(…) Des mesures qui font consensus chez les partenaires
Les principales actions mises de l’avant seront :
– Communications : Développer une section Internet et mobile sécurisée afin d’offrir un accès exclusif aux citoyens du secteur. Cette section proposera, dès le mois de mai, une multitude de renseignements utiles à l’adresse ville.quebec.qc.ca/vieuxquebec.
– Qualité de vie et habitation : Rester à l’affût du potentiel de développement immobilier dans le Vieux-Québec et accompagner les promoteurs dans leurs projets.
– Grands événements : Créer un fonds pour la valorisation du patrimoine et l’amélioration de la qualité de vie des citoyens à partir, entre autres, d’une contribution des promoteurs d’événements.
– Mobilité : Implanter un système de téléjalonnement afin de fournir aux automobilistes une information en temps réel sur le nombre d’espaces inoccupés dans les grands parcs de stationnement du centre-ville.
– Offre commerciale : Approfondir les besoins des résidants et travailleurs en matière de commerces et de services de proximité, faire connaître ceux déjà existants et inviter ces derniers à développer des privilèges pour les citoyens du Vieux-Québec.
Mythes et réalités
Un sondage réalisé par la firme Léger auprès de 433 résidants du Vieux-Québec en décembre 2012 permet de briser certains mythes au sujet de ce secteur. En effet, pour 64 % des répondants, la proximité avec les grands événements est l’un des avantages de demeurer dans le Vieux-Québec, alors que seulement 39 % des résidants considèrent qu’il s’agit de l’un des inconvénients.
28 février 2013 à 17 h 18
Résultats mitigés !
Par 3 fois j’ai tenté de participer à cette Table de concertation, rien n’y fit! On aurait cru parler à un club privé ! Cela ne me surprend pas.
Au niveau des citoyens, on a fait confiance au CCVQ (Comité des citoyens du Vieux-Québec). Pourtant, ils ne sont pas élus par les citoyens. De surcroît, ils ne représentent qu’une trop infime partie de citoyens. ( Ça serait gênant de connaître le nombre ). Son président mousse-t-il trop son commerce ???
Les demandes des citoyens de la Place Royale furent littéralement ignorées, cela sans même recevoir un accusé de réception de la part de Mme Lemieux. Imaginez le respect !
Donc, nos demandes tombèrent lettre-morte et notre apport fut un triste silence radio. Dommage ! Vraiment dommage.
J’habite Place Royale, derrière chez-moi il y a la rue St-Pierre, jadis le quartier des banques. Il n’y a même pas un seul guichet automatique proche d’ici. C’est vous dire !!!
On nous parle, dans les résultats de la Table de concertation, d’un problème de stationnement. Entre vous et moi, il n’y a rien de nouveau sous le soleil ici ! On le constate chaque jour. Imaginez pour notre visite !
Cette Table de concertation nous présente, à regret, une photographie et une réalité que nous vivons chaque jour. On repassera pour la nouveauté dans les études. Où sont donc les services de proximité comme une épicerie, du stationnement, une pharmacie, un dépanneur aux prix honnêtes, un guichet automatique, etc ???
Cessons de pavoiser en se targuant que le charme du Vieux-Québec, au caractère bucolique et souvent jalousé, va remplir notre satisfaction. CELA EST VRAI POUR CHAQUE QUARTIER QUE LES CITOYENS AIMENT.
C’est comme si 18 recherchistes de la Table de concertation, avec un budget de 8 millions$ ( fictif ici ) , devaIent trouver un nom pour un chat. La réponse, après 6 mois d’intenses, excessives, forcenées et insupportables recherches aboutiraient sur: Ti-Mine !
Que diriez-vous ?
Est-ce le sérieux hégémonique que Mme Lemieux et son équipe désirent diffuser? J’ose espérer que non!
Présente-t-elle une vacuité logique et sociale comme solution durable ???
Bonne réflexion !
Entre vous et moi, l’avenir donnera son verdict !
