Maxime Bergeron
La Presse
(Québec) La capitale du Québec n’est plus tout à fait la ville de fonctionnaires qu’elle était. Des investissements privés et de nouveaux secteurs d’activité gardent les jeunes sur place et en attirent d’autres. Du jamais vu en plusieurs décennies.
On l’aperçoit à des kilomètres. À la sortie des ponts de Québec, sur le boulevard Laurier, impossible de rater le chantier de ce gratte-ciel de 29 étages, où une grue installe les derniers panneaux de verre en ce matin ensoleillé de février.
Le flux migratoire se renverse
* Merci à un très fidèle lecteur (Pascal Bouffard)
11 mars 2013 à 18 h 46
Ça fait plaisir de constater que j’ai fait un bon choix en 2011 en quittant Montréal ! .. je suis arrivé au moment où la ville va bien.
Et c’est justement l’offre d’un emploi de qualité qui m’a donné la chance de vivre dans cette belle ville. Jamais je ne regretterai mon choix ! … de plus, la qualité de vie est vraiment meilleure ici.
Parcontre, je ne croise pas beaucoup de Montréalais d’origine à Québec…. peut-être que c’est un hasard…
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11 mars 2013 à 18 h 52
Je suis aussi très content de voir que la ville se développe autant que ça. Ça aide effectivement les gens à demeurer à Québec plutot que de quiter.Vivement les investissements dans la capitale.
Moi de même je connais beaucoup de gens de l’extérieur de la région qui habitent Québec, j’en connais de 3-rivieres, Gaspésie, MTL.
Ils aiment tous la ville à merveille.
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11 mars 2013 à 21 h 33
Ben raison il faut investir dans la ville si ont veut garder nos jeunes à Québec. La ville change peu à peu de mentalité et se modernise de plus en plus. J’adore ma ville de Québec.
Des investissements on en veut encore plus.
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11 mars 2013 à 23 h 07
J’ai aussi été content de lire l’article sur le flux migratoire qui s’inverse. Mais immédiatement je me suis posé la question suivante : sais-t’on l’âge des gens qui migre? Est-ce des jeunes travailleurs? Ou des nouveaux retraités souhaitant quitter la métropole?
Car, pour avoir graviter autour du milieu universitaire, avant de vouloir attirer le couple de la polytechnique, il faudrait être capable de garder celui de l’Université Laval! Les étudiants finissants sont nombreux à quitter Québec pour d’autres régions (pas toujours Montréal). En particulier les étudiants étrangers.
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13 mars 2013 à 22 h 34
Moi je connais 4 personnes qui son venu habiter à Québec qui sont d’ailleur au Québec et ce sont des gens dans la vingtaines.
Mais pour la moyenne d’âges des autres qui ont migré à Québec , c’est bien dure à dire
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11 mars 2013 à 23 h 26
Très résumé avec quelques coins tournés ronds, mais aussi très positif comme article!
Je trouve toutefois un peu étrange qu’on oppose la machine gouvernementale aux investissements privés. Ok, d’accord pour le stéréotype, et on s’entend que dans l’ensemble, Québec est plus vivante qu’avant. Reste que les 6800 emplois de fonction publique créés en 11 ans sont un apport économique qui a probablement engendré la création d’autres emplois dans le privé. Je ne parle pas juste du fait que plus d’argent circule et que la consommation augmente alors (que ce soit aller au resto ou se faire construire une maison), mais aussi des cascades du genre: deux parents qui travailles, ce qui crée des emplois en garderie, services de garde scolaire et camps de jour.
Mais le plus gros apport gouvernemental est sûrement la quantité de travail qu’il a refilé au privé depuis ces 11 ans! C’est évident que cela crée de nombreux emplois au privé, que ce soit les TI, l’ingénierie, ou l’entretien ménager…
Je ne suis pas en train de dire que c’est bien ou mal (il y en a long à dire d’un côté comme de l’autre), je ne fais qu’un constat. Du moins, c’est ma perception des choses, car l’article ne traite pas vraiment de cet aspect. Bref, ça revient à ce que je voulais dire: les chiffres présentés ne permettent pas pas de décrire la situation et tout ce qu’on peut en tirer c’est une interprétation, comme celle dans l’article, qui en vaut bien une autre.
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12 mars 2013 à 10 h 17
L’article souligne avec raison l’amélioration de la situation économique de la ville, mais il est truffé de raccourcis et d’interprétations. Mettons qu’il ne faut pas trop pousser loin son analyse!
Exemple :
«Il salue le leadership de Régis Labeaume, qui a contribué à remettre Québec «sur la mappe», avec, notamment, un nouvel aéroport de calibre international.»
À ce que je sache, quand les travaux ont commencé, il n’était même pas encore maire de la ville. A-t’il vraiment joué un rôle dans ce projet?
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12 mars 2013 à 10 h 38
Peut-être ?
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12 mars 2013 à 15 h 37
Le leadership du maire Labeaume est indéniable, mais ce serait malhonnête de lui accorder du bénéfice sur des projets enclenchés avant sa venue au pouvoir.
Quand l’intervenant parle d’un nouvel aéroport de calibre international, je suis persuadé qu’il parle de la reconstruction du terminal en 2007-2008 (agrandissement de 100 millions $), qui a un impact plus marquant dans l’évolution de cette infrastructure que les travaux d’agrandissement en cours. Je cherche toujours le lien entre l’arrivée du maire Labeaume (élu la première fois pendant que les travaux se déroulaient déjà) et cet évènement.
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13 mars 2013 à 22 h 42
Il ne faut pas oublier que l’article est basé sur le fait qu’il y a beaucoup plus d’investissement qui se fait dans la ville et que la ville se développe à un rythme que la ville n’avait pas vu depuis bien longtemps.
La construction en hauteur commence a`réaparaître depuis les année 1970 etc.
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14 mars 2013 à 09 h 42
Des photos qui démontre que ça fesais longtemps qu’on avais pas vu ça à Québec :
http://i248.photobucket.com/albums/gg200/BenQue/dimanche8Juillet2008010.jpg
http://i248.photobucket.com/albums/gg200/BenQue/9novembre2008007.jpg
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