Chaque matin en allant au travail, chaque soir au retour, vous faites face à la congestion routière! Pour tenter d’y remédier, les villes de Québec et de Lévis, en collaboration avec CAA‑Québec, font un premier pas en lançant l’application mobile Mon trajet. Cette application permettra d’obtenir le portrait de la congestion sur le réseau routier en traçant les déplacements des utilisateurs.
Téléchargez cette application et activez-la lors de vos déplacements, vous contribuerez à une grande collecte de données anonyme sur les vitesses pratiquées sur le réseau routier. Ces renseignements favoriseront la mise en place de solutions pour réduire la congestion aux heures de pointe. Simple et facile d’utilisation Mon trajet exige peu d’efforts, mais fournira beaucoup d’indications sur les déplacements. Nous avons besoin de plus de 2 000 traçages pour faire de cette opération un succès!
Si vous souhaitez recevoir les premiers résultats d’analyse obtenus sur la circulation à l’échelle métropolitaine, enregistrez votre courriel dans l’application et nous vous les transmettrons dès l’été.
Aidez-nous à vous aider en participant à cette opération qui s’échelonnera du 24 avril au 15 mai 2014!
En démarrant votre véhicule, lancez Mon trajet!
Cette stratégie s’inscrit dans le Plan de mobilité durable de la Ville de Québec qui vise à faire de la ville une région attrayante, prospère et durable où l’aménagement du territoire et les transports sont intégrés dans une même planification. Adopté en novembre 2011, le Plan de mobilité durable prévoit la mise en place de mesure pour infléchir certaines tendances contraires au développement durable comme la congestion routière.
Les renseignements collectés anonymement sur les vitesses pratiquées sur le réseau routier permettront d’identifier et de mesurer le niveau de congestion sur les différents segments. Un minimum de 2 000 traçages est requis pour le succès de l’opération qui s’étendra du 24 avril au 15 mai 2014. Cette période est la plus représentative des problèmes de congestion rencontrés sur les routes, soit avant la fin des cours universitaires et le début des travaux routiers. Il faudra donc quelques semaines pour récolter les données nécessaires à cette étude. Les personnes qui auront enregistré leur courriel pourront recevoir dès l’été les premières analyses obtenues sur la circulation métropolitaine grâce à leur participation.
Mon trajet : premiers résultats encourageants * À ce jour, 5 600 automobilistes ont téléchargé Mon trajet alors que 2 021 l’utilisent
25 avril 2014 à 07 h 51
Est-ce qu’on a vraiment besoin d’une application pour constater que l’étalement urbain est responsable de la congestion à Québec? C’est évident que j’aurais besoin d’un véhicule si j’habitais le haut de Beauport… Duh!
Je reviens d’un weekend à New York. Pour une île de près de 9 millions d’habitants, où le transport en commun est efficace et où la densification a été faite de façon intelligente, il est fou de constater à quel point il y a vraiment peu de trafic…
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25 avril 2014 à 11 h 55
Je ne crois pas qu’une fin de semaine (de Paques, en plus?) soit tellement représentative de l’état de la circulation à New York.
En tout cas, j’espère que votre point n’est pas que Québec a de plus grave problème de trafic que New York, parce qu’on va être obligé d’appeler Houston pour dire qu’on a un problème…
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25 avril 2014 à 13 h 13
Faut vraiment chercher les poux pour ne pas comprendre le point que j’ai essayé d’amener…
Pâques = ben du monde! Et ça reste une ville de 9 millions d’habitants anyway.
Avec la périphérie, Québec frôle à peine le 900 000.
Pogné sur Henri-4 un dimanche après-midi?
Faites l’équation.
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27 avril 2014 à 13 h 41
Je vais poser ma question différemment alors: Selon vous, le trafic « en général » (semaine et fin de semaine) est-il plus problématique à Québec qu’à New York?
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26 avril 2014 à 18 h 51
Les trois fois que je suis allé à New-York j’ai trouvé que la circulation était vraiment intense au centre-ville. En périphérie c’est vrai que c’est fluide. Quand au transport en commun, toute la population l’utilise. Autant les gens d’affaires en costumes haut de gamme que les pauvres, les étudiants, les travailleurs de la construction… Tout le monde mélangé et ça pousse pour remplir les wagons.
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27 avril 2014 à 00 h 51
« …du 24 avril au 15 mai 2014. Cette période est la plus représentative des problèmes de congestion rencontrés sur les routes, soit avant la fin des cours universitaires et le début des travaux routiers. »
Quelqu’un aurait peut-être dû les informer que les cours universitaires (et même la majorité des examens si je me fie aux échos) étaient terminés dès le 25 avril. Outre les étudiants, ça fait aussi plusieurs professeurs et chargés de cours qui n’ont pas à se déplacer à des heures précises (ou se déplacer tout court).
Bien sûr, ce n’est qu’une minorité des « acteurs du traffic », et je ne saurais dire quelle est leur influence réelle sur la circulation. Reste que ça ne fait pas très crédible de mentionner les cours universitaires comme argument.
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27 avril 2014 à 00 h 53
Scusez… comme on peut le remarquer, mon commentaire n’était pas une réponse à Roger.
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27 avril 2014 à 01 h 16
Merci pour l’info
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3 mai 2014 à 22 h 52
L’application ne servira pas à constater si il y a du trafic mais bien à évaluer la situation, identifier les intersections problématiques et donner des pistes de solutions. duh!
On appel ca du 2.0 et l’utilisation de la technologie pour aider à diminuer un problème, ce qui est une très bonne idée selon moi car le cout est minime (développement de l’apps + analyse des données)
DE simples changement de « timing » de lumières à quelques intersections pourrait diminuer considérablement la congestion à certains endroits stratégiques.
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25 avril 2014 à 19 h 04
Bon Roger a constaté qu’il manque une voie sur Henri IV !
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27 avril 2014 à 10 h 49
… sais pas s’il y aura beaucoup d’automobilistes, utilisateurs des « voies de de transit » dans des rues résidentielles pour s’éviter le trafic et se rendre plus vite à destination, qui prendront part à cette cueillette d’informations …
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28 avril 2014 à 08 h 07
Au moins, avez le genre de mesures qui leur importe, même s’il manque une « catégorie » de gens, les résultats seront quand même corrects. Incomplets, mais corrects.
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