David Penven
QMI
La coopérative TrensQuébec caresse le rêve d’un monorail électrique suspendu, pouvant accueillir entre 60 et 70 passagers, se déplaçant à 250 km/h et effectuant la liaison Montréal-Québec en une heure environ.
Les représentants de la coopérative sillonnent la province en vue de faire connaître leur projet et chercher le financement qui s’y rattache. Ils étaient récemment de passage à la réunion des maires de la MRC du Roussillon à Saint-Constant.
L’instigateur du projet, Jean-Paul Marchand, originaire de Québec et ancien député du Bloc québécois est persuadé que ce type de transport représente le moyen de locomotion de l’avenir.
8 décembre 2012 à 08 h 22
Un type de monorail qui n’existe nul part dans le monde. Sur des distance jamais vue, a une vitesse qui n’est pas utilisé nul part, avec un moteur roue, une technologie qui n’existe pas en production et qui n’a jamais été plus qu’un prototype…
tout est en place pour un remake de l’épisode de South Park.
Est-je précisé que c’est laid, en hauteur, sur des distances immense, parfait pour embellir le paysage de la province.
Ca fait pas sérieux.
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8 décembre 2012 à 08 h 56
Ce qui ne fait pas sérieux, c’est la capacité en passagers du machin. On rentabilise ça comment ? Avec des tarifs chromés probablement.
On a besoin de technologies efficaces, éprouvées, fiables, rapides et rentables. Pas des jouets, personne n’a les moyens de faire des expériences à cette échelle.
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8 décembre 2012 à 09 h 58
Oups j’ai dit south park en voulant dire Simpsons
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8 décembre 2012 à 12 h 05
ICI:
http://www.youtube.com/watch?v=AEZjzsnPhnw
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8 décembre 2012 à 11 h 39
C’est faux, cette technologie est en service commercial depuis 1901: http://fr.wikipedia.org/wiki/Wuppertaler_Schwebebahn
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8 décembre 2012 à 11 h 48
service commercial sur 13 km a une base vitesse, sans moteur roue, exactement ce que je disais, ça rien a voir avec le projet discuté ici.
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8 décembre 2012 à 11 h 49
Je faisais référence au moteur roue, qui est une technologie qui n’existe pas en production et qui n’a jamais été plus qu’un prototype. Pas du monorail.
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17 février 2013 à 22 h 02
C’est quoi ce pays où on refuse les technologies éprouvées pour des bidules machins. C’est comme l’autre qui rejette le tramway pour le trolleybus. Il s’est senti tellement ridicule qu’il a fini par épouser le sens de l’histoire.
Cela fait quoi à qui de mettre de l’énergie pour le TGV ? Même Orléans-express nous soutiendra vu qu’ils sont une sous-filiale de la SNCF.
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8 décembre 2012 à 10 h 29
On attend une intervention de notre ami Fernand…
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9 décembre 2012 à 03 h 25
eille! j’allais le dire :)
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8 décembre 2012 à 10 h 53
Sur papier, l’idée d’intaller ce type de transport sur les emprises d’autoroute existante a l’air intéressante. Ça paraît en tout cas plus facile à implanter qu’un TGV nécessitant beaucoup d’expropriations.
Si c’est à ce point intéressant, alors pourquoi aucune firme privée ne s’y est encore intéressée?
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8 décembre 2012 à 11 h 43
Le lobby du pétrole (et de l’auto), ça ne te dit rien?
Il y avait un tramway allant de Montréal (rue McGill) jusqu’à Granby. Il a été démantelé en 1956 sous la pression de l’industrie automobile.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Montr%C3%A9al_%26_Southern_Counties
Le trens-Québec serait un moyen abordable de relier les villes de taille moyenne aux grandes villes, donc de refaire en mieux ce qui existait déjà.
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8 décembre 2012 à 11 h 52
Un moyen abordable pour une technologie qui n’est pas développé, sans exemple à travers le monde sur des distance de ce type et pas plus à cette vitesse, désolé, on ne peut pas dire que c’est abordable… au contraire, ca risquerait de couter très cher.
