L’équipe du Plan de mobilité durable invite les citoyens et les citoyennes de Saint-Sauveur à un Café-rencontre sur la thématique de l’aménagement des rues du quartier.
Venez donner votre avis sur la qualité des aménagements, la sécurité de nos rues, la circulation de transit et plus encore. Partagez aussi vos coups de cœurs et vos besoins.
Afin que tout le monde puisse participer, l’atelier aura lieu à trois reprises dans trois secteurs différents du quartier : 1- le mardi 19 mars, au Centre Monseigneur-Bouffard (680, rue Raoul-Jobin) ; 2- le mercredi 27 mars, au Centre Édouard-Lavergne (390, rue Arago Ouest) ; 3- le mardi 2 avril, au Centre Durocher (290, rue de Carillon).
Un souper sera servi gratuitement dès 17h30. L’atelier commencera à 18h30 et il y aura un service de garde gratuit sur place.
L’inscription pour le souper et le service de garde est obligatoire. Information et réservation au 418-529-6158 ou par internet à pmdqss@bellnet.ca.
Au plaisir de vous y voir !!!
Le Plan de mobilité durable de quartier (PMDQ) est une initiative du CCCQSS et du Conseil de quartier de Saint-Sauveur. Il s’agit d’une démarche consultative et participative qui vise à proposer des solutions constructives et adaptées aux réalités et aux besoins des résidents de notre quartier en matière de déplacement, de circulation, d’aménagement et de transport.
11 mars 2013 à 22 h 58
Wow! souper et service de garde gratuits, et 3 rencontres. Je leur lève mon chapeau. Même si on n’y servait que des p’tits-sandwich-pas-d’croûte, ce serait encore une formidable initiative. On ne se cachera pas d’ailleurs que St-Sauveur comporte son lot, probablement plus qu’ailleurs, de familles monoparentales et/ou (trop souvent « et… ») à faibles revenus.
D’ailleurs, je m’écarte un tantinet, mais quand je pense à la ville et ses quartiers centraux qui veulent attirer ou simplement retenir les « jeunes familles » (expression bien en vogue), je me demande aussi pourquoi on ne commence pas par leur donner la parole. Ce n’est pas avec leurs assemblées à 19h30 qui tombent toujours un même soir de semaine qu’on va les inclure facilement dans la vie démocratique de leur quartier. Qu’ils prennent exemple sur cette consultation et ce sera un grand pas en avant.
Et puis oui, je sais bien, de nos jours on peut aussi faire ce genre d’exercice par le net. Mais pour l’instant, on semble se limiter à des consultations en ligne où on rempli un formulaire avec le moins de « texte libre » possible, question de limiter les réponses possibles et simplifier le travail de ceux qui les liront… en supposant qu’ils soient lus tout court. Ce n’est d’ailleurs pas ce qui permet une interaction entre les participants, pas plus que ça ne crée de cohésion.
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