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28 février 2013 à 23 h 16
Je ne comprends vraiment pas le but visé par la création d’une Table de concertation du Vieux-Québec. Ce sont pourtant tous les contribuables, à même leurs taxes et impôts, qui ont contribué largement au charme actuel du Vieux-Québec composé aujourd’hui de résidants ayant les moyens financiers pour y demeurer. Selon moi, cette Table de concertation est un club sélect fermé qui veulent instauré un prix d’entrée pour des événements majeurs se déroulant dans le Vieux-Québec. De riches résidants qui vont veenir chercher encore dans les poches de la classe moyenne des sommes d’argent importantes pour des projets immobiliers ou de stationnement ou banques, épiceries, pharmacies à des prix honnêtes quand les loyers dans le Vieux-Québec s’élèvent à plus de 1 500 $ par mois ? Il faudrait que la classe moyenne fasse vivre ces résidants à l’aise financièrement ? NON MERCI ! Commencez d’abord par informer les contribuables québécois avant d’entreprendre des projets insensés dans le Vieux-Québec. Présentement, les Québécois sont égorgés de taxes et d’impôts. ASSEZ c’est ASSEZ ! Ayons d’abord les moyens de nos rêves. Pour l’instant, restons au statu quo. MERCI !
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1er mars 2013 à 20 h 38
euh…. Vous savez, tous ne sont pas riches dans le Vieux-Québec. D’ailleurs, beaucoup d’étudiants de l’école d’architecture y habitent. C’est encore un autre mythe de penser qu’il faut être riche pour y habiter, c’est pas le Vieux-Montréal…
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1er mars 2013 à 06 h 48
Vous n’avez rien compris. Ce que la mairie désire pour le « Vieux »,
c’est un décor parfait pour les touristes. Pas de familles, pas
de bars, pas de troubles mais un Walt Disney pour famille.
Les gens qui y habitent doivent être souriant, propre et donné une illusion de prospérité. Autrement dit des figurants parfaits.
Comme ici, dans ce village reconstitué (de la série « Le prisonnier »)
http://www.youtube.com/watch?v=ve5k4c0MGKU
D’ailleurs, c’est la tendance à Québec depuis qq années. Exemple
la St-Jean-Baptiste, pas d’extravagance mais des gens disciplinés
qui font gentiment la fil en attendant le spectacle.
Remarquer la composition de ce comité d’étude, ce n’est pas le genre de personnes a faire soulever un party. Au contraire,
j’ai l’impression d’être à une réunion de Ned Flanders (Simpsons)
http://www.youtube.com/watch?v=qH9TeORXz50
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1er mars 2013 à 07 h 38
On assiste à la lente agonie du Vieux-Québec. Pour y habiter depuis 20 ans, je constate que les rues sont désertes, les commerces ferment. Le matin, pour aller travailler, je ne croise plus que 20 personnes. Le déséquilibre orchestré et béni par les urbanistes a détruit la vie de quartier et l’ambiance des années 90. Impossible d’y vivre sans voiture. J’imagine que c’est agréable pour les gens de passage, mais c’est d’un ennui mortel d’y vivre.
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1er mars 2013 à 09 h 13
Bonne idée que ces modestes contributions pour la valorisation du patrimoine et l’amélioration du milieu de vie dans le Vieux-Québec de la part des organisateurs de gros événements. Ce geste est très généreux de leur part, surtout qu’ils ne bénéficient pour leurs efforts que de quelques misérables piécettes du Trésor Public.
Pour ne prendre qu’un exemple, l’Entente de 1991 d’une durée de trois ans avec le Red Bull Crashed Ice prévoit que « la Ville octroiera une subvention de 258 000 $ par année aux organisateurs. À cette somme, il faut toutefois ajouter 183 000 $ en services divers, pour la police notamment. Le ministère du Tourisme donnera pour sa part 170 000 $ par année jusqu’en 2013. En 2011, le bureau de la Capitale-Nationale de Sam Hamad donne pour sa part 150 000 $, portant à 458 000 $ le total des subventions accordées à la course cette année. » (Pierre-André Normandin, Le Soleil, 7 mars 2011 : « Le Crashed Ice à Québec jusqu’en 2013 ».
Les organisateurs de gros événements sont bien bons de se montrer charitables « pour la valorisation du patrimoine et l’amélioration du milieu de vie dans le Vieux-Québec ». À leur mort, les portes du ciel leur seront grandes ouvertes par les mêmes types qui sont supposés monter la garde auprès de notre Trésor collectif et public.
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