Jean Thivierge
Québec
(Points de vue. Le Soleil)
La dernière fois que j’ai entendu un dirigeant politique parler de Loretteville, ce fut Jean-Paul L’Allier. Après la fusion, il avait souhaité revitaliser ce secteur. Ce n’était pas un réflexe paroissial, c’était une remarque bien fondée pour redonner une certaine dignité à un secteur qui a été un des premiers pôles de développement industriel (cuir, chaussure, ganterie) de la région de Québec.
Maintenant et normalement intégrée comme Charlesbourg, Sainte-Foy et d’autres arrondissements dans la ville de Québec, le secteur de Loretteville a cependant été un peu gommé à titre d’entité politique en étant assimilée à l’arrondissement de la Haute-Saint-Charles. Je ne remets pas en question cette délimitation, mais je note, comme L’Allier à l’époque, que le secteur historique, le vieux Loretteville, aurait besoin d’un peu plus de vie.
* Merci à une fidèle lectrice (Mireille Campagna)
10 novembre 2013 à 14 h 19
Un peu du grand n’importe quoi!
1)Plein de SAQ ont soit fermé soit agrandi, j’en avais une toute petite presque en face de chez moi, ils en ont fermés deux pour en ouvrir une plus grande
2)Pratiquement toutes les quincailleries de quartier ont fermé avec l’arrivée des mégas centre
3)Épiceries de quartier,ça aussi remplacées par des mégas épiceries
4)Desjardins et les autres ont fermés des centaines de guichets
5)Des magasins indépendants, en voyez-vous encore beaucoup,seuls les commerces de niche avec service extra survivent?
6)Les restos=innove, rénove ou crève!!
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