Valérie Gaudreau
Le Soleil
(Québec) Régis Labeaume change de ton et baisse radicalement ses attentes pour que les gros projets dans la capitale se réalisent vite. Donner un coup de barre aux finances publiques est la priorité, dit-il. Et il assure qu’il sera «solidaire» du nouveau gouvernement Couillard s’il entend retarder certaines constructions dans la capitale.
Promenade Samuel-de-Champlain, anneau de glace couvert, théâtre du Diamant, Nouvelles Casernes, élargissement d’Henri-IV. Les grands projets ne manquent pas à Québec. Mais quand seront-ils réalisés? C’est une autre histoire à l’heure où le gouvernement libéral doit combler un trou de 3,7 milliards$ dans les coffres de l’État. Et Régis Labeaume s’est visiblement résigné à cette réalité.
30 avril 2014 à 08 h 41
je ne comprend toujours pas la stratégie de la ville pour les grands projets, le diamant par exemple, 60 M pour une salle de théâtre alors que celles existantes peinent à être rentable, l’anneau de glace 100 M ! pour quelques patineurs de vitesses seulement. J’aimerais beaucoup voir les ratio investissement / nombre de personnes qui l’utiliseront pas année. Et je préfère ne pas parler de notre cher amphithéâtre qui sera vide avec un colisée vide à ses côtés… Je comprend que le maire soit comptent de voir que les grands projets sont sur la glace, déjà on va être pris avec l’amphithéâtre… et on ne l’a pas encore payé
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30 avril 2014 à 16 h 18
Le projet Diamant aurait du être stoppé net au moment même ou il a été décidé que ça ne pouvait pas être situé sous les bretelles de l’autoroute. Au lieu d’avoir un lieu vraiment unique et différent, on va avoir une autre salle de spectacle qui s’ajoute à la liste.
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30 avril 2014 à 11 h 31
C’est quand même hallucinant. Parmi ces grands projets (que je souhaite tout de même voir se réaliser), le maire ne parle plus de tramway ni d’amélioration des TEC en général.
Le Québec va faire du surplace pour encore combien de décennies?
Cela dit, 99% de l’argent mis en circulation est créé sous forme électronique par des banques privées qui n’ont que 10% de fonds propres… Autrement dit, les banques créent de l’argent à partir de rien, mais exigent que ces prêts soient adossés à des biens réels (immeubles, actifs d’Hydro, etc.)
Faut-il rappeler que la Banque du Canada jouait ce rôle jusqu’en 1974 et qu’on se repayait toute la dette à nous-mêmes?
Avec un ministre des finances issu du milieu bancaire et la servitude des autres partis, c’est reparti pour un autre 10 ans de morosité. *soupir*
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30 avril 2014 à 19 h 06
L’idée du tramway est morte avec l’élection des libéraux. Ils ne seront jamais intéressé à financer ce genre de projet. Il y aurait eu plus de chance avec le PQ.
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30 avril 2014 à 22 h 46
Avant 1974, le gouvernement empruntait directement à la banque du Canada. C’était un financement quasi-illimité avec un taux de 1%. Cette méthode jumelée à des politiques dépensières du gouvernement Trudeau, la masse monétaire a tellement augmentée de façon inconsidérée qu’on s’est retrouvé avec les taux d’inflation record des années 70.
C’est un épisode à ne pas reproduire.
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1er mai 2014 à 18 h 22
L’après-guerre (baby boom et Révolution tranquille) a été une période d’expansion économique fulgurante. On l’appelle « Trente glorieuses » à juste titre.
L’inflation a commencé en 1974, et les deux chocs pétroliers (73 et 78) y ont largement contribué.
Les banques anglo-américaines ont commencé à recycler les pétrodollars en les prêtant aux pays souverains, qui étaient pourtant capables de s’autofinancer avant ces crises montées de toutes pièces.
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2 mai 2014 à 21 h 17
Mon point est que lancer 1 million de dollars sur une île déserte ne vaut rien. La masse monétaire doit s’accoter à une valeur « réelle » pour qu’elle ait de la valeur.
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3 mai 2014 à 09 h 26
De toutes façons, même le maire ne semble plus y croire, il est dans un «trip» élargissement d’autoroutes en s’imaginant que le covoiturage, comme une baguette magique, va tout régler.
Et pendant que nous jouons à la modestie et nous contenterons d’autobus inconfortables, nous allons continuer de contribuer aux milliards qui seront investis dans les projets d’infrastructures de tec de la région de Montréal (remplacement de voitures de métro. prolongements du réseau, trains de banlieue, train express pour Dorval, SLR vers la rive sud, infrastructures de voies réservées, etc).
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30 avril 2014 à 13 h 44
Tant qu’à moi, les priorités du gouvernement devraient être l’élargissement d’Henri-IV et la réfection des Nouvelles casernes. La première par nécessité pour la circulation de transit et la seconde pour l’importance de la valeur patrimoniale de l’ensemble.
Pour le reste, prolonger un parc existant au coût de 100 millions, n’est-ce pas complètement exagéré? A-t-on vraiment besoin de tasser un boulevard et une voie ferrée et de défaire un viaduc pour cela? Ces idées de grandeur coûtent cher, et cet argent pourrait aussi être utilisé pour la réfection d’autres structures qui en ont grandement besoin. Dans le cas de l’anneau de glace, je ne pense pas que le besoin soit si pressant qu’on doivent l’entreprendre à tout prix. Et puis, n’envisage-t-on jamais l’apport de financement privé pour ce genre d’équipement?
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2 mai 2014 à 18 h 24
Je seconde cet opinion.
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19 mai 2014 à 09 h 16
Je seconde aussi.
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30 avril 2014 à 21 h 34
Ya pas juste les projets gouvernemental, ya aussi des projets privé à Québec. Ça veux pas dire que tout les projets sont annulé. Le privé est toujours là( les investisseurs).
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