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8 décembre 2012 à 12 h 52
Matrix a parfaitement raison. Le Trens-Québec n’est pas impossible. Mais pour développer une telle technologie, il faut beaucoup de R&D. Et la R&D, ça coûte cher. Peut-être des milliards pour un tel projet. Mais ces coûts ne sont pas comptabilisés dans le 12M$ du km.
Pour vous donner une idée à quel point la R&D peut coûter cher : Gilette a dépensé 1 milliard simplement pour développer un rasoir avec des ressorts sous les lames.
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8 décembre 2012 à 16 h 07
En ce moment, il y a des transports électriques qui se développent à travers le monde. Je ne suis plus autant convaincu du rôle des lobby pétroler qu’avant.
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8 décembre 2012 à 16 h 17
Ma vraie question ici serait plutôt: Y a-t-il des brevets d’invention liés à cette idée? Si oui, quelqu’un veut-il les acheté?
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9 décembre 2012 à 02 h 28
Encore pire ici.
http://archives.lautjournal.info/autjourarchives.asp?article=2262&noj=239
Un classique du genre
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9 décembre 2012 à 16 h 50
Il faut faire attention; on ne peut mettre n’importe quoi dans une emprise d’autoroute, surtout celle de l’autoroute 20 qui n’est déjà pas très large. Et surtout pas une série de piliers de béton ou d’acier espacés de quelques mètres qui seraient, chacun, des obstacles fixes contre lesquels les véhicules pourraient s’écraser en cas d’accident ou de perte de contrôle (pensons juste au nombre de sorties de route l’hiver).
C’est justement un des buts de l’emprise d’autoroute; offrir un espace dégagé, libre d’obstacles dans toute la mesure du possible, qui permet au véhicules d’arrêter leur course en minimisant le risque qu’il ne traverse sur la voie en sens contraire en cas d’accident ou de perte de contrôle.
Déjà que le ministère des Transports fait de grands efforts pour fragiliser les bases de ses lampadaires et structures de signalisation ou pour permettre d’amortir les chocs aux bases des piliers des ponts d’étagement, je ne pense pas que l’ajout de dizaines de milliers de piliers sur les 245 km de la 20 entre Montréal et Québec serait une grande contribution à l’amélioration de la sécurité routière au Québec…
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8 décembre 2012 à 12 h 20
Même si je ne suis pas « psy », je crois pouvoir affirmer que le rêve n’a comme limite que celle de notre imagination.
Par contre, sa réalisation n’est-elle pas d’un tout autre ordre ?
Alors, avant que je devienne en transe ( jeu de mot facile, j’en conviens ) pour le projet de « TrensQuébec », jusqu’à en devenir contagieux, donnez-moi encore « un ti » peu de temps pour digérer le plat.
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8 décembre 2012 à 12 h 45
Pourquoi autant de cynisme face aux promoteurs du TrensQuébec??? Pour ma part, je suis bien content de voir que ce projet continu d’aller de l’avant.
Pour ceux qui s’étonnent que la grande entreprise ne s’intéresse pas à cette proposition, savez-vous qu’au Québec comme partout ailleurs dans le monde, ce sont les PME qui sont à l’origine des innovations?
Les grandes entreprises, pour leur part, sont bien plus intéressées à vendre des technologies maîtrisées et bien contrôlées, comme des tramways et des TGV. Vous savez que les premiers tramways ont été installés dans la première moitié du XIXe siècle? On repassera pour l’innovation de la part de la grande entreprise …
Aller de l’avant avec le TrensQuébec mettrait à l’ouvrage une grappe de PME manufacturières québécoise, créerait de l’emploi en temps de difficultés économiques, et d’autant plus, doterait le Québec d’une technologie qui saurait intéresser beaucoup d’autres pays: qui peut bâtir un moyen de transport de personnes et de matériel à un coût aussi compétitif du kilomètre? Pensez-vous vraiment que toutes ces retombées à long terme seraient difficilement envisageables avec des tramways et TGV?
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8 décembre 2012 à 12 h 48
Puis-je vous demander si vous avez déjà lu l’étude de l’IREC? En particulier la section sur les coûts?
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8 décembre 2012 à 13 h 12
Oui, je me rappelle l’avoir lu … il y a un moment déjà … Et toi, tu trouves ridicule d’estimer des coûts en utilisant des proches comparables en termes d’évaluation comme l’excavation d’un poteau de soutien à l’excavation d’une maison, le prix d’achat d’une navette à celui d’un autobus et le prix d’un poteau à celui d’une éolienne? Moi, je trouve ça bien normal dans le cadre d’une analyse préliminaire.
