Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’élargissement de l’autoroute Henri-IV

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 octobre 2012 29 commentaires

Source : Radio-Canada, le 3 octobre 2012

Certains députés libéraux de la région de Québec et le maire Régis Labeaume s’interrogent au sujet des intentions du Parti québécois en matière de transport et d’infrastructures routières dans la région de la Capitale-Nationale. Ils craignent notamment que le projet d’élargir l’autoroute Henri-IV à six voies ne soit compromis.

Depuis son entrée en fonction, le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a clairement laissé entendre sur de nombreuses tribunes qu’il entend privilégier les projets de transports en commun.

Or, certains craignent que la priorité accordée aux transports collectifs se fasse au détriment des grands projets d’infrastructures pour la région de Québec, comme celui de l’élargissement de l’autoroute Henri-IV de quatre à six voies.

C’est le cas du maire Labeaume. Ce dernier a rappelé lundi soir dernier à la séance du conseil municipal que l’élargissement de l’autoroute Henri-IV demeure une priorité pour la Ville de Québec. Les problèmes de circulation sur le réseau routier de la Capitale cet automne justifient, selon le maire de Québec, les futurs travaux routiers sur l’autoroute Henri-IV.

la suite

Encore des travaux majeurs à prévoir sur les axes routiers de Québec.

Une bonne partie de l’autoroute Henri-IV gracieuseté de Google Maps.

Voir aussi : Message d'intérêt public.


29 commentaires

  1. Jean-Francois Martel

    4 octobre 2012 à 09 h 07

    Tramway dans 3, 2, 1…

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  2. Marc-André

    4 octobre 2012 à 12 h 24

    En plus de l’élargissement d’Henri-IV, il y a longtemps que l’autoroute de la Capitale aurait dû être continuée jusqu’à la 40, hauteur Saint-Augustin-de-Desmaures. Avec les plans du PQ, nous reculons…

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  3. Marc-André

    4 octobre 2012 à 15 h 24

    Quoi que certains gens pensent, malgré les efforts et investissements massifs dans le transport en commun, il est inévitable que le nombre de véhicule automobile ne cessera d’augmenter avec les années. Nous voudrions bien imiter les européens, mais notre étalement et faible densité de population ne peu qu’être la cause de nos habitudes de vie en transport…

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    • Louis M.

      4 octobre 2012 à 17 h 10

      La densité et le mode de vie, ça se change!

      Le but n’est pas d’imiter les européens, loin de là. Le but est d’avoir une ville plus viable! Plus vivable, plus agréable et plus prospère! Ce n’est pas en s’endettant avec de l’asphalte qu’on va y arriver. Alors on s’inspire de ceux qui ont pris le bon virage avant nous.

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      • Vincent

        4 octobre 2012 à 17 h 39

        Tout à fait d’accord avec toi.
        Construire des autoroutes en ville c’est nourrir le monstre !

        On ne veut pas plus de place pour l’automobile en ville, on en veut moins !

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      • Manu

        4 octobre 2012 à 23 h 12

        Bon ben Vincent tu seras content d’apprendre que le tronçon d’Henri IV qu’on veut élargir (on veut rien construire de nouveau en ville) est fait partie du parcours autoroutier qui sert à contourner la ville.

        En l’améliorant, on réduira les files d’attentes de part et d’autres, puis incidemment l’envie des gens de déborder sur les boulevard pour éviter l’autoroute. C’est pas ce que tu souhaites?

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    • KarlDerGroße

      4 octobre 2012 à 19 h 01

      Y’a une phrase qui est souvent citée quand on parle d’agrandir les autoroutes et cette phrase est la suivante:

      « On ne règle pas un problème d’obésité en déserrant sa ceinture d’un cran »

      C’est peut-être plutôt le concept même des autoroutes urbaines (et non interurbaines) qui ne fonctionne pas. Quand on y pense, une autoroute en milieu urbain ça propulse des milliers de voitures qui roule à 100km/h (souvent 120km/h) sur des axes routiers qui ont une limite de 50km/h. Elles sont vouées au bouchon et ne font qu’accommoder l’étalement urbain.

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      • Manu

        4 octobre 2012 à 21 h 41

        Ce tronçon d’Henri IV supporte énormément de trafic de transit et interurbain. Alors ton analogie n’est peut-être pas la meilleure ici. Néanmoins, elle s’applique très bien à la plupart des autres autoroutes.

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      • Jfmartel

        6 octobre 2012 à 00 h 32

        On pourrait peut-etre dire qu’on règle un problème de pantalon pour enfant porté par un adulte. Ca serait plus juste. Henri-IV n’a pas été construit pour supporté un tel traffic. On répare les erreurs du passé. On parle pas de changer la 73 et la 40 par un 4 voie sur toute sa longueur.

