Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Projet à venir pour l’îlot St-Vincent-de-Paul

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mai 2014 13 commentaires

Source : Stéphanie Martin, Le Soleil (9 mai 2014)

Jacques Robitaille n’a pas tardé à répondre à l’ultimatum du maire Régis Labeaume. Alors qu’il laissait vaguement entendre la veille qu’un hôtel pourrait apparaître un jour sur le terrain qu’il possède en haut de la côte d’Abraham, il a soutenu jeudi qu’un projet «sérieux» était en cours d’élaboration.

Selon M. Robitaille, son équipe et lui planchent depuis près de deux mois sur des «plans finaux qui seront présentés aux autorités sous peu».

Lire l’article

Ajout : La ville de Québec a aussi un «plan» pour le terrain

Terrain St-Vincent-de-Paul: expropriation en vue
Démolition de la façade en 2010
Le projet de Jacques Robitaille en 2009

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville.


13 commentaires

  1. Michel Beaumont

    10 mai 2014 à 06 h 45

    Je n’ai pas confiance du tout en JARO. Mais pas du tout!

    Pourquoi? Il a toujours eu maille à partir avec la Ville ou le ministère de la Culture.

    Maintenant, par un pur hasard, il prétend avoir ENFIN un projet d’hôtel pour ce site.

    Pourtant, ce n’est pas le temps qui lui a manqué.

    Je crois plutôt, c’est mon constat et ma conviction, qu’il feint ou simule un certain intérêt pour niaiser la Ville, acheter du temps et ainsi allonger son festival machiavélique de la lenteur.

    S’il avait été sérieux, il aurait concrétisé son projet bien avant!

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  2. Nestor

    10 mai 2014 à 09 h 47

    Idem. Zéro confiance dans Jaro.

    La saga de Saint-Vincent-de-Paul a commencé il y a 25 ans, quand une rumeur courait en ville sur la possibilité que Sheraton développe un projet sur le site. On a dépecé le Patro jusqu’au champ de ruines qu’on voit aujourd’hui.

    Est-ce qu’on va attendre une autre génération avant de se donner un projet à la mesure des besoins de la communauté : espaces verts, logements sociaux, commerces de proximité, espaces communautaires. Autant de choses que Jaro ne veut pas livrer. Reste l’expropriation pour trouver une solution au problème.

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  3. davedeux

    10 mai 2014 à 11 h 57

    C’est l’occasion rêvé pour y construire des habitations. Avec les Xème comités qui se penche sur le déclin démographique du « Vieux » et la volonté de la ville de densifier, c’est l’endroit idéal pour de l’habitation. J’espère que ce ne seras pas une occasion ratée.
    Nous allons voir si contrairement aux habitudes, les actes vont suivre les babinnes.

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  4. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    11 mai 2014 à 16 h 15

    Question qu’il faut se poser: a-t-on vraiment besoin d’un autre hotel au centre-ville de Québec ?

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  5. Pierre Tremblay

    11 mai 2014 à 23 h 09

    Hôtel ou habitation il est temps que cette verrue disparaisse du paysage. LÎlot St-Vincent-de-Paul me fait de plus en plus penser au trou de Place D’Youville. Ironiquement le trou de Place D’Youville était occupé par un hôtel. Avant que le terrain de l’ancien Patro ne devienne un stationnement on a eu droit à la vue d’un immeuble éventré lorsqu’on entrait dans la ville par l’autoroute Dufferin et ce pendant plusieurs mois. Dans un cas comme dans l’autre il faudra que l’intersection Dufferin-Côte d’Abraham soit reconfiguré afin de devenir sécuritaire pour les piétons.

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  6. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    12 mai 2014 à 10 h 08

    Je vois plusieurs personnes privilégier de l’habitation au lieu d’un hôtel. Je me demande seulement si l’intersection côte d’Abraham, autoroute Dufferin, avenue Honoré-Mercier offrirait vraiment un milieu de vie intéressant.

    J’habite Saint-Jean-Baptiste depuis plus de 25 ans et je trouve parfois assez pénibles bruit, circulation et la poussière qui viennent avec. Et là on parle d’un emplacement encore bien pire à cet égard.

    Par contre, comme le terrain est vaste, une formule hybride bureaux ou hôtel sur d’Abraham et logement en arrière, côté falaise, pourrait être intéressant. Mais il faudrait pour cela, question de rentabilité, permettre quelque chose d’un peu plus imposant sans doute, quitte à s’accrocher un peu à la falaise.

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