Québec Hebdo
Isabelle Chabot
L’opération de démolition de l’église Sainte-Marie-Médiatrice a été lancée mardi matin à Château-d’Eau. Aussi surnommé la petite église rose, le bâtiment religieux laisse sa place à une coopérative d’habitation pour personnes âgées.
* Merci à une très fidèle lectrice (Mireille Campagna)
20 mars 2013 à 12 h 52
Je suis bien contente que pour une fois, ce ne soit pas un bâtiment à condos à plusieurs étages qui prendra la place. Cependant, c’est le coeur d’un petit quartier historique qui est touché ici.
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20 mars 2013 à 14 h 47
On démolit des églises parce qu’elles ne servent plus. Elles ne sont plus utiles « pour le développement des affaires » de la religion catholique, selon l’expression que l’on emploie à la commission Charbonneau. Puis un temps viendra où on démolira les stades, amphithéâtres et autres arénas dont les loges servent principalement au « développement des affaires » tel qu’entendu encore aujourd’hui dans le témoignage d’un représentant d’une importante firme qui décrochait des contrats avec entre autres cet outil. N’en déplaise à PKP et Labeaume. Pas de loges des grandes firmes d’ingénieurs et d’entrepreneurs en construction, pas de rentabilité.
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21 mars 2013 à 11 h 06
Ce qui me désole, ce n’est pas tant la fermeture des églises… mais leur démolition. Il me semble qu’il est possible de transformer des lieux, de changer les vocations des bâtiments, sans tout raser à chaque fois! C’est la valeur patrimoniale…
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21 mars 2013 à 18 h 06
Médiocrité et manque de fierté !
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21 mars 2013 à 18 h 09
Vous êtes membre du Conseil de Fabrique ? Sinon, vous vous exprimez au nom de qui ? Aviez-vous une solution de remplacement différente ? Avec quel budget ? De qui ? Merci pour votre collaboration.
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22 mars 2013 à 10 h 17
Simple citoyen qui critique et qui regarde son patrimoine se déconstruite petit à petit, au nom de grands projets sans âme, sans demande – du type codos plats. Un manque d’esprit de développement durable, de fierté patrimoniale, qui pousse les gens à lâcher prise et à opter pour le fameux et facile «ça coûterait plus chère rénover que de reconstruire», que je n’ai observé qu’ici, au.. Québec.
Triste !
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