Cela se passe quelque part aux États-Unis. Mais cela pourrait avoir été produit à Québec. Le photojournaliste Scott Strazzante documente un vieux couple vivant sur leur ferme. Ces derniers la vendent à un promoteur qui en fait un lotissement de banlieue.
Scott continue de documenter la vie d’une petite famille installée sur les lieux. La vie des fermiers est-elle vraiment si différente des nouveaux arrivants? Dans une série de diptyques qui s’étire sur 14 ans, Scott nous montre que la vie, aussi différente semble-elle être, est parfois étrangement semblable.
4 juin 2013 à 17 h 10
A Québec ?
Signaler ce commentaire
4 juin 2013 à 23 h 05
Quel gaspillage. Tout ça pour ces maisons moches.
Signaler ce commentaire
5 juin 2013 à 17 h 29
Moche selon vos goûts. Il y a maintenant plusieurs dizaines de famille qui ont une maison à eux alors qu’avant, il n’y avait qu’un seul propriétaire.
Signaler ce commentaire
5 juin 2013 à 19 h 50
Un seul propriétaire oui, mais qui produisait de la bouffe pour des
milliers de personnes.
C’est pas fort votre commentaire.
Signaler ce commentaire
5 juin 2013 à 06 h 17
Je présume qu’il y a un point de rupture entre la juste balance des
deux. C’est-a-dire plus de monde, plus de bouffe, moins de terre,
moins de bouffe. Pour le moment, il reste assez de terres pour
nourrir tout ce beau monde, mais éventuellement la rareté va faire
en sorte que nous allons passer de l’état d’auto-suffisance alimentaire à l’état d’auto-dépendance.
Plusieurs autres pays on compris que les terres agricoles sont
un bien précieux, non pas pour l’habitation mais pour l’alimentation.
Lisez ceci:
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/03/11/015-terres-arables-vente.shtml
Signaler ce commentaire