Valérie Gaudreau
Le Soleil
(Québec) Le Conseil de quartier Saint-Jean-Baptiste et le promoteur GM Développement travailleront ensemble pour une nouvelle – et peut-être ultime – tentative de dénouer l’impasse dans le controversé dossier de l’îlot Irving.
Dans une décision peu commune, les élus de l’arrondissement de La Cité-Limoilou ont voté lundi pour le versement d’un montant de 2000 $ au Conseil de quartier Saint-Jean-Baptiste pour mener une consultation publique sur le projet du promoteur GM Développement qui souhaite construire un édifice à condos de six étages sur cette ancienne station-service de la rue Saint-Jean.
* Merci à un très fidèle lecteur, Léonce Naud
25 février 2013 à 23 h 30
En autant qu’on trouve un compromis pour que ce parking disparaisse enfin, c’est le plus important, même si je regrette encore l’édifice de 9 étages.
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26 février 2013 à 07 h 03
Le comité de citoyens de l’endroit refuserait même un simple sous-sol !
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26 février 2013 à 12 h 44
Voilà une intervention très constructive.
Bravo et continuer sur cette lancé
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26 février 2013 à 12 h 24
misère…
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26 février 2013 à 13 h 21
J’avais comme supérieur immédiat, un temps, un cadre supérieur d’un organisme gouvernemental dont la philosophie de gestion était: ne rien faire, c’est aussi une façon de gérer. Il y a maintenant quelques décennies que cet espace n’est occupé que par un stationnement. Il serait temps d’agir. Mais il est possible que certains adhèrent à cette philosophie du « ne rien faire » .
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26 février 2013 à 16 h 31
Je suis d’accord avec vous. Le meilleur exemple de cette
philosophie du « ne rien faire » c’est l’îlot St-Vincent-de-Paul…6 ans
déjà. Comme vous dites, Il y a maintenant quelques années que cet espace n’est occupé que par un stationnement. Il serait temps d’agir.
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26 février 2013 à 18 h 00
Sauf erreur, le propriétaire des lieux n’aurait aucune obligation de construire quelque chose dans un délai précis.
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26 février 2013 à 18 h 18
Qu’avait-il à cet emplacement avant la station service ?
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26 février 2013 à 19 h 45
Une station service a occupé cet espace très longtemps et aurait succédé, à ce que l’on m’a dit, à un ancien bâtiment qui était utilisé pour l’entretien ou le remisage des tramways.
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26 février 2013 à 18 h 23
@Gérald Gobeil
Vous avez raison, mais avouons que ce dossier est un peu
surréaliste. En 2007 il y avait urgence de démolir pour ne pas
avoir dans la face une ruine dans le centre-ville à la veille
du 400ème. Pour finalement ce retrouver avec un champ en friche
en 2008…champ en friche transformé en stationnement brouissailleux a deux pas d’un patrimoine de l’UNESCO. Il serait
sans doute temps pour le bien commun, que la ville procède à
l’expropriation.
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26 février 2013 à 22 h 58
Exproprier ? A quelles fins ? « L’expropriation est une opération par laquelle une municipalité peut, aux fins d’utilité publique, acquérir de façon forcée un immeuble de propriété privée moyennant indemnité. »
Les infos
Le processus serait en marche pour un autre dossier connu mais il serait étonnant que cette notion « d’utilité publique » ne soit pas devant les tribunaux pour plusieurs années à venir ..
Enfin, si nous avons entendu le Premier Citoyen de la Ville annoncer haut et clair ses intentions pour l’avenir du site de la bibliothèque Gabrielle-Roy, on ne peut en dire autant pour le terrain du Patro St-Vincent-de-Paul. Et qui ne dit mot consent.
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27 février 2013 à 06 h 51
« Aux fins d’utilité publique »…pour de l’habitation peut-être?
Le logement est une préoccupation essentielle des habitants et habitantes d’une ville. Dans un contexte de rareté des terrains au centre-ville et pour prendre la même direction des désirs de la ville de vouloir densifié, je crois que a notion « d’utilité publique » s’applique très bien ici.
Il semble ici que l’intérêt du propriétaire semble peser bien plus lourd sur la l’administration municipale que la volonté de densification de la ville de Québec.
Deuxièment, devant les investissements de la municipalité pour embéllire le centre-ville, ce stationnement en friche est une
verrue à deux pas du Quartier historique. Il n’y a aucune ville
historique au monde qui tolérait un telle terrain dans son centre.
Ici , l’embéllisement de la ville peut-être considéré comme
« d’utilité publique »
Finalement, la tolérance d’une telle verrue, en dit long sur le peu
de fierté des gens de Québec face à leur ville.
La fierté est un sentiment par rapport à soi-même. La fierté de sa ville marque la satisfaction par rapport notre milieu urbain responsable de la réussite de la ville.
La personne fière de sa ville se comporte de manière à garder sa ville belle et accueillante. Elle vit à la hauteur de ses propres standards.
M. Gobeil, dans votre fort intérieur, avez-vous un petit pincement
quand vous circuler dans ce secteur ENCORE PIRE QUE L’ÎLOT
IRVING?
Les gens qui focus sur l’îlot Irving tout en ignorant St-Vincent-de
Paul, ne sont pas digne d »être des citoyens de Québec. Leurs manques de fierté est une tache sur l’esthétique de notre ville.
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27 février 2013 à 09 h 43
Et pourquoi la ville n’exproprierait-elle pas le terrain de Saint-Vincent-de-Paul pour le lancer en appel de propositions de développement (hôtel, bureaux, logements, formule mixte) du site qui serait loué en vertu d’un bail de 99 ans à la condition expresse toutefois que le promoteur retenu intègre et entretienne un lien mécanique (ascenseur, funiculaire, escalier mobile) pour relier la basse et la haute ville…
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27 février 2013 à 10 h 01
J’ai un scoop tout le monde!!! J’ai entendu la parole divine;
Ce terrain, je vous le dis, plaie visuelle il restera.
… Je suis tellement chanceux de partager ce lien exclusif avec le saint-esprit!
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