Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le commerce dans cinq rues de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 juillet 2013 8 commentaires

Marie-Pier Cayer
Le Soleil

Le Soleil rapportait vendredi le «cri du coeur» de regroupements de gens d’affaires de la Ville de Québec concernant l’opposition citoyenne à plusieurs projets de développement. La vitalité des grandes artères est à risque selon les associations de Montcalm, de la Place Royale-Vieux-Port, du Petit-Champlain, du Centre-Ville et du Vieux-Québec. Les associations de commerçants de l’avenue Maguire, du Faubourg Saint-Jean et de la 3e avenue dans Limoilou avaient aussi leur mot à dire.

La suite

Locaux. St-Joseph * Mise à jour faite par un comité de citoyens. 18 locaux vides sur St-Joseph

Un billet précédent

Voir aussi : Commercial.


8 commentaires

  1. Juliette

    6 juillet 2013 à 09 h 48

    La rue St-Joseph en chiffres…
    3 locaux vacants ???

    Pour être passée sur St-Joseph la semaine dernière, j’en ai compté plus d’une dizaine. Ces chiffres me font douter du sérieux de cette compilation…et malheureusement du reste.

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    • denisb

      7 juillet 2013 à 12 h 10

      Vous avez raison. Lorsqu’on va constater par nous même, la réalité est très différente de ce que Le Soleil nous donne comme chiffre.

      Comme à l’habitude, la rigueur journalistique n’est plus tellement au rendez-vous de nos jours.

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  2. o.amiot@laposte.net

    6 juillet 2013 à 11 h 56

    Cela remet un peu en question l’urgence des associations de gens d’affaires. D’ailleurs faut-il noter que nombre des commerces qui s’ouvrent sur St-Joseph ont une vocation régionale-touristique et non la clientèle locale? Je veux bien que l’on augmente la population du quartier, qui a diminué entre autre avec la destruction d’un quartier complet (l’autoroute Dufferin) et la diminution du nombre de personne par ménage. Pour cela, Pointe-au-lièvre est sur le bon chemin.

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  3. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    6 juillet 2013 à 13 h 09

    La compilation me semble assez imprécise (pour ne pas dire carrément mal faite).
    En date d’aujourd’hui, je compte au moins 9 locaux commerciaux actuellement vacants sur la rue Saint-Jean entre Turnbull et Honoré-Mercier.
    En partant de Turnbull,:
    -le libraire et le luthier (2 locaux) au 236 ont quitté;
    -l’antiquaire Pierre Trempe vient de fermer;
    -la pizzeria 2 pour 1 est fermée depuis plusieurs semaines;
    -l’immeuble de la boucherie Bégin est abandonné et la reconstruction se fait attendre;
    -le club vidéo/vendeur d’accessoires pour animaux au 640 a quitté et les tentatives de transformer le local voisin en espace commercial ne semblent pas donner de résultats;
    -le salon de coiffure Nullepart ailleurs est déménagé (une boutique de cupcakes serait sur le point d’ouvrir par contre);
    -une affiche «Local à louer» garnit la vitrine du Comptoir du livre depuis plusieurs mois même si la librairie fonctionne toujours;
    -le local du Commensal est vacant;
    -le local commercial à l’étage du salon Saint-Laurent (l’ancien local de Créations Suzanne) est à louer depuis fort longtemps (quelques années en fait).
    Et si on ajoute à cela les très nombreux locaux inoccupés dans la section entre Turnbull et Salaberry, la situation des commerces sur Saint-Jean ne semble pas très rose…

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  4. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    6 juillet 2013 à 14 h 27

    Dans le cas de Saint-Joseph, il pourrait p-e convertir certains édifices en condos (je sais que certains ont une sainte horreur de ce mot).

    Entre des condos et des commerces vides, je crois que la 1e option est la meilleure.

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  5. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    6 juillet 2013 à 15 h 12

    Je retiens :

    « Il insiste aussi sur le fait que, depuis 2008, jamais l’avenue n’a reçu autant de demandes pour s’y installer. »

    « Le directeur général voit d’un oeil positif le renouvellement. Selon lui, cette situation laisse plus de locaux vacants pour les nouveaux commerçants. »

     » Le président prévoit également que la construction de l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres et celle du Colisée profiteront aux commerçants. »

    « Catherine Noiseux, directrice générale de la SDC, stipule que les locaux sont très recherchés. À preuve, l’édifice du restaurant Le Commensal a déjà trouvé preneur, moins d’un mois après sa mise en vente. »

    « le taux de roulement est d’environ de 15 à 20 %, un taux «normal et comparable à d’autres rues commerciales». »

    Le cri du cœur et la comparaison avec Detroit était donc exagéré il faut croire! En fait, l’avenue qui s’en tire le moins bien semble aussi être celle la plus éloignée du centre-ville, Maguire!

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    • Juliette

      6 juillet 2013 à 15 h 32

      je crois que l’avenue Maguire s’en tire moins bien depuis l’arrivée du Jules Dallaire et l’agrandissement du Delta dont les nombreux restaurants sont directement en compétition avec ceux de Maguire.

      De plus, il ne faut pas oublier que cette rue est à 5 minutes de 3 grands centres commerciaux.

      Est-ce que le remplacement du stationnement gratuit par un stationnement sous-terrain payant viendra relancer Maguire?

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  6. David

    7 juillet 2013 à 12 h 04

    Sans tomber dans le statu quo (et le pas dans ma cour), faudrait pas non plus exagérer l’impact de la contestation citoyenne sur le milieu du développement. Ça sent les excuses faciles pour expliquer quelques fermetures…

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