Source : Radio-Canada
Le maire a par ailleurs annoncé que les citoyens pourront suivre l’évolution des travaux sur le web. Deux caméras seront installées et les images seront disponibles sur le site Internet de la Ville.
« On sait que les gens vont vouloir aller sur place. Les deux caméras vont être là en permanence pendant trois ans, alors c’est assez simple, ils vont aller sur Internet et ils vont pouvoir passer des heures à regarder le monde travailler », a dit le maire.
La maquette extérieure du bâtiment ainsi que le nom du nouveau directeur de projet devraient être dévoilés lors de prochain comité plénier, à l’automne.
16 juin 2012 à 09 h 04
C une bonne chose que les gens vont pouvoir suivre le deroulement des travaux sur le web, mais le maire me fait peur quand il dit que l’amphitheatre, peut etre en plastique ,en pvc ,en n importe tant que le budget soit respecté, j espere qu on aura pas un stade exterieur de la beauté du colisée pepsi.C est ben beau vouloir respecter le budget de 400m mais pas a n importe quelle décision stupide qu’ on va regretter pendant 40 ans, déja que pour decontaminer le terrain ou était supposer aller le stade, on a laissé tombé a cause du 40m et la on a un emplacement douteux et pour le coté urbanisme du coin,on s en passera, mais bon j espere que j aurai pas raison.Anyway, on verra bien mais j espere qu il va pouvoir reprensenter une certaine fierter pour la ville de québec et le québec.
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16 juin 2012 à 22 h 53
Le budget est de plus de 400 millions.
Loto-québec donne le Ludoplex (valeur de 40 à 50 millions). Et ce en plus du 400 millions déjà annoncé.
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16 juin 2012 à 09 h 46
Le pvc ça fait de très beaux stades, Sauf que c’est fragile. À Pékin le « Cube d’Eau » est fait comme ça. À peine construit il fallait déjà réparer une des bulles de PVC qui s’était déchirée… J’espère qu’on privilégia des matériaux vraiment durables.
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16 juin 2012 à 10 h 05
C’est justement l’astuce. Pour l’amphi, il semble que le $400 millions soit couler dans le béton. Donc impossible de faire d’énorme profit
grâce au dépassement de coût. L’astuce, prendre des matériaux
plus « cheap » pour ensuite sur-facturer les réparations.
Un vieux truc.
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16 juin 2012 à 12 h 13
J’ai vu une émission portant sur la construction du « Cube d’Eau » et on aurait dit que ce revêtement était conçu pour se briser souvent. Tellement que « ça allait de soit » (selon les ingénieurs) qu’une équipe soit payer à temps plein pour entretenir les bulles de plastique. Actuellement je ne crois pas qu’on aie un édifice à Québec qui a besoin d’un tel soin de son revêtement extérieur.
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