(…) La CSQ réalisera un immeuble à usage mixte, commercial et surtout résidentiel, en plus de construire près de 300 stationnements souterrains, dont la moitié, à des fins publiques. La Ville, quant à elle, réalisera la place publique ainsi que les travaux de rénovation et d’agrandissement de la bibliothèque Gabrielle-Roy en conformité avec les orientations élaborées lors de l’événement Québec horizon culture (…)
28 juin 2012 à 21 h 56
150 stationnements pour 100 condos, ce n’est pas beaucoup? C’est-à-dire qu’ils calculent que la moitié des condos auront une voiture, et l’autre moitié 2? Je veux bien croire que ceux qui n’auront pas de voiture seront minoritaires, mais deux voitures au centre-ville, est-ce nécessaire?
Pour ce qui est des 150 stationnements supplémentaires, j’imagine qu’on parle d’ici de stationnements à la disposition des clients des commerces aux alentours? De mon côté je reste convaincu : ce n’est pas à la ville de payer pour fournir du stationnement aux commerçants. Ceux-ci n’ont qu’à le payer eux-mêmes, mais ils feraient mieux de trouver d’autres idées pour attirer la clientèle.
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28 juin 2012 à 22 h 33
Il y a déjà une stationnement sous-terrain. Ils le démolissent et le reconstruisent avec une tour par dessus. Je suppose que les 150 stationnements restants sont pour remplacer ceux qui seront démolis.
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28 juin 2012 à 22 h 38
De ce que je comprends du communiqué:
« construire près de 300 stationnements souterrains, dont la moitié, à des fins publiques. »
150 stationnements publics: loués à l’heure ou à la journée à n’importe qui…
150 stationnements privés: Loués (ou vendus??) aux résidents ou aux employés des entreprises locataires de l’immeuble… Donc, pas 2 véhicules par condo…
Et, de ce que je comprends, le stationnement est l’affaire de la CSQ et non de la ville…
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28 juin 2012 à 22 h 19
Excellentes nouvelles! Enfin, il n’est pas trop tôt!
Vivement la réalisation du projet!
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28 juin 2012 à 23 h 08
Hâte de voir si ils vont installer la grue cette hiver 2013!!! Ça vas vraiment commencer cet automne??
On verras!!!
Tk jsuis ben content que ça débloque ce quartier, vas juste rester à Gm Développement à construire comme cette construction.
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29 juin 2012 à 21 h 30
J’ai entendu dire que le début des travaux pour cet automne n’est qu’une rumeur qui est partie de nul part. Ils ne sont encore qu’au stade d’élaboration du concepte.
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30 juin 2012 à 22 h 09
ah bon on vas attendre, annyway ce projet est loin d’aboutir. LOL
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30 juin 2012 à 22 h 29
Administrer une Ville est compliqué, très.
Patience, longueur de temps, respect. Des centaines d’opinions. Des milliers de gérants d’estrade. Et Québec Urbain qui fait sa part.
Un peu de patience. On va collectivement y arriver :)
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29 juin 2012 à 06 h 48
Ce projet avait été initialement offert à GM Développement qui a entrepris d’importants déboursés afin de réaliser le tout.
Plus tard, pour des raisons nébuleuses, la Ville décide de l’offrir et de signer une entente avec la CSQ.
S’ensuivent des poursuites de GM Développement envers la Ville. ( La suite viendra… )
Bon, il ne faut pas oublier que GM Développement est pratiquent le seul promoteur intéressé à investir dans St-Roch. Il ne faudrait pas l’écorcher au passage.
De l’autre côté, la CSQ ( propriétaire des lieux ) n’était pas un joueur à négliger.
Mais le dénominateur commun demeure manifestement la réalisation avec succès du PPU du centre-ville.
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30 juin 2012 à 22 h 36
Bon résumé. En passant, vous le savez sans doute, GM Développement aurait poursuivi les opposants à son projet (Îlot Irving) dans le quartier St-Jean-Baptiste. Une autre ?
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3 juillet 2012 à 22 h 55
Et ne pas oublier que GMD a été largement subventionner pour développer le novo St-Roch
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29 juin 2012 à 11 h 01
Bien hâte de voir les détails du projet, particulièrement la place publique et le réaménagement du terminus d’autobus. Il est à souhaiter que l’accès au stationnement n’occasionne pas trop de nuisances pour les très nombreux piétons qui passent par là!
