Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Prix des maisons: stabilisation prévue en 2013 à Québec et dans la Chaudière-Appalaches

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 janvier 2013 4 commentaires

Michèle Laferrière
Le Soleil

(Québec) Le prix moyen des propriétés, toutes catégories confondues, a poursuivi son ascension entamée en 2003 pour atteindre 227 811 $ en 2012 sur le territoire de Québec-Chaudière-Appalaches, soit une hausse de 4,9 % par rapport à 2011. La Chambre immobilière de Québec (CIQ) prévoit qu’il se stabilisera en 2013. (…) La directrice générale de la CIQ, Gina Gaudreault, estime que le ratio vendeurs/acheteur atteindra l’équilibre pour les propriétés unifamiliales et les plex (entre 8 et 10 vendeurs pour un acheteur), mais qu’il pourrait basculer dans un marché d’acheteurs dans le cas des copropriétés. Pendant son allocution, Mme Gaudreault s’est attardée aux copropriétés, mentionnant que 1820 avaient changé de main dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches, soit un recul de 4,5 % par rapport en 2011. Les condos ont constitué 40 % des mises en chantier, en 2012. Ce taux diminuera cette année, prédit-elle.

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4 commentaires

  1. Jean Duez

    11 janvier 2013 à 08 h 55

    Quelque chose m’échappe dans la logique de la chambre immobilière. L’équilibre du marché se situerait selon eux entre 8 et 10 vendeurs pour un acheteur.
    Cela signifie que si vous voulez vendre votre bien, vous n’avez qu’une chance sur 8 ou 10 de trouver un acheteur ? Le bon sens, et même une logique saine voudrait que pour chaque vendeur il y ai un acheteur.

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    • Al Capone

      11 janvier 2013 à 16 h 19

      Bien d’accord si vous vendez des pommes ou des oranges mais dans le cadre d’une habitation c’est différent, toutes les maisons sont différentes (localisation, âge, type de construction etc.) et les besoins sont spécifiques à chaque acheteurs.

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    • Manu

      11 janvier 2013 à 21 h 52

      Analogie simple: c’est comme dans un magasin où il y a plus de produits sur les tablettes que de clients. À chaque jour on en vend un peu et on en remet autant sur les tablettes. Avec le temps, tout (ou presque) finit quand même par se vendre.

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