Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Plein de nouveaux restaurants dans Lebourgneuf

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 août 2013 30 commentaires

Source : Olivier Parent, Le Soleil (25 août 2013)

Petit boum de restaurants en vue dans le secteur des Galeries de la Capitale. Les bannières Cosmos, Houston Avenue Bar & Grill, Jaja La Pizz et Les 3 Brasseurs sont toutes sur le point de s’y installer, tandis que L’Académie s’y prépare sérieusement.

L’offre en restauration s’agrandira dès l’automne dans le secteur en pleine croissance de Lebourgneuf. «Il s’est ajouté énormément de pieds carrés d’espaces à bureaux, énormément de résidentiel et le secteur est en très forte effervescence», observe Yves Bois, qui dirige les Galeries de la Capitale depuis 29 ans. «Il manquait de surfaces de restauration», dit-il.

(…) Tous les restaurateurs questionnés ont mentionné le futur cinéma dans leurs motivations à s’installer dans le secteur en pleine croissance.

Lire l’article

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial.


30 commentaires

  1. Phil R

    27 août 2013 à 10 h 08

    Et voilà! Encore une fois, l’offre commerciale est et restera toujours plus intéressante en banlieue qu’à St-Roch. J’aimerais qu’on m’explique pourquoi les promoteurs et commerçant se battent pour avoir une place dans Lebourgneuf et non en pleine ville?

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    • julien

      27 août 2013 à 10 h 12

      probablement parce que leurs études de marché leur prouvent qu’ils feront plus de profits à Lebourgneuf que dans St-Roch…

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    • sgauvin Utilisateur de Québec Urbain

      27 août 2013 à 10 h 42

      Plus intéressante? J’hallucine…

      Si ces restaurants s’installent dans Lebourgneuf, c’est parce qu’il y a de la place, que l’offre commerciale qui s’y trouve présentement est assez limité.

      Le centre ville est mature et a une offre pas mal plus garnie que les nouveaux restaurants de Lebourgneuf, qui sont de toutes façons pas mal les même que ceux de Ste-Foy.

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    • BF Luc

      27 août 2013 à 10 h 46

      « l’offre commerciale est et ***restera toujours*** plus intéressante en banlieue  »

      On s’en reparle dans combien d’années pour ce qui est de Lebourgneuf? Toujours c’est combien d’années10 ans? ;-)

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    • Louis-Nicolas

      27 août 2013 à 11 h 14

      Parce que le ratio clients / commerces en ville est saturé? S’il n’y a pas plus de résidents en ville ça sert a rien d’avoir plus de restaurants.
      Vous allez me dire que certains restaurants vivent spécifiquement avec une clientèle touristique, mais ce n’est vraisemblablement pas le cas de ceux-ci.

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    • Seb

      11 octobre 2013 à 17 h 29

      Dans St-Roch c’est le promoteur qui choisi le type de commerce….

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  2. Jp-Duval

    27 août 2013 à 12 h 23

    C’est un peu triste à dire, mais pour les prochaines années il y aura deux pôles de développement économique à Québec.

    1- Lebourgneuf
    2-Ste-Foy.

    L’annonce des ces investissements fait suite à la demande provenant de la construction de locaux commerciaux…Le développement de Ste-Foy et de l’entrée des ponts aura le même résultat.

    Dommage pour St-Roch, mais j’ai bien peur que bien des compagnies vont déménager pour aller s’établir dans l’un de ces nouveaux secteurs….

    Peut-etre que sur un horizon de 10 ans le centre-ville redeviendra un plywood city??

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    • louuiss Utilisateur de Québec Urbain

      27 août 2013 à 17 h 41

      Je partage malheureusement la prédiction. :(

      L’arithmétique est pourtant simple. Si le centre-ville n’accueille chaque année qu’une infime partie de l’augmentation de la population de l’agglomération, son poids économique et politique relatif diminue d’année en année. Mais ça, cette marginalisation inexorable, y’a personne dans les conseils de quartier qui a envie de le voir, on dirait. Le discours m’apparaît trop souvent se résumer à : Mon confort d’abord pis le reste, c’est po mon problème!

      Qui n’avance pas, recule.

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        27 août 2013 à 21 h 10

        Effectivement, je partage votre analyse.