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  4. Charles

    4 octobre 2012 à 15 h 52

    Les habitants de la capitale provinciale ont un préjugé favorable aux idées de droite, si l’on observe la constance des résultats des élections depuis une bonne vingtaine d’années.

    Dans ce contexte, il serait temps que les autoroutes soient privatisées. Le financement des élargissements serait ainsi assuré par les utilisateurs, de la même façon que l’usager du transport en commun paie pour son passage.

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    • Matrix

      4 octobre 2012 à 16 h 37

      « …de la même façon que l’usager du transport en commun paie pour son passage. »

      l’usager du transport en commun se fait financer 60% du coût réel du transport en commun, par les automobilistes, qui eux paie déjà par des taxes et impôt le coût des travaux sur les routes…

      ca ne marche pas ton affaire…

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      • Charles

        4 octobre 2012 à 16 h 59

        …Et 100% des contribuables paient pour les automobilistes, au moyen de taxes directes (impôt de trois palliers de gouvernement)+taxes indirectes.

        Vous vous plaignez avec vos autoroutes. Vous avez déjà le réseau le plus étendu en Amérique du Nord, et probablement sur la planète entière, per capita. Le pire de vos bouchons ne serait considéré que comme un simple ralentissement dans une vraie ville.

        Alors si vous voulez des élargissements, très bien, payez-les et n’en mettez plus davantage sur la dette.

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      • Louis M.

        4 octobre 2012 à 17 h 07

        «les automobilistes, qui eux paie déjà par des taxes et impôt»

        Les gens qui prennent les transports collectifs n’en paient pas eux!? Si c’est si simple d’économisez prenez le aussi! ;)

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      • Matrix

        4 octobre 2012 à 17 h 44

        @Charles : Comme Manu l’a très bien expliqué sur le même sujet il y a quelques jours, c’est pas une question d’étendre l’autoroute mais de régler un problème de conception qui cause des bouchons inutiles.

        @Louis :
        Je vais t’en apprendre une bonne, les automobilistes paie beaucoup plus d’impôt.

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      • Manu

        4 octobre 2012 à 22 h 03

        Les taxes « routières » sur l’essence (pas les taxes de vente), provinciales et fédérales, sont environ 3 milliards par année au Québec, et doivent théoriquement servir à l’entretien et le développement du réseau routier. Elles ont historiquement dépassé largement les dépenses, à part depuis quelques années où on a dû faire du rattrapage. À cet effet, les utilisateurs de la route (incluant évidemment tous les utilisateurs commerciaux et dans une très faible mesure les utilisateurs du transport en commun) financent amplement le réseau routier.

        Ce sera vrai tant et aussi longtemps qu’on roulera à l’essence. Ça peut même être un incitatif pour le gouvernement à ne PAS encourager les véhicules électrique. En l’occurence, une taxe équivalente sur l’électricité « servant au transport routier » serait pratiquement impossible à appliquer.

        Bien sûr, on peut aussi dire que les taxes routières vont dans le « pot » commun et que c’est tout le monde qui paye pour les routes via leurs impôts (ceux qui en payent pour la peine du moins). En contrepartie, il faudrait alors aussi dire qu’en mettant de l’essence on finance la santé, l’éducation et tout le reste. Il est alors futile de discuter ainsi de fiscalité puisqu’on peut dire n’importe quoi et ce sera toujours vrai.

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    • Marc-André

      4 octobre 2012 à 16 h 44

      J’aurais aimé en savoir plus sur ton opinion, car je ne vois pas le rapport avec la droite dans cette histoire. Ce n’est pas parce que la région n’a pas voté PQ qu’ils nous pousseront de force les idées vertes…

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    • Julien

      4 octobre 2012 à 22 h 29

      « Les habitants de la capitale provinciale ont un préjugé favorable aux idées de droite, si l’on observe la constance des résultats des élections depuis une bonne vingtaine d’années.  »

      Effectivement, le NPD qui a délogé les conservateurs véhicule beaucoup d’idées de droite…

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    • christian

      5 octobre 2012 à 09 h 46

      « Dans ce contexte, il serait temps que les autoroutes soient privatisées. Le financement des élargissements serait ainsi assuré par les utilisateurs »

      Après, les résidents de la haute-ville vont se plaindre parce leurs produits « locaux » vont coûter plus cher du fait que les transporteurs vont avoir à payer plus cher sur l’autoroute « privatisée » pour monter en ville…

      Et comme Manu l’a dit, l’autoroute Henri-IV n’est pas juste « la route du banlieusard de Val-Bélair qui vient travailler sur la Colline Parlementaire », on parle d’un lien autoroutier permettant de circuler entre différentes régions du Québec. Quelqu’un qui arrive de n’importe où à l’ouest de la région de Québec et qui veut se rendre au Saguenay ou sur la Côte-Nord DOIT utiliser Henri-IV.

