Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Îlot Esso ? Îlot Irving ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 novembre 2013 4 commentaires

Le Soleil

Opinions du lecteur

Qu’est-ce qui se passe chez nous? Est-ce que nous n’en avons pas assez de ces gigantesques et insatiables pétrolières qui augmentent leurs prix au gré du vent ou de leurs envies? Qui ne se gênent pas pour augmenter leurs tarifs juste au moment où nos familles projettent des vacances ou lorsqu’il y a grande fête? Y a-t-il à Québec un petit génie capable d’imaginer de belles appellations pour identifier l’îlot Irving ou l’îlot Esso? Il est temps de trouver un nom plus approprié à ces deux emplacements très prestigieux de la ville de Québec. Qu’on arrête de donner à ces usuriers une importance qu’ils ne méritent pas.

Marie-Paule Tremblay, Québec

* Merci à une fidèle lectrice (Anne-Marie Laroche)

Voir aussi : Message d'intérêt public.


4 commentaires

  1. jfmartel Utilisateur de Québec Urbain

    21 novembre 2013 à 16 h 58

    Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué… Tout le monde connait la place, pas besoin de trouver un autre nom juste parce qu’on aime pas les « méchantes » pétrolières…

    Sur une autre note, est-ce vraiment nécessaire la question mathématique quand on a déjà prouvé qu’on était pas un « bot » en s’identifiant sur le site?

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  2. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    21 novembre 2013 à 17 h 39

    En fait la question de l’appellation de ces deux terrains vacants (les qualifier d’îlot est déjà une appellation bien prestigieuse pour maquiller ce qui n’est en somme que deux «trous») est un faux problème et reflète simplement l’ancienne utilisation de deux espaces à l’abandon et à la recherche d’une vocation depuis des lustres.

    Le jour ou il s’y construira enfin quelque chose (d’ici 2050 espérons-le), ces appellations disparaîtront d’elles-mêmes au profit de ce qui y prendra place.

    D’ici là je ne dépenserais pas une once d’énergie à essayer de baptiser deux terrains vacants…

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  3. Simon B

    21 novembre 2013 à 23 h 13

    Marie Paule, je la connais, c’est la même qui avait écrit à Maurice Druon de l’Académie Française pour plaider en faveur des erreurs grammaticales du québécois, lettre jugée irrecevable par ce dernier et avec raison.
    En ce qui à trait à l’Îlot Irving et à l’Îlot Esso, il suffit de ne pas s’opposer à toute construction de trempe urbaine sur ces lieux, et voilà, le tour sera joué, le lieu deviendra un lieu digne d’un nom.

    Pour l’instant, ce sont des station-service désuètes et sans aucun prestige, je ne baptiserai pas un terrain vague contaminé. Je m’empresserai, par contre, d’encourager la constructions d’édifices édifiants sur ces lieux. N’en déplaise le plurimillionnaire habitant au dessus du restaurant chez Victor sur Saint Jean, celui qui a financé les tracts démagogiques et induisant en erreur la population qui a cru bon de voter contre un magnifique projet intégrant logement sociaux et toiture verte sur les lieux.

    Maintenant vous méritez un vulgaire funérarium sur ces lieux, et ça sera bien fait ainsi.

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