        On est passés à côté de belles opportunités de densification dans Saint-Roch…

        Espérons seulement que la ville saura relancer le projet de la Pointe-aux-lièvres et quand à l’éternel débat du nombre d’étages de la tour de la place Jacques-Cartier, on s’en fout un peu, j’aime mieux 8 étages que pas de construction du tout.

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    • guibert

      27 août 2013 à 19 h 02

      Si votre oracle se réalisait, ce serait essentiellement un problème de politique publique et non la fatalité (c’était peut-être également le cas lors de la première dévitalisation de Saint-Roch, il faudrait que je m’y penche plus sérieusement):
      – application absurde du zonage ou concession de dérogations inadéquates à certains promoteurs
      – incapacité à prendre en compte le coût réel du développement suburbain et des cycles de rénovation d’infrastructures
      – manque de cohérence de la vision en matière d’urbanisme et des secteurs prioritaires à redévelopper
      – Imposition d’une vision et d’une conception des espaces publics urbains (principalement les rues) dictée par des préoccupation axées sur l’automobile
      – etc.

      En bref, tant mieux que des franchises s’installent à Lebourgneuf ou à Sainte-Foy, mais pour le moment, ça n’enlève strictement rien au dynamisme et à la créativité des restos de centre-ville ou de Saint-Roch/saint-sauveur en particulier. Il y a plusieurs enseignes récentes où l’on mange incroyablement bien à des prix raisonnables et où ça ne désemplit pas!

      Le problème des prophéties, c’est que souvent on aimerait au fond qu’elles soient autoréalisatrices et c’est souvent les mêmes qui les formulent!

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  3. Mike

    27 août 2013 à 14 h 11

    Personnellement je trouve le secteur de Lebourgneuf plus intéressant que St-Roch et je préfère qu’il y es du developpement dans ce coins.

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  4. Jeff M

    27 août 2013 à 18 h 10

    Franchement là, je trouve qu’il y en a qui vont un peu fort.
    D’abord, Lebourgneuf pouvait difficilement aller en descendant, l’offre n’est vraiment pas forte en ce moment.
    Puis pour le centre-ville de Québec, si on inclus tout ce qui est à proximité: rue Cartier, rue St-Joseph, rue St-Jean et Grande Allée, tous ça ensemble n’a rien à envier à aucun autre secteur de la ville. Ça ne joue vraiment pas dans la même ligue.

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  5. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    27 août 2013 à 20 h 26

    Et le centre-ville a eu son lot d’ouvertures depuis 5 ans aussi, le visage de la Grande-Allée en particulier a particulièrement changé depuis l’ouverture du St-Hubert(2008 de mémoire) et le Savini (2007 je crois) avec l’arrivée de l’Atelier, Linox et autres en plus de l’arrivée des 3 Brasseurs aussi. Disons qu’entre l’ouverture du Cosmos il y a maintenant plus de 20 ans et le Savini , la GA avait eu une moyenne traversée du désert….

    Évidemment dans Lebourgneuf , on parle de joueurs majeurs avec d’immenses restaurants(+ de 300 places chaque) Et on oublie le Simone et Ramone et la Voie Maltée…
    Il n’y a pas que le Concorde qui va fermer à moyen terme.Un restaurant qui ne s’adapte pas meurt vite à Québec.

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  6. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    27 août 2013 à 22 h 26

    Il ne faut pas dramatiser outre mesure avec l’ouverture de ces nouveaux restos dans Lebourgneuf. Dans bien des cas (Cosmos, Trois Frères, Cochon Dingue, etc) il s’agit d’enseignes déjà présentes au centre-ville ou de restos pour lesquels on y trouve déjà l’équivalent. Ces restos vont simplement répondre à une demande provoquée par l’accroissement du nombre de résidents et de travailleurs dans le coin.
    Mais, et il y a un mais: il est grand temps que l’adminstration municipale s’occupe du centre-ville. Le futur amphithéatre ne contribuera en rien au centre-ville parce que trop loin; on a sorti les fonctionnaires fédéraux pour les expédier à d’Estimauille sans prévoir de solution de rechange; on a aplaudi à la fermeture du cinéma sur la rue du Pont dans l’espoir d’y intaller les conservatoires, projet mort-né, laissant Québec comme seule ville de sa taille sur le continent à ne pas compter de complexe cinématographique important dans son centre-ville; la ville n’a aucun plan de redéveloppement des terrains laissés vacants il y a maintenant 6 ans par la démolition en 2007 des bretelles de l’autoroute Dufferin (on commencerait à y songer semble-t-il…); on reste les bras croisés devant l’état désolant du haut de la côte d’Abraham (Saint-Vincent-de-Paul et les bâtiments voisins). Si on continue, on risque de perdre tous les acquis péniblement gagnés sous l’administration Lallier…