Petit paradoxe, on parle de pression sur le stationnement dans le secteur, mais le nombre de voitures détenues par les ménages quartier a substantiellement baissé entre 2001 et 2006 alors que la revitalisation progressait à grand pas. Ce serait intéressant d’avoir un portrait complet du stationnement et de son utilisation au centre-ville.
Voir notre billet de blogue sur certains aspects du PPU saint-Roch: http://www.transportsviables.org/blogue/archives-chronologiques/271-des-projets-pour-saint-roch
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29 juin 2012 à 20 h 14
Enfin ça débloque!
L’auditorium de la bilbiothèque qui sera démoli, sera-t-elle reconstruite?
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30 juin 2012 à 09 h 11
Attendons de voir la première pelletée de terre. La centrale syndicale (comme toujours) a bloqué le projet durant 3 ans. Très productif!
En asie, ça aurait été règlé en 24 heures.
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30 juin 2012 à 12 h 27
d’une personne bien au fait du dossier, c’est un peu trop simple de mettre la responsabilité de retard sur le dos de la centrale syndicale.
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30 juin 2012 à 15 h 34
La ville et GM étaient prêts. C’est la CSQ qui a fait dérailler le projet.
D’ailleurs, que font des centrales syndicales dans l’immobilier et des condos? N’est-ce pas encore un détournement des cotisations?
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201206/21/01-4537357-echec-dun-projet-gm-developpement-poursuit-la-ville-de-quebec.php
…
Le projet de GM Développement prévoyait la construction d’un édifice de neuf étages attenant à la bibliothèque et l’aménagement de 500 places de stationnement. Dès 2006, le promoteur immobilier a commencé à mandater des professionnels pour mettre le projet en route, et ce, avec l’assentiment de la Ville, qui a même fait une dérogation mineure concernant la hauteur de l’immeuble.
Par la suite, plusieurs rencontres entre les deux parties ont eu lieu et elles ont continué à travailler de concert afin de réaliser le projet, allègue GM Développement dans sa requête déposée en Cour supérieure. Ainsi, la Ville approuvait les plans de construction en 2007.
«Les parties cheminaient ensemble dans le cadre de la réalisation de leur projet commun de voir à l’érection d’un édifice à usage mixte de neuf étages attenant à la bibliothèque afin d’ajouter des espaces à bureaux, un rez-de-chaussée à vocation commerciale et un auditorium pour la bibliothèque auxquels serait attenant un stationnement souterrain de 500 places», lit-on dans la requête de la demanderesse.
Mais ce n’est qu’en 2008 qu’une offre d’achat a été présentée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), le copropriétaire de l’immeuble de la bibliothèque. Jusque-là, allègue GM Développement, jamais la Ville de Québec ne l’avait informée que la CSQ, à qui elle avait accordé une préférence d’achat, pourrait éventuellement faire dérailler son projet.
Au contraire, la Ville avait travaillé activement à la réalisation du projet, confortant le promoteur immobilier dans son impression que le dossier avançait sans problème majeur. La Ville aurait même poursuivi son travail dans le dossier après que le délai accordé à la CSQ pour faire valoir son droit de préférence eut expiré, en mars 2009.
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1er juillet 2012 à 01 h 32
J’ai pas été heureux de voir la CSQ d’apposer son veto. Cependant, je ne comprend pas comment la ville s’est retrouvé dans une telle situation. Comment elle a donné ce pouvoir à un syndicat. Il fallait bien s’attendre que la CSQ impose ses règles et son monde dans le dossier. En ce sens, ils ne sont pas très différent de n’importe quelle autre organisation, à but lucratif ou non. Le syndicat devait être drôlement proche des pouvoirs publics à l’époque où on a construit cette structure. Trop à mon goût en tout cas.
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3 juillet 2012 à 22 h 58
Le rapport de l’Asie? L’Asie est en train de faire le même rattrapage d’infrastructure que nous avons eu il y a 40 ans.
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30 juin 2012 à 16 h 37
le diable est dans les détails. Et un article ne fait pas état des détails… Quant à la centrale syndicale, copropriétaire, ce n’est pas une oeuvre caritative, surtout qu’il y a un promoteur privé dans l’histoire – on fait état des cotisations, or, il faut que ça soit à leur bénéfice. financier, ou social..
en bref, nous ne sommes pas dans le secret des dieux. ainsi, le promoteur, la ville, la centrale syndicale, ça m’apparaît trop simpliste d’identifier un responsable, alors que tous se renvoient la balle, se donnent le beau rôle dans ce dossier.
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