La colline parlementaire regorge de passerelles et de tunnels où circulent fonctionnaires, journalistes, élus, munis d’une carte d’accès afin de passer d’un édifice à l’autre. Ils ignorent sans doute qu’un réseau parallèle de sous-terrains, formés de tunnels désaffectés et d’égouts fluviaux, existe. Le Devoir a eu l’idée de descendre dans les entrailles du parlement.