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    • guibert

      28 août 2013 à 09 h 26

      Malheureusement, vous avez raison sur l’ambiguité qui semble régner dans l’administration municipale actuelle sur l’avenir du centre-ville. Ça donne l’impression qu’il y avait une foule d’opportunité, mais qu’on regarde le train passer. En ce sens, ça rejoint mon commentaire plus haut, c’est davantage un problème de politique publique et d’incapacité (ou d’absence de volonté réelle) à diriger la croissance urbaine où désiré.

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  7. grand galop

    28 août 2013 à 07 h 52

    Je suis allé dans Lebourgneuf récemment, je n’y avais pas mis les pieds depuis trois ou quatre ans. J’avais souvent entendu dire que c’était le nouveau centre-ville de Québec. Obligé de m’y rendre pour un rendez-vous important, je me suis dit que j’aillais constater par moi même si tous ces gens disaient vrai. Par ce bel après-midi d’été il y avait effectivement beaucoup de monde, mais tous en voitures, il n’y avait personne sur les trottoirs. Une ambiance bizarre y régnait, avec tous ces automobilistes l’air surpris de voir quelqu’un marcher. J’ai eu l’impression d’être dans un film de science-fiction. Après mon rendez-vous, je me suis empressé de reprendre l’autobus pour quitter ce quartier industriel de luxe pour enfin retourner dans le chaleureux et convivial quartier Saint-Roch où on peut aller, comme dans un vrai centre-ville, au restaurant sans voitures.

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    • Louis-Nicolas

      28 août 2013 à 23 h 48

      J’approuve votre ressentiment… J’habite un peu plus au nord près de cheaveau et a part transiter par le Boulevard Lebourneuf ou bedon aller au Galerie de la capitale version Sud (et Nord parfois) je ne m’y arrête jamais.
      Y’a une ambiance froide dans le coin… avec ces pylônes électriques, ces terrains encore vacants, le manque de convivialité, le Boulevard Pierre Bertrand qui est pratiquement en ruine dans ce secteur… C’est comme si il n’y avait pas d’âme à ce secteur.
      Je me verrais mal aller prendre une marche ou faire une activité dans le coin après un souper bien arrosée question de digérer le tout et de revenir sous le 0.08 pour rentrer sécuritairement chez moi. Y’a beau avoir le parc de l’escarpement, j’irai pas me promener la un Samedi soir vers 10h pm. Il manque cruellement de divertissements, de vie, dans le secteur.

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  8. J.

    28 août 2013 à 09 h 26

    La dispersion des nouveaux édifices dans ce secteur est telle, il me semble, que les travailleurs de toutes ces entreprises devront utiliser leur véhicule chaque fois qu’ils sortiront pour aller prendre leur dîner à l’extérieur à toutes ces chaînes de restauration, les distances étant trop grandes pour qu’ils puissent sortir, dîner, et rentrer au travail sans que leur « heure de dîner » ne soit dépassée. On est encore bien dans l’aire « tout en auto ». Et il faudra compter beaucoup de surface totale d’asphalte pour accommoder tour ce monde au lieu de travail et aux restaurants. Utiliser le plus de surface possible pour l’auto, ça fait pas un peu 2012 et avant ?

    Vrai aussi le commentaire de Grand galop. Quand j’y vais, à part quelques cyclistes, il n’y a aucun piéton et aux arrêts d’autobus (moins celui des Galeries) il n’y a pas d’usagers qui attendent, dans le jour.

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    • Manu

      28 août 2013 à 11 h 34

      Effectivement, pour aller dîner à pied, les options sont généralement très limitées, question de temps de déplacement.

