Annie Mathieu
Le Soleil
(Québec) L’ouverture de la côte Gilmour pendant l’hiver entraînerait des «impacts mineurs» sur l’environnement et nécessiterait, pour éliminer tous les obstacles au projet, des «travaux majeurs» au coût de 6,5 millions $.
Annie Mathieu
Le Soleil
(Québec) L’ouverture de la côte Gilmour pendant l’hiver entraînerait des «impacts mineurs» sur l’environnement et nécessiterait, pour éliminer tous les obstacles au projet, des «travaux majeurs» au coût de 6,5 millions $.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Parc, Patrimoine et lieux historiques.
29 novembre 2012 à 15 h 50
Pourquoi ne pas instaurer un système de péage en saison hivernale? Les utilisateurs de la côte n’aurait qu’à verser, 50 sous par exemple, lorsqu’ils emprunte cette côte. Le détour par la côte de l’Église et/ou de la Montagne en coûterait de toute façon bien plus en essence que ce péage. Cela permettrait au bout d’un moment de couvrir les frais de réfection et d’entretient.
J’y vois là une pierre deux coup, tout le monde serait content!
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29 novembre 2012 à 16 h 04
Je viens de compléter la lecture du rapport final dont fait état l’article du journal Le Soleil. On y dit que 9000 véhicules (!) emprunteraient la Côte durant la semaine, et ce, chaque jour. Si votre idée est retenue, à 2$ (par exemple) par bagnole, que ce soit en haut ou en bas de la Côte Gilmour, c’est un minimum de 100 000 $ par semaine.
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29 novembre 2012 à 17 h 00
N’oubliez pas l’effet dissuasif d’un péage. Le coût de son ouverture serait aussi beaucoup plus important.
Ça commence à faire cher pour plaire principalement à des automobilistes de la Rive-Sud, d’autant plus si la Ville de Québec doit payer!
Le seul avantage que j’y vois est de désenclaver le quartier de Cap-Blanc. Cependant à ce prix là, il y a probablement des solutions moins « car-oriented ».
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