Caroline Décoste
Le Devoir
On dit du Vieux-Québec qu’il est peuplé d’Américains qui ne sont jamais là, d’hôtels illégaux et de « trappes à touristes » de toutes sortes. Plusieurs habitants d’autres quartiers centraux de Québec haussent un sourcil quand on parle de la vie intra-muros. Pourtant, en ses murs habitent des résidants qui éprouvent pour leur quartier un vrai attachement. Oui, il y a une vie derrière les façades. (…)
D’après Evelyn Péladeau, agente immobilière dont le portefeuille se concentre dans le Vieux-Québec, la tendance à l’achat par un investisseur est à la hausse. En 2013, madame Péladeau a fait affaire avec bon nombre d’investisseurs étrangers, principalement des Européens et des Asiatiques, qui cherchaient soit des édifices commerciaux (comme des hôtels), soit des immeubles à fonction résidentielle (divisés en condominiums). Le phénomène de l’Américain à la recherche d’un pied-à-terre n’est pas un mythe : ils sont encore nombreux à acheter une propriété et à l’habiter de façon temporaire seulement. (…)ÉTAT DU MARCHÉ IMMOBILIER
En 2012-2013 pour toute la Haute-Ville (comprenant les quartiers du Vieux-Québec, Saint-Jean- Baptiste et Montcalm) :
275 000 $ prix médian des copropriétés, soit le prix le plus cher de la région métropolitaine de recensement de Québec ;
527 000 $ prix médian des propriétés unifamiliales soit le double du prix médian de tout le territoire (à l’exception de Sainte-Foy) ;
21 % des propriétaires n’habitent pas leur copropriété de façon permanente (moyenne de la région de 16 %).
16 mars 2014 à 20 h 35
De tout les endroits où j’ai habité depuis 1998 (principalement plusieurs secteurs de Ste-Foy), le vieux intra-muros est l’endroit où j’ai retrouvé la plus belle vie de quartier. Bon, dans le temps il y avait encore une épicerie, une pharmacie et Chez son Père. Mais les habitants locaux faisaient abstraction de la mer de visiteurs, tant étrangers que résidents de la ville ou visiteurs de banlieues. La communauté était plus petite que Limoilou ou St-Jean-Baptiste, c’était un climat extraordinaire.
De beaux souvenirs que j’ai l’impression que je ne retrouverais pas aujourd’hui.
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17 mars 2014 à 08 h 47
Le moyen pour rendre le Vieux-Québec plus agréable en hiver : http://www.gensdebaignade.org/documents/Bassin_patinoire_2011.JPG
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17 mars 2014 à 12 h 25
Il y a déjà une patinoire à Place-Dyouville, et uen autre tout près sur d’Auteuil. Si je restais dans le Vieux-Québec, il me semble que j’aurais d’autres priorités.
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17 mars 2014 à 13 h 01
M. Naud croit sans doute qu’en revenant constamment avec « gens de baignade », quelque soit le média, quelque soit (ou presque) le sujet concerné, il convaincra.
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17 mars 2014 à 14 h 47
Les partisans de l’innovation au bassin Louise sont beaucoup plus nombreux que ceux qui s’y opposent :
http://www.gensdebaignade.org/documents/Bassin_Louise_Resolutions_Conseils_Quartier.pdf
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22 mars 2014 à 22 h 51
Le bassin Louise est soumis aux marées que je sache. On se rappellera qu’une des raisons de l’abandon de la patinoire de la rivière Saint-Charles était, justement, que l’action de la marée dans sa partie inférieure, malgré la présence du barrage à l’embouchure de la rivière, fissurait la glace et la rendait peu propice au patinage (pas très agréable de s’accrocher le patin dans une fissure).
Et n’oublions pas que vient de s’ajouter aux patinoires de la Place d’Youville et de l’Esplanade, l’anneau des plaines…
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26 mars 2014 à 19 h 12
@ jfr1954 – Il n’y a PAS de marées dans l’actuel bassin Louise. Le Port fait baisser occasionnellement l’eau dans le bassin en ouvrant l’écluse à marée basse, de sorte que l’eau du bassin ne devient pas stagnante et se trouve remplacée par de l’eau nouvelle provenant du fleuve lors de la marée montante.
De toutes façons, il suffit de s’informer un tant soit peu sur le projet pour constater que la marée est ici un non-problème :
http://www.gensdebaignade.org/
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17 mars 2014 à 13 h 23
Il reste que le secteur du Bassin Louise mérite mieux que d’être un stationnement.
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17 mars 2014 à 14 h 23
Revitaliser le Bassin Louise. Avec la signature unique d’intégration urbaine qui la caractérise, l’APQ entend redonner un coup d’éclat à ce secteur prisé.
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