Gilbert Leduc
Le Soleil
(Québec) Dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Québec, les ventes résidentielles ont bondi de 5 % au cours des trois premiers mois de 2015 comparativement à la même période l’an dernier. Toutefois, les vendeurs doivent s’armer de patience. En effet, le délai de vente moyen a augmenté par rapport à l’an dernier, selon les données publiées mardi par la Chambre immobilière de Québec. Un constat qui s’applique pour toutes les catégories d’habitation confondues.
15 avril 2015 à 21 h 39
Va-t-on assister à l’effondrement du marché causé par les babyboomers qui mettront en vente leur bungalow en même temps?
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16 avril 2015 à 08 h 23
Je ne crois pas qu’il fasse prévoir des scénarios apocalyptique.
Les marchés s’adaptent tout simplement aux tendances.
Les boomers quitteront leurs maisons de banlieue, qui sont en générale très bien situées, mais manque un peu … »d’amour »….
Des jeunes couples pour qui la vie de famille commence réaliseront assez rapidement que d’acheter et de rénover ces propriétés est une assez bonne affaire, qu’ils seront situé près de tout dans des secteurs agréable avec de beaux arbres, des écoles et que les déplacements seront beaucoup moins fastidieux que de se taper 1 heures et demi de route par jour en s’établissent dans la deuxième, voir troisième couronne de Québec …par exemple….
Les marchés s’effondrent quand il n’y a plus de demande….. et »urbanoïd » a raison de se poser la question, les besoins changent et les habitudes changeront aussi, la demande ne fait que de se déplacer…..
Pour ce qui concerne l’immobilier, comme les trois facteurs les plus important sont …Le site….Le site…. Le site….. Les propriétés des boomers sont généralement très bien situé, donc je ne vois pas beaucoup de problème….tant que la population augmente et que la demande générale est là….ce qui est présentement le cas…
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19 avril 2015 à 14 h 00
Après avoir vu les conditions dans les CHSLD et le bain de dignité… pas sûr que les boomers seront pressés de vendre.
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16 avril 2015 à 08 h 35
« .tant que la population augmente et que la demande générale est là….ce qui est présentement le cas »
Justement, vous mettez la principale cause du problème à la toute fin de votre réflexion.
Si on regarde la pyramide des âges, le taux de natalité et qu’on ajoute à cela le taux d’immigration « À » Québec, on va frapper un mûr si la tendance se poursuit.
La population augmente peut-être encore actuellement, mais nous somme sur le dessus de la courbe de croissance et la descente sera vertigineuse.
Toutefois, en additionnant les percés dans le domaine de la santé, ce qui accroît l’espérance de vie, on repousse à plus tard la diminution de la population.
Dans tous les cas, à moins d’un revirement dans le taux de natalité et l’immigration, des logements vides, il y en aura à la pelle. On devra probablement démolir faute d’entretien et pour éviter le squattage, comme à Détroit.
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16 avril 2015 à 09 h 33
Par contre les babyboomers ne quitte pas nécessairement les banlieues (voir http://plus.lapresse.ca/screens/e1989fe0-e185-439c-893c-a1aa6fa54e36%7C_0.html).
Je pense qu’on doit se concentrer sur des quartiers mixes (ages, sociale, fonction (pas seulement habiter mais aussi travailler et loisirs)) Et tout à des distances court (idéalement de marche). Pourquoi les gens de charlesbourg devra aller au cartier pour prendre une café (juste une exemple)?
Ensuite on va avoir des liens entre les quartiers (et celui idéalement par TEC).
On devra repenser l’organisation complété des villes (et oui ça implique qu’on laisse les voitures à la maison)
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19 avril 2015 à 23 h 49
Faisant moi-même partie de cette génération, je dois dire que la vaste majorité des gens de mon âge que je connais continuent d’habiter la résidence qu’ils occupent en banlieue depuis plusieurs années. Et, lorsqu’ils choisissent de vendre, c’est le plus souvent pour s’installer soit dans plus petit (un jumelé, par exemple), soit dans un appartement dans le milieu qu’ils habitent déjà, d’autant plus que les complexes d’appartements en copropriété ou en location se sont multipliés aux quatre coins de la ville.
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