Québec, le jeudi 8 mai 2014 – Depuis le 1er mai, les cyclistes peuvent utiliser gratuitement VéloBus, le service de support à vélos du Réseau de transport de la Capitale (RTC) , sur les autobus articulés des Métrobus 800, 801 et 802. L’utilisation de ce service a doublé depuis sa mise en place en 2010. Le RTC estime que plus de 400 cyclistes par semaine l’ont utilisé l’année passée, soit plus de 1 600 vélos transportés par mois.
D’après un sondage réalisé par le RTC en 2013, 98,2 % des utilisateurs de VéloBus sont satisfaits de ce service. De plus, 100 % de ces répondants le recommanderaient à leurs proches.
Notez que le service VéloBus est disponible jusqu’au 31 octobre prochain. Les vélos pliables sont également acceptés à bord de tous les autobus, sur tous les parcours.
9 mai 2014 à 07 h 40
J’utilise ce service depuis le tout début. Fréquemment. Au début certains chauffeurs manquaient de souplesse. Un seul chauffeur avait refusé que j’utilise le support et m’avait fait signe d’attendre le prochain bus. Une chauffeuse de petite taille m’a avisé que mon vélo lui obstruait la vue. Si elle montait son siège, ses pieds ne touchaient plus les pédales. Il est arrivé moins de 5 fois que je doive attendre le bus suivant car le support était plein. J’ai enseigné (en montant ou en descendant), à plusieurs comment placer le vélo si vous êtes le premier ou le deuxième usager. Un chauffeur tient des statistiques personnelles sur le nombre de vélos sur son circuit quand il est de service. Les premiers supports installés vieillissent et il a été impossible dernièrement de remonter le support qui pourtant avait été « ré-usiné » pour prolonger sa vie. Des cyclistes oublient leur vélo à leur descente. Il semble qu’ils attendent le « retour » de l’autobus pour récupérer leur vélo !. De minutes d’attente !. Une cordialité s’est installée entre les utilisateurs et les chauffeurs avec le temps. Il est bien d’aviser le chauffeur qu’on récupérera son vélo, quelque temps avant d’arriver à l’arrêt. Ça conditionne la marge de manoeuvre du chauffeur et la distance à libérer, s’il y a des véhicules ou des autobus dans la voie. Sur de longues distances, des chauffeurs pensent que le vélo a été oublié mais sont soulagés qu’on soit encore dans l’autobus.
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