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  5. Jp-Duval

    5 octobre 2012 à 09 h 50

    Développer le transports en commun….Je veux bien. Après tout qui serait contre la vertue!!

    Mais est-ce qu’il y a quelqu’un ici qui a pensé à regarder les couts d,opération d’un tel système.

    Le RTC coute très cher…..Cout d’entretiens, salaires, gestion etc. Cela est un frein à son développement.

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    • Louis M.

      5 octobre 2012 à 12 h 07

      Chaque dollar investi dans les transport collectif rapport beaucoup plus que l’argent dépenser dans le réseau routier. Cela a été prouvé! Donc même si ça coûte cher, ça rapporte!

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      • Manu

        5 octobre 2012 à 12 h 45

        Si c’était réellement le cas, j’imagine qu’on s’empresserait tous d’investir dans les TEC, non?

        Évidemment, ça dépend de ce qu’on entend par « rapporte », auquel cas on peut ajuster notre définition de « rapporter » pour qu’elle soit à l’avantage de n’importe quel investissement.

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      • Louis M.

        5 octobre 2012 à 14 h 33

        http://www.ccmm.qc.ca/documents/etudes/2010_2011/10_11_26_ccmm_etude-transport_fr.pdf

        «j’imagine qu’on s’empresserait tous d’investir dans les TEC, non?»

        Dans l’univers politique dans lequel évolue le monde des transports, c’est malheureusement plus compliqué que ça. On voit bien la grogne et les radios-poubelles à chaque fois qu’un projet de transport collectif est mis en branle dans la région…

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      • Manu

        5 octobre 2012 à 23 h 41

        Effectivement la dimension politique entre en jeu… et cette portion de population qui « grogne » semble (simple impression) facilement amadouable par des baisses d’impôts et autres petits bonbons comme un 100$ par mois par jeune enfant. Il suffirait donc d’offrir ces mesure avec tout ce que rapporte l’investissement en TEC et le tour serait joué!

        Mais là non plus on le fait pas… alors force est d’admettre que la définition de « rapporte » semble encore bien loin de la plus traditionnelle qui est d’avoir un retour en argent sur un investissement en argent. Alors, en réalité, ça ne doit pas être aussi rentable qu’on le prétend.

        D’ailleurs, l’étude parle de Montréal, pas de Québec, et à ce chapitre, la différence est énorme. D’une part les coûts engendrés par les problèmes de circulation ne sont pas du même ordre. D’autre part, le coût pour rendre les TEC plus compétitifs est plus élevé à Québec qu’à Montréal. Autrement dit, là-bas on peut faire des gains (notamment aux heures de pointes) avec un investissement raisonnable, mais ici on gagne pas grand chose pour un gros investissement. Essayons juste d’imaginer ce que ça prendrait pour avoir un service de TEC compétitif (par exemple, même durée de trajet porte à porte, sinon on est perdant) ne serait-ce que pour une petite partie de la population de Québec, alors qu’à Montréal les TEC font déjà mieux que l’auto pour bien des gens.

        Il y a d’autres raisons de vouloir des investissements en TEC. Je reviens encore avec ma suggestion de hausser substantiellement les taxes municipales pour mettre ça dans les TEC. On pourrait alors offrir, par exemple, la gratuité des TEC avant 25 ans, question de « prendre l’habitude quand c’est le temps ».

        Alors oui, ça rapporte quelque chose, mais c’est pas en argent. Pas à Québec du moins. Et si chaque dollar investi ne rapporte pas au moins un dollar à l’autre bout, c’est difficile de faire avaler ça aux gens, surtout quand ça ne répond pas à un besoin. En effet, à part pour une petite partie de la population, le TEC correspondent au mieux à un « désir » (au pire une nuisance), pas un besoin.

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      • Emanuel

        7 octobre 2012 à 09 h 41

        « Ça rapporte quelque chose [les TEC], mais c’est pas en argent ».
        Bien au contraire : alors que l’automobile est une véritable machine à exporter notre richesse par l’achat de véhicules et de combustibles en provenance de l’étranger, les retombées économiques des TEC tiennent notamment au fait que les moyens de locomotions (autobus, métro et/ou tramway) sont généralement fabriqués au Québec, sans parler de l’électricité qui devrait alimenter jusqu’aux autobus d’ici une ou deux décennies.

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      • Manu

        8 octobre 2012 à 23 h 21

        Élargir une autoroute aussi ça fait travailler des gens d’ici, c’est pas un très bon argument.

