Source : CNW Telbec
QUÉBEC, le 11 déc. 2014 /CNW Telbec/ – Les Sœurs de la Charité de Québec et la Fondation Famille Jules-Dallaire sont fières d’annoncer la mise en place d’un projet de partage philanthropique unique et sans précédent au Canada.
C’est en présence du maire de Québec, monsieur Régis Labeaume, que la teneur de ce projet philanthropique a été dévoilée.
La concrétisation de ce projet visionnaire passera par le développement des terrains ayant une superficie d’environ 22 000 000 pieds carrés situés dans l’arrondissement de Beauport et appartenant présentement aux Sœurs de la Charité de Québec. Ces terrains ont été achetés par les Sœurs de la Charité de Québec entre 1894 et 1955 et ont servi, pendant des années, à la culture pour subvenir aux besoins alimentaires des patients de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (autrefois connu sous le nom de Hôpital Robert-Giffard) et pour mettre en œuvre certains programmes de travail occupationnel.
Groupe Dallaire inc., par l’entremise de ses filiales, sera responsable, sans aucun profit, de la mise en valeur de ces actifs. Tous les bénéfices seront affectés aux Sœurs de la Charité de Québec ainsi qu’à la Fondation Famille Jules-Dallaire qui toutes deux les affecteront au mieux-être de la collectivité québécoise.
Merci à M. Marc-André-André Paquet pour sa collaboration.
11 décembre 2014 à 22 h 21
Peut-on considérer ça comme de l’étalement? La ville ne devrait-elle pas utiliser toutes les petites parcelles au lieu de sacrifier ce grand espace?
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12 décembre 2014 à 02 h 35
Beauport fait parti de la grande ville de Québec. Je crois que de l’étalement urbain c’est plus vers St-Brigitte ou st catherine. Ce développement permettras de contrer l’étalement urbain vers ces région en périphérie de Québec.
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12 décembre 2014 à 07 h 10
Dans un monde idéal, il faudrait développer ces terres agricoles à Beauport et les préserver ailleurs sur la côte-de-beaupré, l’île d’Orléans, Porntneuf, Lotbinière, etc.
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12 décembre 2014 à 02 h 32
Depuis qu’ils ont eu la vocation construction résidentiel ont dirais qu’ils développent encore plus la ville Groupe Dallaire. Bien hâte de voir si d’autre promoteur autres que eux vont venir investir dans la région
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12 décembre 2014 à 07 h 54
À titre informatif, le zonage actuel de cette terre est agricole.
Voir la carte :
http://carte.ville.quebec.qc.ca/GrillesZonage/HandlerZonage.ashx?55005Aa
Et ca prendra pas 2 semaines à dézoner avec le Ministère de l’agriculture.
Mais Cominar et le Groupe Dallaire travaillent à long terme et ils en ont les moyens.
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12 décembre 2014 à 11 h 17
Ce qui m’inquiète le plus, c’est le nombre de voitures supplémentaires qui s’engouffrera sur les routes du secteur. On nous dit qu’on créera une «miniville» avec espaces commerciaux, services de proximité, etc. Mais peut-on s’attendre à ce que ces 20 000 personnes travaillent toutes dans cette miniville? Bien sûr que non…et sans infrastructure adéquate de transport en commun, c’est tout droit vers un mur que fonce encore une fois la Ville de Québec. Tout ce que la Ville construit en banlieue, c’est de l’étalement urbain, puisque rien n’est mis en place pour remplacer l’utilisation de la voiture solo.
Le Québec est probablement encore la seule région industrialisée du monde à construire des autoroutes et à refuser d’investir massivement dans le transport collectif. On utilise encore des modèles de développement vieux de 60 ans. C’est triste.
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12 décembre 2014 à 11 h 44
On parle ici de 6 500 habitations sur 204 ha, donc une densité de 31,8log./ha brute (ou ±53log./ha net). L’étalement urbain en périphérie se fait à ±14log/ha net (nouvelle exigence du MAMROT et de la CPTAQ). Donc, OUI on peut s’attendre à ce que ces 20 000 citoyens travail d’avantage à proximité ou se déplace d’avantage en transport en commun que 20 000 autres en périphérie de la ville. Les gens ont tendance à croire que les développements éloignés n’auront pas d’impact sur leur quartier centraux…. Il s’agit là d’un jugement aveugle!
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12 décembre 2014 à 11 h 56
Ce n’est pas ce que je dis non plus, mais je suis tout de même perplexe sur l’offre réelle d’employeurs qu’il y a/aura dans le secteur pour que ces +20 000 personnes choisissent de ne pas prendre leur voiture pour descendre vers les quartiers centraux. On verra bien…
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12 décembre 2014 à 13 h 18
Il est sûr que la situation ne sera pas optimale dès les premières lever de terre, ni même plus tard, mais l’aménagement de tel quartier (plus dense et près du centre) offre plus d’outil pour une planification ultérieur. Ce que les quartiers éloignés de faible densité n’offre pas et resteront dépendant des longs déplacements en voiture, car aucune autre option rentable ne s’offre à eux.
Dans le fond, il faut chercher la moins pire des situations…
Reste juste à se croisé les doigts pour l’exclusion de la zone agricole, car la CPTAQ n’y verra qu’une perte nette de terre cultivable…
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12 décembre 2014 à 20 h 46
un grand avenir pour le traffic sur l’autoroute Felix Leclerc le dévelopement residenciel a l’est le dévelopement industriel a l’ouest avec l’Espace Michelet
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13 décembre 2014 à 07 h 03
En effet un autre beau dossier « piloté » par Régis! Il nous a promis que la congestion automobile il allait nous régler ça. ;-p
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14 décembre 2014 à 18 h 02
Vous proposez quoi alors? Je vous ferai remarquer que le parc Michelet est à moins de 5 minutes à pied du terminus Les Saules. Difficile de trouver un parc industriel aussi bien desservi par le RTC. Ça devrait aider à rendre le trafic gérable dans le secteur.
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