Diane Tremblay
Journal de Québec
Plusieurs bâtiments de l’arrondissement historique du Vieux-Québec sont négligés ou parfois même laissés à l’abandon en raison du coût exorbitant des travaux de rénovation, a constaté Le Journal.
Une promenade dans les rues étroites de cet arrondissement reconnu par l’UNESCO montre plusieurs maisons patrimoniales en manque d’amour.
4 juillet 2015 à 09 h 30
Selon moi, la plus belle métaphore du texte qui nous fait comprendre très clairement est: «Pour changer une poignée de porte, ça prend la permission du ministre de la Culture».
De plus, les coûts exorbitants ne sont certes pas le catalyseur souhaité pour activer les travaux!
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