Source : Isabelle Porter, Le Devoir, le 17 juin 2013
La Ville de Québec se prépare à installer des panneaux indiquant quels stationnements ont des places de libres dans le centre-ville.
Très répandue en Europe, cette technologie permet de réduire le trafic, mais Québec espère aussi s’en servir lors d’évènements spéciaux pour s’ajuster en temps réel aux problèmes de circulation.
Le terme le plus répandu pour la décrire est «système de jalonnement dynamique». On en trouve déjà à certains endroits à Montréal.
À compter du printemps 2014, 35 modules seront installés sur le territoire de Québec. La chose a l’allure d’une boîte horizontale de métal et s’installe légèrement en hauteur sur les poteaux le long des rues.
18 juin 2013 à 12 h 49
Avec 35 modules, on devrait pouvoir couvrir assez bien les diverses artères de la ville par lesquelles on accède potentiellement aux stationnements.
Néanmoins, en plus des 35 modules installés un peu partout, je suggère un autre endroit, visible de presque partout pour plusieurs personnes, et à très peu de frais: le web.
Et bien que la gestion des espaces sur rue est inévitablement beaucoup plus laborieuse, il y aurait tout de même un petit pas à faire dans cette direction: ajouter une « couche » sur la carte interactive de la ville avec les espaces de stationnement existants sur rue (par tronçon). Une codification par couleur ferait probablement l’affaire Il existe une multitude de restrictions différentes, mais il y aurait probablement moyen de réduire ça à quelques catégories (et autant de couleurs) du genre: parco jusqu’à 17h, parco jusqu’à 21h ou plus, 30-120 minutes (sauf permis résident) un jour sur deux, 5 jours/semaine, aussi en soirée, etc.
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18 juin 2013 à 12 h 51
… ou sinon juste deux couleurs pour indiquer les espaces restreints ou non pour une période donnée (genre « soir de semaine ») avec une couche par période.
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18 juin 2013 à 17 h 55
Je pense que les informations sur les panneaux de stationnement font partie des données ouvertes de la Ville de Québec… Ça prendrait juste quelqu’un de motivé et capable de développer une telle application…
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19 juin 2013 à 16 h 00
http://www.parkmoi.com/
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19 juin 2013 à 23 h 55
whoa! MERCI!
Ça semble faire un an que c’est là, mais je n’en avais jamais entendu parler. Un autre bel exemple de « crowdsourcing » (« externalisation ouverte »…).
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19 juin 2013 à 09 h 22
Le web n’égale pas « très peu de frais ». On parle de bande passante, de serveur, de ventilation, de licences, maintenance, etc. Tout ça coûte cher.
Si les données sont publiques comme ce l’était avec le RTC, quelqu’un de motivé pourrait possiblement développer une application et ensuite si la ville la trouve intéressante, elle pourrait la rachetée.
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19 juin 2013 à 10 h 55
Pas d’inquiétude pour ça…
On parle d’une quantité infime de données (le nombre de place dans chacun des stationements). Ces données seront déjà sur un serveur quelque part, prête à être envoyées à des panneaux un peu partout en ville. La ville a déjà un site web et toute les infrastructures TI nécessaire à cet effet. Même pas besoin pour l’instant de faire un « application ». Juste rendre l’information disponible quelque part sur le site de la ville serait un bon départ (ce n’est sûrement pas plus compliqué mettre les chiffres à jour sur un serveur web que sur des panneaux). Pas besoin de faire compliqué quand on peut faire simple.
Bon ok, peut-être qu’au prorata de toute la bande passante utilisée par la ville ça ferait quelque chose comme 0,05$ par année…
Ensuite, faire une « application mobile » serait passablement facile, beaucoup plus que pour le RTC.
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19 juin 2013 à 12 h 33
J’avais bien aimé ce truc pour identifier les espaces libres à Zurich. Très efficace.
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