Céline Fabries
Monmontcalm
Lundi soir lors du conseil d’arrondissement de la Cité-Limoilou plusieurs étudiants en architecture ont pris position sur l’aménagement permanent de la place publique au coin de l’avenue Cartier et du boulevard René Lévesque. Le manque de confort du mobilier et le peu de végétation prévu suscitent des questionnements sur l’utilisation future de cette place publique.
« Un mobilier signature confortable ? », a demandé Marc-Antoine Viel, candidat à la maitrise en architecture à l’Université Laval à travers deux documents qui ont été remis aux élus lundi. Les étudiants en architecture en doutent. Selon Marc-Antoine Viel, les gens recherchent des structures solides et confortables pour le dos, ce que ne propose pas le futur mobilier de la Ville de Québec qui sera composé de trois grosses pierres où des bancs seront encastrés ainsi que des chaises rouges du style bistro qui sont déjà sur la place publique.
10 novembre 2015 à 19 h 49
* Courtes remarques
#1 « structures solides et confortables pour le dos » (sic):
– Je ne peux qu’y souscrire !
#2 « végation dense » (sic):
– J’achète d’emblée !
#3 De mémoire, sur le site de Québec Urbain, on mentionnait un coût de réalisation estimé d’environ 400 000,00$C et je critiquais celui-ci, estimant cela beaucoup trop cher en regard du « plat à être livré », ce que je pense toujours.
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11 novembre 2015 à 11 h 14
Le confort avant tout ! SVP des bancs avec dossiers. La placette était bondée de monde tout l’été grâce aux nombreux bancs en bois qui invitent à la jasette. De la verdure, condition sine qua none.
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11 novembre 2015 à 11 h 29
C’est un tout petit espace destiné aux gens. Compte tenu de son emplacement stratégique, il faut le rendre le plus accueillant et convivial possible. Et je ne crois pas que les simili grosses roches issues du «trip» d’un architecte paysagiste satisfassent à cet objectif.
Des bancs, des petites chaises, rien de bien compliqué; on l’a vu cet été. et comme je l’ai déjà dit pourquoi pas une petite fontaine dont le bruit est toujours apaisant au milieu d’une circulation dense.
Mais attention toutefois à l’excès de densité de végétation; ce n’est pas un parc et il ne faudrait pas que l’endroit se transforme en un lieu propice aux agressions aux petites heures du matin, ce qui peut arriver lorsqu’un lieu est trop renfermé sur lui-même à cause d’une dense végétation.
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12 novembre 2015 à 17 h 57
Il faut aussi éviter le gazon qui ne survivra pas au calcium de l’hiver et au piétinement intense.
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