Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec, la magnifique

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 juillet 2014 3 commentaires

Michel Beaumont
Le Soleil (courrier du lecteur)

Québec, fier joyau de l’Amérique et berceau de la francophonie, souffle cette année ses 406 bougies. Aussi vieille que belle, ma ville regorge de beautés, de secrets bien gardés et d’une histoire riche qui se découvrent en la parcourant. Elle a conservé tout son charme à travers le temps et les bombardements; même qu’elle a su s’embellir d’une fontaine. Quel plaisir renouvelé de parcourir la Place Royale où Champlain y a bâti la première habitation! J’affectionne particulièrement le Vieux-Québec pour y observer son architecture, ses portes, ses boutiques, ses restaurants et surtout ses passants souriants qui défilent comme un long fleuve social. Dans les petites rues étroites, des secrets et des vérités se révèlent à notre curiosité à travers ses méandres. La Place d’Youville, le coeur de la ville, bordée par le Palais Montcalm, la porte Saint-Jean et le Capitole nous présente un charme incomparable digne d’une carte postale. Les Plaines d’Abraham, ce grand parc urbain de style victorien, nous proposent un espace vert où il fait bon de s’y arrêter pour pratiquer le farniente et même pour y apprécier un spectacle

La suite

Voir aussi : Québec La cité.


3 commentaires

  1. Michel Beaumont

    14 juillet 2014 à 18 h 28

    Le titre original était: Québec, 406 chandelles

    Les quotidiens aiment placer leurs ingrédients dans la sauce.

    Bon, ce n’est pas mon journal mais le leur.

    C’est important de lire tout le texte. ( La suite ).

    Merci!

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  2. simval

    15 juillet 2014 à 10 h 38

    Je note que tout ce qui est louangé est dans le Vieux-Québec ou ses environs. J’ai la même relation à Québec, un coeur urbain parmi les plus beaux d’Amérique, comme un morceau d’Europe importé et légèrement américanisé… entouré de banlieues américaines typiques sans âme et tristes à mourir.

    Il faudrait faire une réflexion par rapport à tout ce que nous avons bâti depuis 50-60 ans, pourquoi ça échoue si lamentablement à évoquer ce même attachement et ce même amour de ces endroits. Nous sommes plus riches, avec des connaissances et des technologies bien plus poussées que nos ancêtres, et pourtant nous semblons incapables de construire des endroits qui valent la peine de visiter comme eux le faisaient. Que savaient-ils que nous avons oublié?

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