L’équipe du TrensQuébec recherche un partenaire financier pour payer le développer du concept, produire les plans d’ingénierie raffiner les études de faisabilité, etc. C’est certain qu’il y a une certaine marge d’erreur sur le coût par km qui est véhiculé actuellement. Avec les études, le coût sera davantage précisé. Peut-être qu’en temps opportun, ils vont vraiment le produire ton poteau et calculer à quelle cent près ça coûte pour te le rentrer dans le sol ….
Et puis, même si ça coûte plus cher du km, le gouvernement est assez intelligent pour utiliser une formule de partage de risque. Et puis AU PIRE, même si ça coûte 200% le coût actuellement véhiculé, le gouvernement sera sans doute un partenaire financier du TrensQuébec et saura se repayer en impôt et en dividende lorsque la technologie sera vendue à l’étranger.
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9 décembre 2012 à 12 h 18
Premièrement, pourquoi me tutoyez-vous?
Deuxièmement, votre commentaire ne tient pas la route. Pour vous, le prix au km n’importe pas? Même si c’était plus cher que le TGV? Alors pourquoi voulez-vous d’un monorail si ce n’est pas pour un prix avantageux? Pour que se soit Québécois? Bombardier est le plus grand constructeur de train et monde, et c’est une compagnie Québécoise, donc on pourrait dire que TGV autant Québécois qu’un monorail.
Si vous avez consulté l’étude sur le monorail, je vous invite à lire aussi celle sur le TGV Quebec-Windsor. Vous allez immédiatement comprendre pourquoi il est malhonnête de la part des promoteurs du monorail de comparer leurs pseudos-chiffres à ceux de cette étude sérieuse.
http://www.highspeedrailcanada.com/p/all-canadian-hsr-studies.html
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8 décembre 2012 à 12 h 46
Je ne sais pas ce qui est le plus frustrant : de voir des gens publier des chiffres qui ne tiennent pas la route, ou que les journalistes reprennent ces chiffres sans jamais les vérifier.
Je vous invite à lire l’étude de l’IREC. C’est cette étude qui est constamment cité pour justifier un coût d’uniquement 12M$ le km. Mais les journalistes ne prennent pas le temps de lire cette étude.
Pas besoin d’être ingénieur ou comptable pour comprendre que cette étude ne tient pas la route. Dans cette dernière, on compare l’excavation de chaque poteau à l’excavation d’une maison, le prix d’achat d’une navette à celui d’un autobus, et le prix d’un poteau à celui d’une éolienne. Toutes des choses qui n’ont rien à voir.
De plus, malgré que l’étude a été légèrement amélioré il n’y a pas si longtemps, plein d’éléments sont manquants. Dans le 12M$ du km, on ne calcule pas le coût de la R&D (on pourrait parler ici de milliards), on ne calcule pas non plus le prix des terrains à l’approche des villes (quand il n’y a plus de terre-plein). Finalement, le coût des gares n’a été comptabilisé que récemment.
On peut aussi y lire des idioties monumentales. Comme que le Trens Quebec peut s’attacher aux ponts existants pour traverser le Saint-Laurant. Il ne faut avoir aucune connaissance en ingénierie pour croire que c’est aussi facile que cela.
Remarquez que le projet n’est pas soutenu par des ingénieurs. Dans l’équipe de promotion, on retrouve entre autres Jean-Paul Marchand, un philosophe…
La seule bonne idée du Trens Québec, c’est d’utiliser le terre-plein des autoroutes. Mais ceci pose beaucoup de question de sécurités. Autrement, avec une technologie aussi peu développer, le projet pourrait coûter plusieurs fois le prix qui est actuellement diffusé.
Le Trens-Québec représente un gros risque. Celui de fabuler sur une idée qui ne tient pas la route, et d’en oublier quelque chose de concret : le TGV. Si j’étais une pétrolière, j’investirais dans le groupe qui fait la promotion du Trens-Québec.
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8 décembre 2012 à 13 h 11
Amen.
