La Commission travaille actuellement à l’édification du mur mémoire Cartier-Roberval au pied de la falaise qui a vu naître la première colonie française d’Amérique.
À la suite des éboulis de la falaise de Cap-Rouge survenus en août 2003, la Ville de Québec a réalisé des travaux temporaires afin de sécuriser le secteur du chemin de la Plage-Jacques-Cartier localisé au pied de la falaise. Lors de découvertes archéologiques en 2005, la Commission s’est engagée à consolider la falaise auprès de la Ville. Le mur mémoire Cartier-Roberval constitue une partie de ce dispositif de consolidation.
3 février 2012 à 18 h 34
L’acier n’est pas peint. Est-ce qu’il y a un risque qu’il se dégrade rapidement à cause de ça?
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5 février 2012 à 10 h 30
Il est déjà corrodé. On dirait le même genre de matériau que sur « La facade apprivoisée ».
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7 février 2012 à 11 h 49
Il s’agit d’acier corten, un acier qui s’oxyde très rapidement sur sa face exposée, mais dont l’intérieur résiste extrêmement longtemps. Ce look oxydé confère un certain charme et ce n’est surtout pas une visée pour que l’oeuvre soit éphémère, au contraire.
Il s’agit effectivement du même acier que celui utilisé pour l’immeuble de la « Falaise apprivoisée », mais aussi pour l’oeuvre-fontaine « Éclatement II » de Charles Daudelin devant la Gare du Palais.
Pour en savoir un peu plus sur l’acier corten, voici un lien:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Acier_Corten
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6 février 2012 à 09 h 35
J’ai déjà lut sur le net que tout les métaux corrode, même l’acier inoxydable et l’aluminium. Mais, seul le fer rouille. L’acier inoxydable s’oxyde en formant une couche transparente et résistante qui protège le métal qu’il y a en dessous. Peut-être que dans ce cas c’est un alliage spécial de fer qui produit de la rouille protectrice.
Ou encore, ils font par exprès pour que ce soit « éphémère ». J’espère que ce n’est pas le cas. Dépenser pour faire un aménagement urbain dans un matériel choisi spécifiquement pour ne pas résister au passage du temps, je trouve ça… spécial…
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