Plus de 150 résidents de Lebourgneuf s’opposent au changement de zonage de l’Arrondissement des Rivières. Le terrain concerné est situé à proximité de l’intersection des boulevards La Morille et Robert-Bourassa. L’un des porte-parole, Normand Barette, a remis à la séance du conseil d’arrondissement les signatures et a demandé aux élus de ne pas procéder à l’adoption de la modification du règlement sur l’urbanisme.
Suite sur Québec Hebdo
28 août 2013 à 10 h 18
Quand le « Pas dans ma cour » ne suffit plus, voici un très bon exemple du « Pas dans mon parcours »!
Mais tant qu’à moi, l’erreur de cette modification est d’enlever les commerces de proximités au rez-de-chaussé.
Signaler ce commentaire
28 août 2013 à 10 h 59
Pour les commerces, notons tout de même que « François Picard a, par le fait même, rappelé que de petits commerces de proximité seront permis sur le boulevard de la Morille entre le centre communautaire Lebourgneuf et le terrain concerné. »
Je ne sais pas sous quelle forme, mais tout n’est pas perdu pour les commerces.
Signaler ce commentaire
28 août 2013 à 17 h 14
Exactement où est le problème aussi selon moi. Bien qu’il restera du commerce de proximité sur de la Morille, l’espace commercial vient de diminuer et on se dirige vers un espace monofonctionnel. Pourquoi ne pas avoir faire une zone mixte avec commerce au rdc et logements aux étages? Est-ce une formule qui déplait aux promoteurs?
Signaler ce commentaire
28 août 2013 à 23 h 39
Personnellement, j’aurais bien aimé qu’on fasse ce genre de chose le long de Robert-Bourassa (ou une rue parallèle) de la Morille à Chauveau, mais ce n’était vraiment pas dans les plans. Au sud du quartier, il y a déjà plusieurs commerces sur Lebourgneuf qui semblent suffir à la demande (il y a même un certain roulement dans ceux près de la rue le Mesnil). Plus au nord on a plutôt concentré la plupart des espace commerciaux à l’intersection avec Chauveau. Il en reste d’ailleurs la moitié encore en friche au nord-ouest de l’intersection.
Bref, c’est du développement typique de banlieue sans grand urbanisme et très peu de mixité des usages, mais à voir ce qui reste de terrain zoné commercial inutilisé, le besoin en commerces n’est peut-être pas si criant que ça finalement.
Signaler ce commentaire
28 août 2013 à 10 h 32
Eh bien voilà!
Un moment donné, il faut dire tant pis pour les NIMBYs, tant pis pour ceux qui s’imaginent qu’il y aura de « graves » problèmes de circulation » (et qui n’ont pas pensé qu’ils sont eux-même la cause de la densité de la circulation), tant pis pour ceux qui croient qu’on doit garder un terrain en friche (qu’on ne regarde jamais et qu’on n’utilise jamais, et voisin d’un grand parc).
Et tant pis pour les 150 qui s’imaginent plus importants que les 200-250 qui habiteront cet endroit (et qui ne sont ni seront contre ce changement).
Signaler ce commentaire
28 août 2013 à 11 h 56
Moi je dis soit c’est du 8 étages où bien ils attendent qu’il manque vraiment de terrain avant de bâtir. Là il ne faut pâs bâtir tout les terrain disponible dans la ville avec de petite construction sinon tantôt ont vas le regretter. Vas falloir démolir des bâtisse pour intégrer certaine hauteur.
Signaler ce commentaire
29 août 2013 à 01 h 29
La preuve par neuf que
a) Le ridicule ne tue définitivement pas; et
b) Pour beaucoup d’habitant de Québec, la mémoire et la nostalgie d’avoir grandi sur le 24ème rang de Saint-Chômage-de-Creuxville sont encore bien présentes.
Signaler ce commentaire