Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Six verdicts pour Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 décembre 2014 7 commentaires

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) La ville de Québec traîne une réputation, bonne ou mauvaise, et a eu droit à bien des qualificatifs élogieux ou péjoratifs au fil des ans. Au-delà des rumeurs et des perceptions, Le Soleil a scruté à la loupe – chiffres à l’appui – six facettes identitaires de la capitale. Sans prétention exhaustive ou scientifique, le grand jeu des comparaisons réserve néanmoins quelques surprises.

La suite

Voir aussi : Québec La cité.


7 commentaires

  1. Juliette

    29 décembre 2014 à 22 h 07

    Québec ville verte?

    Avant la fusion, on avait le service de récupération de déchets de table et le compostage des arbres de Noël…depuis, mes taxes ont plus que doublées et ces services ont été abandonnés. J’envie Victoriaville!

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  2. Étienne

    30 décembre 2014 à 09 h 31

    Fusions municipales : 1er janvier 2002.

    ——–

    « En janvier 2012, la Ville a cessé sa collecte spéciale d’arbres de Noël, car la présence de contaminants dans les sapins (glaçons, pieds et décorations) rendait impossible le compostage des arbres.

    En déposant votre arbre à l’écocentre, la Ville est en mesure de vérifier s’il est contaminé avant de l’envoyer vers le centre de compostage. »

    Source : http://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/matieresresiduelles/residus_verts/sapins_decorations.aspx

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  3. un_sondage

    30 décembre 2014 à 12 h 41

    « En plus, ça va protéger nos belles forêts de conifères. »

    Ça présume que l’arbre a été coupé en forêt, ce qui est loin d’être probable. La Semaine Verte a fait un reportage sur le sujet.

    On y mentionne en autre ceci:

    « Pierre Roberge, un des plus importants producteurs au Canada.

    Pierre Roberge figure parmi les plus importants producteurs de sapins au Canada. Sur ses terres de Birchton près de Sherbrooke, 80 employés récoltent chaque année 90 000 sapins.

    Un employé peut abattre 200 arbres par jour dans la saison forte. En effet, pour être à l’heure à Noël, une année complète de travail doit être condensée en six semaines. »

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  4. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    30 décembre 2014 à 14 h 12

    euh … mon sapin a été récolté dans une plantation dans un champ qui serait autrement en friche. Sans auto, faut oublier les éco-centres. Faute de pouvoir l’apprêter pour le manger ou faire de la tisane, je le débite pour qu’il entre dans des sacs verts.

    Humour grincant à part, le constat à faire est qu’au centre-ville, nous avons de moins en moins de services de la Ville et que nous payons de plus en plus de taxes qui vont en partie pour la récréation des touristes et banlieusards dans le centre-ville.

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    • un_sondage

      30 décembre 2014 à 15 h 10

      « Humour grincant à part, le constat à faire est qu’au centre-ville, nous avons de moins en moins de services de la Ville et que nous payons de plus en plus de taxes qui vont en partie pour la récréation des touristes et banlieusards dans le centre-ville. »

      Triste constat qui n’en est pas moins lucide.

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