        Pour l’électricité, ça semble être parti de la même manière pour l’auto électrique. Dans l’immédiat ça revient à peu près au même que l’automobile quand il n’y a pas plus de 5-10 passagers. En fait, ça dépasser probablement 10 si on compte tous les détours en autobus qu’on ne ferait pas en auto, tous les autobus « en transit », le déplacement des chauffeurs durant leurs quarts de travail avec leurs « navettes internes », et le déplacement entre leur domicile et leur travail.

        Et ça c’est pour le système de TEC actuel. Tentons d’imaginer ce que ça prendrait comme incroyable amélioration pour remplacer ne serait-ce que 10% des auto sur la route (qui ne servent pas que deux fois par jour, il me semble que la moyenne de déplacements à Québec soit d’environ 5 par jour, selon la façon de compter des enquêtes origine-destination).

        D’ailleurs, le principe voulant qu’un coûte moins cher que l’autre suppose qu’on peut remplacer l’un par l’autre. Par exemple, à Québec, quelqu’un qui prend son auto pour aller travailler a le choix de prendre son auto, ou de prendre l’autobus et de passer 30 à 120 minutes de PLUS, par JOUR sur la route, selon l’origine et la destination. C’est une perte de temps immense qui entraîne des coûts, directement ou indirectement.

        On pourrait toujours multiplier les destinations des express avec 4-5 séries d’express, multiplier les départ pour en avoir au 5-10 minutes, et on serait probablement encore à 15-60 mintues de perdues par rapport à l’auto, en plus du coût épouvantable pour cette flotte additionnelle de véhicules et tous les chauffeurs.

        À Montréal (pour revenir à l’étude de Louis M.) les distances à parcourir pour plusieurs et la longeur des bouchons font qu’on peut réaliser un gain sur tous les points avec les TEC (pour une partie des gens au bon endroit), qui peuvent même battre de vitesse l’automobile, incluant les temps de marche et d’attente. À Québec, la faible densité du territoire ne permet vraisemblablement pas de tels gains.

        C’est « juste ça » que j’essayais de dire…

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  6. Yvan Dutil

    7 octobre 2012 à 09 h 48

    Je ne vois pas pourquoi on s’énerve tellement. Le gros du problème est causé par un viaduc trop étroit. Il va falloir aussi refaire les entrées-sortie. C’est un peu le même genre de travail que pour du Vallon. Si vous vous imaginez que cela va résoudre les problèmes de bouchons cependant, vous allez être déçu car en direction des ponts, çà bouchonne un peu plus loin.

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    • Manu

      8 octobre 2012 à 23 h 28

      Les ponts au-dessus de Hamel et ceux au-dessus de la Rivière Lorette sont à élargir. Il me semble qu’on en profitera aussi pour refaire l’échangeur au nord (et élargique jusqu’à l’Ormière et Chauveau) puisque les structures de l’actuel se font vieilles et qu’elles font des détours pour contourner des bretelles d’autoroute qui n’existeront jamais. Personnellement pour l’échangeur et le tronçons vers Chauveau et l’Ormière, je me serais contenté de retaper les structures trop maganées, sans reconfigurer le tout, mais c’est juste mon avis.

      Reste que ça éliminera fort probablement les bouchons en dehors des heures de pointe (vendredi le jour, puis samedi et dimanche PM). Puis même aux heures de pointe, la circulation de transit « rive-nord seulement » sera sûrement plus facile.

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  7. Ben

    9 octobre 2012 à 17 h 59

    Le dernier élargissement de voie majeur dans la région de Québec sur une autoroute à été fait il y a près de 10 ans soit la portion de Laurentien nord à partir de Lebourgneuf. Je ne parle pas de réfection !! Lâchez moi la gue- guerre du transport collectif versus l’automobile !!! D’ici la fin de l’année 2012, la population métropolitaine de Québec frôlera les 780 000 personnes. Oui nous avons peut être le réseau d autoroutes le plus important par tête d’habitant en Amérique mais elles sont toutes (autoroutes) à 2 voies….C’est inconcevable que Henry V soit encore à 2 voies. Oh ! scusez les puristes !! On n’empêche pas l’ajout de voies réservées pour les autobus. C’est normale qu’il y en ait plus car la ville GRANDIT. Le transport collectif n’est pas fait pour tous. Horaire de travail, lieu de résidence, les enfants à l’école, la garderie et l’épicerie en revenant…….. Est-ce que c’est normale qu’il nous faut deux laisser-passer différents pour la rive nord et sud ?? Pourquoi pas une passe unique avec un terminus ou un lieu de transfert d’un côté ou l’autre du fleuve. Le ministre des transports voyage sûrement en transport collectif à tout les jours lui aussi….

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