Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Autoroute Laurentienne : la construction d’un mur antibruit s’amorce

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 janvier 2014 7 commentaires

Radio-Canada

Les travaux pour l’érection d’un écran antibruit en bordure de l’autoroute Laurentienne, entre les boulevards Louis-XIV et Jean-Talon, s’amorcent dimanche après 30 ans de bataille. (…) Le mur antibruit sera construit à la hauteur de la rue Trudelle. Il s’agit d’un premier tronçon de 250 mètres qui sera composé de planches de cèdres et d’une laine isolante. Ce tronçon sera aussi végétalisé.

Ce projet-pilote est évalué à un million de dollars. Si le mur est efficace pour réduire le bruit de l’autoroute, il pourrait être prolongé.

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* Merci à un lecteur (Maël Solen Picard)

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Environnement.


7 commentaires

  1. Simon Bastien

    24 janvier 2014 à 16 h 30

    Drôle d’idée de commencer les travaux au beau milieu de l’hiver…

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  2. Michel Beaumont

    25 janvier 2014 à 07 h 05

    Ouf! 30 ans d’attente et d’acharnement de la part des citoyens. Ils méritent la médaille d’or de la ténacité citoyenne.

    Quelle lecture politique devons-nous faire de ces 30 ans d’attente avant d’obtenir un résultat?

    J’espère que ce mur antibruit, composé de planches de cèdres, de laine isolante en plus d’être végétalisé, sera la solution…durable!

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    • jfmartel Utilisateur de Québec Urbain

      27 janvier 2014 à 07 h 46

      Combien de citoyen était là au début il y a 30 ans? Il peuvent remercier Maurice Filion d’être une figure connue à Québec. La plupart de ceux qui sont là ont acheté leur maison en ayant l’autoroute comme elle l’est présentement.

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      • Julien

        27 janvier 2014 à 08 h 31

        À la nuance près que l’autoroute s’est rapprochée des maisons d’environ 5 mètres ces dernières années suite à l’ajout d’une quatrième voie en direction Nord.

        Rien pour diminuer le niveau de bruit…

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  3. toto

    25 janvier 2014 à 15 h 05

    Pendant que de l’autre coté de l’autoroute on construit des condos!!! La ville apprend rien de ces erreurs, Il faut arrêter de construire aussi près des grandes artères. Il faut mettre plutôt de l’industriel ou du commercial et après du résidentiel.

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      25 janvier 2014 à 20 h 41

      Effectivement, l’idéal serait de mettre du commercial et de l’industriel plutôt que du résidentiel.

      Cependant, si ce n’est pas réaliste d’avoir du commercial et de l’industriel sur le bord de l’autoroute, dans le cas de nouveaux développements, on pourrait aussi introduire une taxe spéciale pour financer en partie ou en totalité l’installation de ce genre de barrière.

      Je donne un exemple. Supposons qu’Hydro-Québec décide de vendre ses immenses terrains à Vanier et qu’on décide d’en faire un développement résidentiel haute densité. Ça vaudrait la peine à mon avis d’installer une barrière afin de maximiser le potentiel immobilier du terrain.

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    • Manu

      25 janvier 2014 à 23 h 41

      Il y a tout de même quelques différences entre les maisons et les condos. Pour ces derniers, il est déjà acquis que le traffic est dense par moments et que l’autoroute est bruyante. Ce n’était pas le cas il y a 40 ans (et à cette époque, on n’avait pas non plus vécu 50 ans d’étalement urbain et « d’autoroutisation » qui rendent aujourd’hui évidente l’évolution que les riverains n’ont semble-t-il pas prévue jadis). De plus, les gens ne s’installent généralement pas en condo pour profiter de leur « cour extérieure » (qui se limite souvent à un balcon). À l’intérieur, avec des fênêtres récentes, le bruit sera minime. À l’inverse, ceux qui sont en maison présentement se plaignent justement de ne pas pouvoir profiter de leur terrain.

      Ainsi, je considère que les condos et leur usage sont assez différents pour qu’il ne soit pas question « d’apprendre de ses erreurs ». À savoir si on ne devrait pas plutôt mettre du commercial ou industriel, la question est légitime et en effet, ça serait peut-être mieux, mais pas pour la raison de « l’erreur ».

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