Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Non aux résidences étudiantes à l’Université Laval

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 novembre 2014 6 commentaires

Daphnée Dion-Viens
Le Soleil

(Québec) Les étudiants de l’Université Laval ont tranché: ils refusent de financer de nouvelles résidences étudiantes, ce qui pourrait signifier l’arrêt de mort de ce projet de 70 millions $.

Lors d’un référendum qui s’est terminé vendredi, les étudiants de premier cycle et des cycles supérieurs ont refusé à 56 % de verser 10 $ par session pendant 20 ans pour financer le «quartier de la vie étudiante».

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.


6 commentaires

  1. dlp

    29 novembre 2014 à 12 h 23

    Dommage, c’était un beau projet. Je comprend le refus des étudiants par contre, j’ai de la misère à m’imaginer des arguments pour convaincre des étudiants à financer une résidence auquelle qu’ils n’auront pas accès le temps de leurs études. Est-ce qu’un partenaire additionnel pourrait s’ajouter?

    Aussi, parlant de l’Université Laval, le complexe qui va relier De Sève et la FSA est actuellement en construction. Une visite photo s’impose?

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  2. jac

    29 novembre 2014 à 21 h 54

    La formule du référendum ne semble pas la bonne…(vu le résultat)

    Au Québec , il n’y a pas d’attachement à son université comme chez les anglo-saxons pour qui celle-ci devient « Alma mater »; la mère sainte qui nous a nourri… et à laquelle on est redevable toute sa vie.

    Laval côtoie un centre d’achats; les étudiants y ont le même réflexe de consommation.
    On stationne , on magasine son diplôme, on réembarque dans son char puis on s’en va!

    Peut-être qu’on devrait faire une demander aux anciens de l’université Laval et aux finissants seulement.

    Ils ont plus d’attachement peut-être!

    .

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  3. Mercure

    10 décembre 2014 à 21 h 59

    Rêvons un peu… Il serait possible de construire un village olympique sur le campus de l’Université Laval. Il deviendrait un village étudiant après les jeux. Supposons que les coûts serait partagés à 65% par l’Université et à 35% par l’organisation des jeux, cela pourrait être rentable pour tout le monde. Le CIO vient tout juste d’autoriser les candidature conjointes, ce qui permettrait à Québec de s’associer à une autre ville pour le ski Alpin.

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