qu’on élargisse l’autoroute entre St-Clin-Clin et Québec parce que ca commence à etre le bordel à l’heure de pointe.
7) Chialer parce que les nouveaux services minicipaux ont fait monter le compte de taxes.
8) Chialer parce que le terrain qui était vacant en arrière s’est vendu et un maudit voisin fatiguant s’y est fait constuire.
9) Commencer à regarder pour déménager à St-Clin-Client-Encore-Plus-Loin, un lieu plus paisible,m oins cher et à la mode chez les jeunes familles.
10) Rincer. Répeter.
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31 janvier 2012 à 12 h 47
Hahaha
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31 janvier 2012 à 14 h 57
C’est bien beau tout ça, mais supposons que 10% des gens de la banlieue ont soudainement l’illumination céleste, et décident que la voie de l’avenir, c’est la haute-ville, la question qui tue: On les envoie où?
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31 janvier 2012 à 15 h 26
Toute cette réflexion est déjà amorcé depuis un bon moment, le problème c’est qu’on prend peu de moyen pour y remédier ou sinon c’est que ça ne fait pas en quelques années.
Ce n’est pas une question de déplacer 5000 personnes d’un coup, ça n’arrivera jamais. Votre question qui tue est foireuse.
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1er février 2012 à 10 h 25
Je sais, je sais, les gens vont finir par comprendre…
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31 janvier 2012 à 12 h 54
Dans l’article ils mentionnent qu’il y a des jumelé pour 170 000$$. Mais où ils en ont trouvé?
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31 janvier 2012 à 14 h 51
Ici:
http://duproprio.com/jumele-a-vendre-ste-brigitte-de-laval-quebec-143741
Neuf à partir de 167 900$
Jumelés *Contemporain*, situés à 25 min. du centre-ville de Québec et vue magnifique à couper le souffle sur les montagnes. Superbe développement près du golf Alpin. Quartier est tranquille et sécuritaire.
Possibilité de n’avoir aucun voisin arrière !
167 900.00$ taxes en sus – avec voisin à l’arrière
174 900,00$ taxes en sus – sans voisin à l’arrière
Aménagé selon votre goût! Vous choisissez les luminaires, les accessoires de plomberie, les couvre-planchers et les armoires en mélamine de couleur.
Caractéristiques et inclusions :
– Plafond de 9 pieds (salon, cuisine et salle à manger)
– Couvre-planchers : Bois franc merisier, bois flottant et céramique
– Escalier en tapis
– Aspirateur central (moteur non inclus).
– Une sortie d’eau extérieure
– Peinture blanche 2 couches (blanc beige ou blanc gris)
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– Deux stationnements extérieurs
– Garantie 5 ans ACQ ou APCHQ.
– Gouttières en prime!
Roulotte de vente sur la future rue des Bruyère (près de la rue Matricaires)
Heures d’ouverture :
Lundi: 16h à 19h
Samedi et dimanche: 11h à 13h30
Construction par Les Constructions KJP inc
RBQ: 5592-1894-01
Et Les Constructions Richard Cliche Inc
RBQ: 2546-2979-01
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31 janvier 2012 à 15 h 39
Donc 193000$ avec les taxes.
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31 janvier 2012 à 16 h 32
T’a oublié la ristourne de 36 % du fédéral et de 50% du Québec
Recalcule svp.
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31 janvier 2012 à 16 h 58
« Situé à 25 minutes du centre-ville. »
Voilà le genre d’affirmation trompeuse que l’on voit trop souvent. Prenez Google Map, et il vous répondra qu’il y a 35 minutes entre Sainte-Brigitte-de-Laval et le centre-ville. Et ça, c’est dans des conditions parfaites, sans trafic et sans les lumières! Donc on peut facilement parler de 45 minutes. Toute une différence si on doit le faire tous les jours…
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31 janvier 2012 à 18 h 01
@Francis L
Bah c’est un peu comme la consommation d’essence annoncée d’un véhicule. On peut y arriver mais ca prend les conditions optimales. Ca n’en demeure pas moins vrai.