D’ailleurs on compare toujours les coûts (peu crédibles) du monorail à ceux d’un TGV. Pourquoi ne parle-t-on jamais de simplement optimiser les infrastructures déjà existantes: les chemins de fer!
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8 décembre 2012 à 16 h 27
Très exact. Mais pour cela, il faudrait prendre conscience qu’ils existent.
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8 décembre 2012 à 20 h 55
Les chemins de fer actuels n’ont pas été conçus pour des TGV…
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9 décembre 2012 à 04 h 23
Je le sais. Mais je n’ai pas parlé de TGV.
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9 décembre 2012 à 10 h 45
On peut améliorer les voies de chemin de fer existantes (qui datent souvent du 19e siècle) pour avoir plus de fréquence et une vitesse d’opération beaucoup plus rapide pour les trains de passagers pour un bien moindre coût, sans en faire nécessairement des TGV qui vont à 300km/h.
Mais ça, ça semble avoir été totalement évacué du débat sur les transports interurbains.
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9 décembre 2012 à 12 h 35
Les Chemin de Fer Fédéraux (CFF) en Suisse arrivent à faire rouler des trains à 200 km/h sur des rails qui n’ont rien de droit (vu la géographie de ce pays montagneux). C’est d’ailleurs grâce à des technologies de Bombardier. Il n’y a pas vraiment de raison que ça ne puisse pas fonctionner ici.
Mais le réel problème, c’est que les rails sont en priorité destinées au transport de la marchandise. Pour avoir un système de train efficace, il faudrait inverser cela, et évidemment avec le CN, ça ne sera pas facile.
Donc qu’est-ce qu’il faut faire? Travailler avec le CN ne semble pas être facile depuis qu’il a été privatisé. Mais il faudrait essayer de trouver une entente afin de doubler les voies et électrifier ce tronçon entre Québec et Montréal (sur la rive nord ou sud). Quelle est la meilleure solution? Un partenariat? La nationalisation? Des subventions? Difficile à dire.
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9 décembre 2012 à 03 h 28
AH… parce que ça ne passerait pas à travers la structure du Pont de Québec? Pourtant, on voit bien dans l’animation que ça fonctionne très bien!
:)
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9 décembre 2012 à 12 h 22
Oui c’est très simple, il suffit de faire un gros trou dans la structure! De toute façon, c’est pas très utile toutes ces poutres en acier…
Mais de ce que j’ai compris, le but c’était plutôt de l’accrocher à l’extérieur de la structure existante. Évidemment, les études d’impacts d’un changement de structure aussi important ne sont pas nécessaire quand on rêve :)
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8 décembre 2012 à 12 h 51
Sujet commandité par Option Nationale?
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8 décembre 2012 à 13 h 54
De kessé ? :)
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8 décembre 2012 à 18 h 45
… peut etre qu’il y a anguille sous roche dans ce projet et que les sous du monorail iront à la caisse du parti? peut-être que ce parti désire revenir sur le rail? il y a énigme à comprendre dans cette petite affirmation
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8 décembre 2012 à 13 h 11
Pour ma part, je dit Non au Monorail, mais oui au TGV.
Si un jour on doit faire un choix, il faut que celui-ci ait déjà fait ses preuves. Or ce n’est pas le cas du Monorail, et surtout pas sous nos conditions Québécoises.
Dans un contexte budgétaire serré, autant au Provincial qu’au Fédéral, il faut donc faire un choix censé, pour ne pas faire des erreurs qui coûteront des milliards.
Monorail ? … what a JOKE ! …
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8 décembre 2012 à 14 h 12
À qui parlez-vous M. gobeil ?
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8 décembre 2012 à 14 h 19
à Jf Martel qui pose la question suivante : « Sujet commandité par Option Nationale? »
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8 décembre 2012 à 14 h 26
J’ai remarqué que parfois les réponses n’arrivent pas en ordre. Vous aviez répondu aprés moi, et celle-ci arrivais au dessus et non en dessous. Suis-je le seul à qui ça arrive?
Désolé pour la disgression.
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9 décembre 2012 à 06 h 39
Je constate aussi. C’est des « Bugs » de ce forum.
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8 décembre 2012 à 16 h 38
Je seconde pour ce qui est des chemins de fer.