      Et il n’y a pas non plus de traverse piéton protégée (i.e. pas de « p’tit bohomme blanc ») sur 2 des 4 côtés de l’intersection Lebourgneuf/Pierre-Bertrand. T’as beau traverser sur une lumière verte, t’es rendu à mi-chemin et sans le savoir (car on ne voit plus les feux de circulation) c’est rendu le virage à gauche protégé de ceux qui arrivent d’en arrière… et vers toi. Le tout à côté d’un arrêt du 803.

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  9. André

    28 août 2013 à 10 h 28

    Ça va faire du bien, on manquais tellement de restaurant à Québec, en tout cas c’est pas a lebourgneuf qu’on ira marcher, endroit qui deviendra très laid avec le temps, et le centre ville deviendra très laid avec le temps aussi.

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  10. Omer

    28 août 2013 à 12 h 25

    En ce qui me concerne, quand je sors au restaurant avec des amis ou ma famille, je n’ai pas trop le goût de me casser la tête avec le stationnement. Ainsi, à titre d’exemple, si l’on me propose le Cosmos sur Grande-Allée versus celui (le futur) à Lebourgneuf, ma réponse sera fort simple : celui de Lebourgneuf. Et vous me demanderez pourquoi ? Réponse fort simple : Je n’ai pas le goût de payer pour un parking, car on s’entend, rare sont les « spots » gratuit en Ville en début de soirée.

    Je prends le bus sur semaine alors la fin de semaine, j’aime bien prendre notre voiture pour ce genre de sortie et que ce soit facilement accessible. Je ne suis sans doute pas le seul à voir les choses comme cela…

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    • BF Luc

      29 août 2013 à 09 h 18

      « si l’on me propose le Cosmos sur Grande-Allée versus celui (le futur) à Lebourgneuf, ma réponse sera fort simple : celui de Lebourgneuf. Et vous me demanderez pourquoi ? Réponse fort simple : Je n’ai pas le goût de payer pour un parking, car on s’entend, rare sont les « spots » gratuit en Ville en début de soirée. »

      Ma version venant des commentaires de certains collègues au travail de retour avec un retard de Chez Victor (fait vécu en 2013):

      « On a été obligés de tourner en rond avant de trouver une place de stationnement. Ça a pris beaucoup de temps avant de faire servir. Et avec le délai pour obtenir la facture le retard était devenu inévitable. Heureusement au moins le burger était délicieux. »

      Je ne m’étais pas joint au groupe car j’ai eu le bonheur de suivre une formation dans ce secteur sur Lebourgneuf il y a plusieurs années et mon calcul est que le problème d’achalandage de l’époque ne s’est pas amélioré avec l’augmentation d’achalandage. Je préférè donc quelques alternatives plus proche de mon lieu de travail qui sont tout gastronomiques et accessible en mode piéton. Quitte à se sentir extra-terrestre sans une voiture. Au moins c’est bon pour la digestion et je suis actif.

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  11. «Le» lecteur assidu

    28 août 2013 à 15 h 17

    Au nombre de gens qui vivent ou travaillent dans ce coin, ça me semble normal que se rajoute de l’offre à « bouffer ».

    Ceci dit, qu’est-ce que je fais quand je mange soit à « Sainte-Phoille » ou dans Lebourgneuf ?

    Je mange ……et puis il ne me reste plus qu’à sauter dans mon « char » et à m’en aller car, vous en conviendrez, ce n’est pas le genre d’endroit où flâner sur les trottoirs.

    Et pour tourner le fer dans la plaie ( ! ), je termine en vous racontant ce que j’ai fait ce midi.

    D’accord, j’admets que je suis retraité et que j’avais le temps de faire ce qui suit. Mais rien ne devrait vous empêcher de faire pareil, un jour de congé, si le coeur vous en dit.

    J’ai été garer mon véhicule dans un stationnement gratuit, sis de biais avec le centre Durocher, vu que le stationnement de rue était « full » occupé, ce qui est quand même bon signe, à certains égards.

    De là j’ai marché jusqu’à la rue St-Joseph pour me rendre à une poissonnerie qui sert de la paëlla, que le mercredi midi, avec un acras de morue ( JEF, …pour ne pas la nommer ! ); succulent et à un prix renversant, dans le bon sens du terme.