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1er février 2012 à 10 h 27
Les fameuses ristournes sont souvent « incluses » dans le prix affiché…
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1er février 2012 à 10 h 59
Pas dans ce cas
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31 janvier 2012 à 15 h 44
Faut se méfier des prix annoncés. Le cottage à 180K que m’a proposé le constructeur de ma maison a finalement couté 245K une fois que j’ai ajouté 3-4 bébelles.
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1er février 2012 à 14 h 01
Je comprends les jeunes familles d’être forcée à cet exode vers la banlieue de plus en plus lointaine sans tenir compte des vrais coûts financiers et personnels causés par cet éloignement. Quand tu achètes, surtout ta première maison, tu vis une espèce d’euphorie qui ne te fait voir que les « bons côtés ». Tu achètes du même coup, tous les arguments qui viennent avec : à 25 minutes du centre-ville, par exemple…
Ce que tu veux d’abord, c’est une maison à coût abordable (il n’y en n’a plus en ville) et qui répond à tes besoins du moment : unifamiliale avec terrain et quartier de jeunes familles. Déjà, le couple possède deux autos, c’est donc un élément qui n’entre pas en ligne de compte.
Après un certain temps, (généralement quelques années) tu réalises que tu es loin de tout, que tu dois souper en ville si tu as une activité le soir, que tu perds un temps fou dans la voiture, que ton transport te coûte une « beurrée » et encore plus quand les enfants commencent à avoir des activités qui ne sont accessibles qu’en voiture. Et là, bang… arrive l’adolescence. Les transports se multiplient… à toute heure, de plus en plus loin… et ce service d’autobus (que tu maudis depuis des années parce qu’il te coûte cher et que tu ne l’utilises pas), n’offre soudainement pas assez de service dans ton secteur ! Une auto de plus dans l’entrée!
On aura beau faire tous les calculs qui montrent qu’il est plus coûteux de s’établir dans ces endroits, il reste que le premier élément pris en compte c’est le prix de la maison : – de 200000$ en banlieue vs ± 260000 $ (prix moyen du bungalow à Québec). Le reste… on « fait » avec ! Le jour où l’État va leur imposer de payer le véritable prix collectif de leur choix personnel, ce sera différent. (Payer les immeubles : écoles, garderies, CLSC et le gouvernement fournit le service.)
J’ai vécu un quart de siècle dans un bungalow city de l’Ouest de l’agglomération avant de me ramener à trois kilomètres du centre-ville et de mon travail avec parcours Express et Métrobus à proximité. Une seule voiture, pas de stationnement à payer au centre-ville, l’épicerie et le Cégep (pour les plus jeunes) à distance de marche, kilométrage largement diminué… Ce que ma maison m’a coûté de plus est largement compensé par les économies réalisées et les avantages de vivre en ville et de vivre LA ville car en banlieue, on ne revient pas souvent en ville le soir venu.
Reste que je n’aurais jamais pu me la payer avec la mise de fonds dont dispose un jeune couple pour sa première maison. Facile de critiquer cet étalement, pas facile d’y remédier… Ce n’est pas la Cité Verte avec des maisons de ville à plus d’un demi-million de dollars qui est la solution.
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2 février 2012 à 00 h 05
C’est pas seulement une question de prix… mais aussi de disponibilité. Par exemple, disons qu’il s’est construit 500 maisons en « banlieue plus loin » autour de Québec l’an dernier… en reste-t-il encore autant à vendre dans la « banlieue plus proche »? non… Alors même si le prix n’était pas plus élevé proche de la ville, il faudrait aller construire ailleurs quand même. Évidemment, on pourrait dire qu’il y a des terrains libres plus « proche » que Ste-Brigitte où on pourrait construire, mais cela tient de toute autres questions: périmètre d’urbanisation, zonage, et pourquoi vouloir être « proche » du centre-ville de toute façon? est-ce qu’on reproche aux gens d’Armagh d’être loin du centre-ville?
Quant à imposer de payer le « véritable prix collectif » (expression démagogique à la mode) on pourrait plutôt imposer une taxe de « congestion des services », ce qui serait tout aussi insensé. Par exemple, tu demeures près d’une école mais tu n’as pas ou tu n’as plus d’enfants d’âge scolaire? alors soit tu déménages pour laisser ta place au suivant, soit on te fais payer le « véritable prix » pour permettre à quelqu’un de s’établir là où s’est possible.
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