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8 décembre 2012 à 16 h 40
Oups… Je répondais à Louis M. 8 décembre, 13h11.
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8 décembre 2012 à 18 h 47
je suis bien d’accord avec toi Nicolas. :-)
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9 décembre 2012 à 11 h 21
Je ne suis pas d’accord avec ce projet non plus, que je trouve des plus farfelus.
Mais pour contredire Matrix, il existe bel et bien exemple de ce type de train dans le monde, soit à Wuppertal en Allemagne (le «Schwebebahn»). Le seul hic, c’est qu’il est essentiellement urbain et interurbain, et non interrégional.
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9 décembre 2012 à 12 h 28
Personnellement, je trouve que le projet le plus similaire au Trens Quebec est l’Aerotrain.
Ce projet a réellement existé : un tracé de plusieurs kilomètres est encore visible entre Paris et Orléans. Le principe n’est pas exactement le même, mais pas très loin : un petit véhicule sur une rail surélevé. Par contre l’aérotrain n’est pas un monorail suspendu.
On connait le résultat : la France a choisit le TGV plutôt que l’Aérotrain. Je trouve ça drôle qu’on se repose des questions assez similaire 50 ans plus tard. Peut-être serait-il bon pour les promoteurs du monorail de s’informer sur les raisons de l’échec du projet français avant de demander des investissements dans leur projet.
http://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9rotrain
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9 décembre 2012 à 15 h 09
Il y a du monde ici qui connaissent ça pas mal mieux que moi mais je me donne quand même le droit d’émettre mon opinion. Et cette opinion, c’est que le monorail est préférable au TGV.
Bon, j’admets que l’étude des coûts (disponible ici: http://www.trensquebec.qc.ca/images/doc_pdf/trensqubec_ireq.pdf) est critiquable mais elle arrive quand même à des coûts inférieurs de 67%. Ce n’est pas rien.
La technologie m’apparaît simple, le moteur-roue n’est absolument pas indispensable (n’importe quel moteur électrique pourrait faire l’affaire), l’entretien semble très peu coûteux mais surtout, surtout: j’ai l’impression que l’agrément de voyage serait infiniment supérieur. Voyager à 10 m du sol et voir le paysage défiler sous mes yeux me semble infiniment plus agréable que voyager au niveau du sol et ne rien voir. Juste pour ça, ça vaut bien 15$ du billet.
À coût équivalent, je préfère de loin le monorail. Alors si en plus les chances sont fortes que ce soit moins cher…
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10 décembre 2012 à 13 h 47
Comment faites-vous pour ne rien voir à bord d’un TGV? Êtes-vous si petit? ;)
Personnellement, je doute de la capacité du monorail suspendu à transporter une quantité aussi importante de bagages que le TGV à bord même de la voiture. L’espace me semble plus restreint dans chaque «wagon».
En matière de transport, les Québécois ne peuvent se permettre de réinventer la roue puisque le Canada est complètement arriéré en la matière; nous vivons littéralement dans l’Âge de pierre pour ce qui est du transport au Canada.
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10 décembre 2012 à 10 h 20
Et pour les éventuelles pannes, on n’a qu’à constituer une flotte de 50 Écolobus…
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28 décembre 2012 à 14 h 59
Amis Canadiens, francophones ou pas …
Je suis basé en France à Grenoble pour préciser.
Je suis de très près ce projet, votre projet et j’aimerai vous voir le réaliser.
De l’argent ? le Canada en a suffisament.
Mais il me semble que la faiblesse de ce projet réside dans la petitesse du marché visé. En effet, faire des atteliers et soliciter de nombreux travailleurs pour une ligne de 250km (corrigez moi si je me trompe) ne représente que peu d’intérrêt …
Vous avez un accord qui s’appelle l’ ALENA , utilisez le, votre marché c’est 500 millions de consommateurs !!!
Pourquoi rester petit et se plaindre ? De nombreuse villes ont besoin de ce type de transport.
Lorsque vous aurez épuisé vos ressources de sable bitumeux, vous repenserez à ce super projet … et vous l’acheterez à des Chinois venu le construire « chez vous ». 3 fois plus cher !!!
J’espère que la neige qui tombe par chez vous en ce moment ne refroidisse pas vos ardeurs sur ce projet.
Cordialement
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