Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil (8 septembre 2014)
Démolition de deux ailes, désamiantage de toute la structure, agrandissement majeur… La CSST lance le vaste chantier de 130 millions $ qui lui permettra de rapatrier des centaines de fonctionnaires à son siège social de Québec.
Un projet d’envergure qui commencera par le curetage du vaste bâtiment de la rue Bourdages construit durant les années 70. Tous les matériaux d’origine contenant de l’amiante devront être retirés; dans plusieurs ailes de la maison-mère de la Commission de la santé et de la sécurité du travail, il ne restera que la charpente de béton.
16 septembre 2014 à 22 h 09
J’aurais été tenté de tout mettre à terre. De reconstruire au coin de deux rues, peut-être sur le même site, mais sans terrains de football gazonnée autour, et avec un peu moins de parking. Bref, en condensée, en hauteur.
Au lieu de cela, il semble qu’on aura simplement une Polyvalente en béton version 2.0, toujours dans le style Centre de détention 1970, mais recyclée, upgradé.
Et au final, avec des employés qui habitent encore loin et qui viennent travailler en char.
On se refuse à changer de paradigme. Et c’est eux qui assurent notre santé au travail !
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17 septembre 2014 à 07 h 40
Des employés qui habitent loin? Faut pas charrier, on n’est pas dans Lebourgneuf, par exemple…
On est en plein centre-ville, et à deux pas du quartier Saint-Sauveur et du parc Victoria, au niveau d’une passerelle piétonne qui sera sous peu érigée à ce niveau sur la Saint-Charles!
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18 septembre 2014 à 10 h 29
Pour votre information Lebourgneuf c’est un secteur résidentiel. Les édifices à bureaux sont à 5 minutes de vélo des maisons et blocs appartements.
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18 septembre 2014 à 13 h 41
De toute façon, d’un point de vue géographique, Lebourgneuf est maintenant assez central et bien situé dans la ville. Lorsque j’y habitais, je me sentais assez près de tout, même à 10 minutes du centre-ville.
J’aurais plutôt cité Val Bélair ou Boischatel comme exemple!
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17 septembre 2014 à 19 h 16
J’ai habité au Village de l’Anse quelques années (pointe aux lièvres), avec une jeune famille, fin-vingtaine, pas d’auto, le portrait type qu’on essaie de transplanter dans ce décor d’éco-quartier.
Je me souviens des longues marches le long de Laurentienne, sur ces fameuses passerelles, le vent, le bruit, le béton, et cette myriade de bâtiments fonctionnalisme, érigé en 1970 pour nos l’auto: Behrer, Cardinal-Roy, CSST, Institut Charron, et me taper leurs terrains gazonnés fades pour finalement arriver au but: acheter des couches au Zellers de Fleurs de Lys.
On repassera pour la proximité recherché du Centre-ville, et le côté sympathique de la chose.
Avec le recul, Saint-Roch et Saint-Sauveur me procure davantage de plaisirs de marche. Bref, parfois j’ai l’impression que le Centre-ville se termine au Poste de police (une autre gang que je soupçonne d’habiter loin des lieux).
L’urbaniste tassé du projet initial de Colisée au coin de Hamel et Laurentienne partageait le même point de vue.
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19 septembre 2014 à 02 h 34
Il étais grand temps de rénover, car ça fait pas mal dure de l’extérieur.
Je sais pas si vous avez remarqué mais COMINAR sur du Marais rénove l’extérieur de leur bâtisse. Ce ne seras pu mauve de l’extérieur mais en tôle grise. Eux aussi il étais grand temps de rénover ça.
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20 septembre 2014 à 11 h 34
C’est du Cominar; rempacer la tôle gaufrée par d’autre tôle gaufrée…
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20 septembre 2014 à 10 h 07
130M en rénovations !?
Vendre ces immeubles avec amiante et se relocaliser aurait été beaucoup moins coûteux pour les contribuables !!
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23 septembre 2014 à 08 h 07
La CSST ne reçoit pas un sous du gouvernement du Québec, c’est un organisme autofinancé.
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