Viviane Asselin
Journal Habitation
Soumis à un changement de zonage pour permettre de la construction résidentielle dans un secteur commercial, le projet de 31 logements dans le coin de la rue des Bouvreuils doit composer avec les récriminations des citoyens. La demande d’approbation référendaire a obtenu le nombre requis de signatures pour passer à l’étape suivante: l’ouverture du registre pour exiger la tenue d’un référendum. (…) Comme ses voisins dont il se fait le porte-parole, il craint une perte de jouissance des lieux avec l’avènement d’une trentaine de nouveaux résidents dans le coin.
13 février 2015 à 21 h 36
Les frileux-égoïstes-morons secteur Charlesbourg… Pour 31 logements faut vraiment pas savoir faire de ses journées…
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14 février 2015 à 06 h 54
Les champs et boisés où j’allais faire du BMX dans les années 80 sont maintenant un quartier résidentiel. C’est triste mais c’est ainsi.
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14 février 2015 à 07 h 39
Un autre beau cas de pas dans ma cour.
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14 février 2015 à 08 h 47
ils oublient que eux aussi ont peut-être déjà troublé la tranquillité de résidents existants lorsqu’ils sont venu y habiter… C’est ça vivre dans une ville ; ne jamais prendre pour acquis que tout restera intact pour l’éternité comme à St-clin-des-meuh-meuh.
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14 février 2015 à 09 h 56
Je trouve que c’est une très belle bâtisse. Je ne comprend pas pourquoi les résident s’y opposent quand elle seras sur le Blv Henri-Bourassa. Dommage pour le secteur.
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14 février 2015 à 11 h 37
Il y aurait des nimbies même en banlieue? :-P
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14 février 2015 à 16 h 34
Je pense qu’il y a des NIMBY tant en ville qu’en banlieue, à gauche comme à droite, riche comme pauvre…
Blague à part, il y a des cas où il me semble justifier de s’opposer à un projet, ou à l’ampleur de celui-ci, mais ici ça emporte la palme!
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16 février 2015 à 10 h 29
Tout ça à cause du changement de zonage. C’est là qu’on constate que le recours aux processus référendaires peut être abusif : c’aurait été zoné résidentiel qu’ils n’auraient pas pu faire grand chose. Quand n’importe qui peut s’opposer à la construction de résidences à côté de chez lui sous prétexte de perdre sa jouissance d’un terrain vague qui lui apporte la tranquillité, on ne parle plus d’un droit mais d’un privilège.
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16 février 2015 à 10 h 39
Le promoteur devrais déplacer le projet sur Louix 14 peut-être il aurais moins de misère a construire la bas.
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16 février 2015 à 11 h 32
charlesbourg a besoin d’activité economique pas de plus de logement il faut des entreprises des jobs pour augmente la valeur des propriétés
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