    L’aller-retour faisait que j’étais « parmi le monde »; j’humais différentes et agréables odeurs « s’échappant » de différents restos. Les trottoirs servaient à « queque chose : plein de piétons, également pas trop pressés ou stressés.

    Bref, j’étais « en ville » !

    Et si j’étais croyant, je rajouterais que « l’âme » y était aussi.

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  12. Phil R

    28 août 2013 à 16 h 48

    C’est vraiment dommage que Lebourgneuf accueuil autant de beau commerces, mais que ce coins reste le paradis des océans de parkings. Au moins, à Ste-Foy, y’a une certaine tendance à vouloir garder le principe de centre-ville, dense & collé, donc, agréable à marcher (à cause de la proximité des buildings & commerces)… Sibouleau que c’est difficile à Québec de bâtir la ville logiquement.

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    • Omer

      28 août 2013 à 17 h 25

      « C’est vraiment dommage que Lebourgneuf accueil autant de beau commerces »

      Ouch ! Est-ce que vous réalisez pleinement la portée de vos propos ?

      À l’exception de quelques rues commerciales de Sainte-Foy, notamment la rue Myrand, je ne trouve aucunement plaisant de marcher aux quatre vents sur le boulevard Laurier ;)

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      • Louis-Nicolas

        28 août 2013 à 23 h 55

        J’ai confiance que dans 10 ans Ste-foy secteur Laurier/Route de l’église sera plus  »pieton frendly » que Lebourneuf… et que l’offre divertissement, ne serait ce que pour les bars sera beaucoup mieux que Lebourneuf. Peut-être que je me trompe…

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    • Simon Bastien

      30 août 2013 à 14 h 42

      Côté «agréable à marcher», je préfère 100 fois le boul. Lebourgneuf à Laurier! Je le marche régulièrement le soir, et l’aménagement trottoir/piste cyclable/traverses/végétation est mieux abouti que dans bien d’autres boulevards, surtout Laurier.

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  13. veronique

    15 novembre 2013 à 22 h 27

    J’apprecie presque tous vos points. Pour vivre à Lebourgneuf, j’y apprécie le côté très résidentiel du quartier (je viens de chicoutimi et je m’y sens tout comme, mais avec tout les aventages de québec et + encore), avec un centre d’achat et les outlets à côté de chez moi ainsi qu’une diversité en matière de restauration. Parfois, t’a pas nécessairement envie de prendre l’autoroute et te tapper les 15-20 min pour aller en basse-ville ou en haute-ville. Donc c’est très interessant à ce niveau là. De base, je vois plusieurs cyclistes et quelques piétons. est-ce qu’il y en a moins qu’en ville? Bien sur, c’est évident. Les gens qui, de base, vivent en basse ou haute ville n’ont pas besoin d’utiliser leurs véhicules(S’ils en possedent un) du a la proximité des services et les réseaux de bus interessants.

    En « banlieue » , il faut pas oublier que ya des friqués (je les croise tout les matins avec leur bm/mercedez/porsche .. donc on ne peut pas se cacher ca (Meme s’il y a des gens fortunés partout, reste que la quantité varie bcp). Alors le secteur est aussi semble-til adapté a sa population (place de parking etc) car le quartier est gros et les autres moyens de transport que la voiture sont pas très commode.

    Je peux parler de Ste-Foy, mais sincerement je trouve ce coin très irritant par son traffic incroyable ( ex: les rues sont beaucoup plus petites car c’est un coin plus agé que d’autres banlieues). Prendre Laurier et Robert bourrassa c’est assez dense aussi.

    Ensuite, quand on veut profiter du beau coté de la ville avec ses bons restos uniques, thématiques etc, on s’y déplace car c’est recherché! Ce sont souvent de plus petits restos mais avec énormément de charme, c’est la clé pour que les gens se déplacent pour y retourner. St-Roch possede beaucoup de nouveaux petits restos et a redoré son image dans les dernieres années. Mais je ne vous cacherai pas que de croiser des gens physiquement douteux sur mon chemin tard le soir ne m’a jamais enchanté. Question d’habitude, malgré le fait que j’ai travaillé au centre-ville de mtl et je finissais de travailler a minuit, je me rendais à berri uqam quand même pour prendre le métro.

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