Léa Cullen-Robitaille
Le Fil
Rouler sur les routes glacées en hiver a plus de bon sens qu’on le croit, affirment les aficionados du cyclisme quatre saisons (…) De nombreux cyclistes d’hiver n’ont pas un tel parcours d’athlète, mais font quand même fi de la neige pour se rendre où bon leur semble. Comme Marc-Antoine Dion qui habite le quartier Saint-Jean-Baptiste et se rend à bicyclette sur le campus. Et top chrono, c’est parti! En moins de 35 minutes, il franchit les 6,5 km qui le séparent de l’Université et arrive… en même temps que sa copine, qui est pourtant partie en autobus du même lieu et en même temps que lui.
22 février 2013 à 16 h 50
Mon cher Gérald, tu prends des chances avec ce sujet : attention aux répliques de certains jambons… ;-)
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22 février 2013 à 17 h 41
Je fais confiance au lectorat de Québec Urbain ! :)
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25 février 2013 à 16 h 49
Je vais me risquer à faire le porte-parole des « jambons » modérés. Je suis un peu troublé de lire un article faisant l’apologie de « l’utilisation du vélo sur chaussée enneigée et/ou glacée.
Et naturellement, dans cet article, on mentionne que la SEULE VRAIE MENACE est l’automobiliste, « qui peut être impatient, inattentif, parfois agressif. Dans son «salon chauffé sur quatre roues», comme le dit Marc-Antoine Dion, il roule dans le confort, parfois vite, et ne comprend pas toujours les motivations de ces téméraires qui se déplacent en bécane. »
Je crois comprendre, M. Limoilou, en lisant les derniers billets à ce sujet que votre mentalité concernant le débat vélo/auto est « Si vous n’est pas avec nous, vous êtes contre nous ». Je ne vais donc pas perdre ma salive à essayer de démontrer qu’on peut être POUR l’amélioration de l’offre de service pour les cyclistes à Québec, et CONTRE la promotion de cette activité extrêmement dangereuse si elle est faite n’importe où…
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25 février 2013 à 16 h 51
Précision: l’activité « extrêmement dangereuse » dont je parle n’est pas le vélo en général.
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22 février 2013 à 21 h 38
Article intéressant !
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23 février 2013 à 10 h 56
Ça démontre aussi un autre point, si sa copine a pris le 7 et qu’elle arrive en même temps que lui, c’est que le 7 est totalement inefficace (mais bon tout le monde s’en doutait).
Il faudrait regarder aussi si la demande est assez forte et si c’est possible de laisser les supports à vélo sur les métrobus à longueur d’année.
Personnellement je ne ferais pas de vélo l’hiver, mais bon l’université semble vouloir accommoder les cyclistes 4 saisons et peut être que d’autres suivront.
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23 février 2013 à 15 h 10
Le jambon c’est pas mal plus le gars sur le vélo dans la photo! À l’envers du trafic sur un vélo de route en pleine tempête de neige!!! Surement pas une pub de sécurité publique.
Anyway beaucoup d’encre coule pour les,peut-être,100 adeptes du cyclisme d’hiver à Québec, j’en croise rarement plus d’un par jour.
Bon au moins on est d’accord sur un point : le RTC est totalement inefficace :)
PS: On reconnait les enverdeurs à leur propensions à insulter ceux qui contestent leurs positions.
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23 février 2013 à 16 h 05
« Bon au moins on est d’accord sur un point : le RTC est totalement inefficace :) »
Mais encore… Peut-on avoir un peu de substance pour appuyer votre argumentaire? Au moins Sims a eu l’honnêteté de spécifier que c’est le parcours 7 qui est inefficace.
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23 février 2013 à 19 h 27
De mon côté, j’habite dans Lebourgneuf, et je travaille à Sillery. Cela me prend de 15 à 20 minutes de moins en vélo qu’en autobus. Mais, je ne suis pas prêt pour autant de dire que c’Est le RTC qui est inefficace.
Dans le cas de la 7 et l’université, il ne faut pas oublier qu’il y a facilement un 10 minutes de marche entre le chemin Ste-Foy et les principaux Pavillons. À moins d’aller au Peps.
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23 février 2013 à 21 h 17
S’ils veulent faire du vélo l’hiver (Ce qui est pour le moment complètement irresponsable selon moi) il faudrait tout d’abord s’entendre avec la ville pour faire déneiger les pistes cyclables comme du monde, et aussi les rues. Car l’hiver, la largeur utilisable de la chaussée est réduite et donc, c’est totalement imprudent de rouler en bordure de celle-ci.
J’en vois souvent un qui roule sur Père Lelièvre et Masson le matin.. Sur le trottoir, ne respecte absolument pas la signalisation, et nous regarde bête si on passe à côté .. bravo champion.. je n’ai pas le choix de passer près : IL N’Y A PAS DE PLACE POUR NOUS 2!!
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23 février 2013 à 22 h 08
Circuler en vélo (en hiver), dans la Ville de Québec est le choix d’un nombre fort réduit de gens pour des motifs évidents. J’en vois quelques-uns, rarement, et j’aimerais bien leur remettre une médaille de courage. Même par temps glacial, je croise à chaque semaine un cycliste sur René-Lévesque, aux petites heures du matin. Avec sa lampe frontale allumée. S’il lit Québec Urbain, je le salue ! :)
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24 février 2013 à 10 h 11
Faire du vélo l’hiver c’est comme faire du ski de fond, c’est les 5 ou 10 premières minutes qui sont « frettes ». Après ça on se réchauffe assez rapidement.
Pour ma part je n’utilise les grandes artères que lorsque qu’il est impossible de faire autrement. Ça fait partie de ce que moi je considère faire du vélo l’hiver de façon intelligente. Rouler en vélo l’hiver c’est comme rouler en auto l’hiver: il faut adapter ses itinéraires et son style de conduite et se servir de sa tête.
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