Source : François-Olivier Roberge, Le Soleil, le 14 août 2013
(Québec) Le sentier des Grèves – première partie de la phase 2 de la promenade Samuel-de-Champlain inaugurée en grande pompe en juin 2012 – est entièrement fermé depuis le 1er mai et jusqu’à la Fête du Travail, pour permettre des travaux visant à mettre aux normes deux escaliers de ce parcours piétonnier.
Après la fermeture pour l’hiver de novembre à avril, la Commission de la capitale nationale a retardé l’ouverture annuelle du sentier, prévue le 1er mai, pour rehausser les garde-fous jugés non conformes des deux escaliers menant à la plage Gagnon.
La porte-parole de la Commission de la capitale nationale, Anne-Marie Gauthier, a expliqué au Soleil, mardi, que la commission a appris l’année dernière que la hauteur des balustrades n’était pas règlementaire.
Deuxième tronçon du sentier des Grèves : échéancier en attente
Des lecteurs de Québec Urbain qui voulaient faire une randonnée et qui se sont butés à cette interdiction ?
15 août 2013 à 06 h 44
Un petit cas de « Lavalite » à Québec ? « On te fais la job sans te dire que c’est pas conforme pis tu nous redonne le contrat de mise aux normes, puis t’as ta quote dessus »…
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15 août 2013 à 12 h 19
Décidément …
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15 août 2013 à 08 h 14
Ridicule et typiquement nord américain comme norme! Si les gens sont assez stupides pour sauter par dessus, c’est de la sélection naturelle.
J’ai eu le même problème en remplaçant un garde-fous banal par un ouvrage en fer forgé. Après le passage d’une inpecteure, Il fallait ajouter 25 cm de hauteur. Résultat, c’est une cage à homard et tout le travail est dénaturé. Ce règlement est à chier.
Au fait, combien de gens se sont tirés dans le vide au cours des 50 dernières années?
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15 août 2013 à 08 h 18
Curieusement une histoire semblable avec la passerelle à Cap-Rouge. Y’a quelqu’un qui fait pas sa job.
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15 août 2013 à 11 h 28
Toutes ces normes et règlements sont parfaitement documentés. C’est aux concepteurs de s’assurer de la conformité de leurs idées lors de la réalisation des plans, qui doivent êtres approuvés par une « autorité compétente ». (étampés, signés). Après-ça on passe à la réalisation qui doit être surveillée par une autre « autorité compétente » qui s’assure que la construction est conforme aux plans. Pas compliqué.
Si c’est comme l’histoire des viaducs du provincial y’a encore du ménage à faire dans certains ordres professionnels probablement.
Mis bout à bout, ça fini par coûter cher au contribuable tout ça…
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15 août 2013 à 12 h 11
J’apprécie la lecture du dernier paragraphe en lien avec la suite du tronçon de cette deuxième phase. Ils sont tributaires évidemment du MTQ qui est en charge des modifications sur la partie du boulevard sous les ponts. J’imagine que l’arrivée en place du nouveau gouvernement a changé la donne et ces travaux ont dû être repoussés. Patience…
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15 août 2013 à 14 h 00
En ajout: Québec) La Commission de la capitale nationale n’est toujours pas en mesure de dévoiler à qui revient l’erreur des garde-fous des escaliers du sentier des Grèves, qui ne respectent pas les normes.
«On ne peut pas entrer dans les détails pour l’instant», a indiqué la porte-parole de la Commission, Anne-Marie Gauthier. «On évalue les options qui s’offrent à nous.»
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201308/15/01-4680118-sentier-des-greves-lorigine-de-lerreur-encore-a-determiner.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_la-capitale_577_section_POS2
http://tinyurl.com/llb3kaz
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15 août 2013 à 15 h 26
Tant qu’à ça il va falloir fermer tous les grands escaliers de la ville ( Cap Blanc me vient en tête) Bon tant qu’à faire du neuf aussi bien, bien les faire… Mais de là à tout fermer!
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17 août 2013 à 09 h 09
J’imagine qu’aucun escalier de Charles Baillairgé ne respecte les normes.
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15 août 2013 à 21 h 16
« Ça fa que si j’comprends ben, j’ai toute faite ça l’année passée au péril de ma vie ! »
« Aie ! Des affaires de meigne, c’est assez pour me rendre cardiaque ! »
« Pis moé qui vient d’acheter el-liv liv su les escaliers de Québec, que j’ai faite venir d’urgence, grâce à mon libraire du Carrefour Charlesbourg, va ben falloir que je l’appelle par téléphône, demain matin, pour y dire de dire toute ça aux ceusses qui ont écrit cte liv-là, dé fois que y fôdra que y fassent queque chose su ça ! »
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15 août 2013 à 23 h 34
Que l’entrpreneur qui a réalisé les travaux soit ou non responsable, la ville a nécessairement une part de responsabilité: soit elle a fourni des devis erronés, soit elle a accepté un produit livré incorrect, ou les deux.
D’ailleurs, quand un médecin (par exemple), commet une « erreur médicale », on peut ici au Québec le poursuivre personnellement et le cas échéant, la note sera couverte par son assurance responsabilité. Pourquoi n’en est-il pas ainsi pour les ingénieurs? Le prétentieux « ing. » à leur signature, c’est pour « insignifiant » ou « ingénieur »? Avec un ordre professionnel aussi puissant et une longue liste d’actes légalement réservés, où est rendu la responsabilité? Il me semble que c’est simple « tu signes, tu es responsable ».
Évidemment, on parle ici de garde-fous, pas d’un viaduc tombé qui a fait des victimes. Mais le principe est le même. Il y a des êtres humains responsables et redevables.
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15 août 2013 à 23 h 41
La Ville ?
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17 août 2013 à 14 h 20
En fait, plutôt la Commission de la capitale nationale, ou quiconque était en charge de ce petit chantier.
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16 août 2013 à 02 h 19
Je me demandais pourquoi ces si bels escaliers sont demeurés fermé toute l’été. Maintenant que j’apprends la vraie raison, je constate que c’est complètement ridicule. Pourquoi en avoir bloqué l’accès pour une niaiserie comme celle là? La majeure partie de la saison touristique sera terminée lorsqu’ils seront enfin rouverts.
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