Le commandant Chris Hadfield remet ça. Après avoir tweeté une photo de Québec vue de la station spaciale, il nous gratifit cette fois d’une vue nocturne de Québec. La Vieille Capitale et sa région comme vous ne l’avez jamais vue. Fascinant!
Le commandant Chris Hadfield remet ça. Après avoir tweeté une photo de Québec vue de la station spaciale, il nous gratifit cette fois d’une vue nocturne de Québec. La Vieille Capitale et sa région comme vous ne l’avez jamais vue. Fascinant!
Voir aussi : Scènes urbaines.
24 janvier 2013 à 22 h 24
Intéressant de voir l’Ancienne-Lorette éclairée moins intensément. Mais surtout, quand on regarde sur google map, on voit certaines zones vertes qui sont pleinement éclairées la nuit venue (exemple, le parc technologique).
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24 janvier 2013 à 23 h 38
En effet, moins intense, et plus blanc (moins jaune). C’est ce qui m’a frappé dès le départ.
Néanmoins, l’histoire ne dit pas si l’Ancienne-Lorette passe moins d’énergie avec des ampoules moins énergivore, ou si elle en passe autant que Québec avec des ampoules moins efficaces.
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26 janvier 2013 à 03 h 03
La couleur est différente pour l’ancienne lorette pour une simple raison: les lampadaires utilisés pour éclairer les rues de cette ville ont une lumière bleue contrairement a orange pour le reste de la ville de Québec!!
Je n’aurais jamais pensé que ce petit détails pourrait faire une telle différence vue de l’espace !
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26 janvier 2013 à 04 h 59
SEB G. Pourquoi opter pour une lumière bleue plutot qu’orange selon toi? Merci de l’info.
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26 janvier 2013 à 14 h 52
Bonjour,
je ne peux apporter aucune réponse concrète à votre question à part peut-être une ou deux suppositions: soit que les lumières bleues éclairent mieux ou encore elles causent moins de « pollution visuelle » puisque certains décrient la pollution lumineuse que dégage les villes à cause de leurs lumières.
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27 janvier 2013 à 09 h 25
Les lumières «bleue» sont en fait des lumières plus blanches. Soit au mercure (peu probable car trop désuet) soit des lampes aux halogénure métalliques ou à induction. Normalement, le niveau d’éclairage au sol est similaire, car il y a des normes d’éclairage à respecter. Je sais que les services publiques de la ville de Québec font attention pour limiter la pollution lumineuse et le sur-éclairage. Cependant, ils font face à deux obstacles. Le sur-éclairage ambiant qui force à augmenter l’intensité lumineuse minimale pour que les rues ne deviennent pas plus sombre que les terrains situés sur les coté. Et, l’égo du maire qui veut mettre sa ville sur la map.
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25 janvier 2013 à 00 h 15
Surprenant, aussi, de voir la base militaire aussi éclairée.
On peut facilement repérer les «trous» qu’il reste à développer dans la ville!
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25 janvier 2013 à 19 h 30
je suis quand même surpris de ne pas voir de « trou » de lumière coté plaines d’abraham… non pas pour développer bien sûr .. mais pour constater un des grands espaces « verts » dans la ville.
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25 janvier 2013 à 04 h 20
Si Chris Hatfield réussissait à prendre une photo de la ville d’Ottawa la nuit dans des conditions climatiques similaires, on pourrait comparer les approches possiblement fort différentes de ces deux capitales en matière d’éclairage public.
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25 janvier 2013 à 22 h 50
On remarque aussi les lumières blanches des station de ski du Mont Ste-Anne vers la droite, du Relais en haut vers le centre et de Stoneham. Mais on dirait que les lumières de Stoneham sont moins présentes ou moins blanches, si elles sont où je pense (dans le centre en haut complètement de la photo).
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