Premier rapport de suivi et de mise en oeuvre
Après trois ans de mise en œuvre, les élus de la CMQ ont pris acte d’un premier rapport de monitorage du PMAD. Ce dernier permet de constater les progrès accomplis de même que les défis qui demeurent afin d’en arriver à un développement du territoire qui soit mieux structuré, durable et attractif. Outre plusieurs indicateurs quantifiables, le rapport met en lumière les nombreuses actions métropolitaines, locales et régionales menées par les MRC et les municipalités du territoire de la CMQ en cohérence avec le PMAD : adoption de règlements de concordance au PMAD, adoption de plans de réduction des gaz à effet de serre, inventaire des milieux naturels, financement de projets en lien avec la trame verte et bleue métropolitaine, projets d’écoquartiers, etc.
Le rapport permet de constater que le territoire s’oriente de plus en plus vers les objectifs fondamentaux de PMAD, soit une saine gestion de l’urbanisation, la mise en valeur des attraits naturels et récréatifs ainsi qu’une utilisation accrue du transport en commun par une planification intégrée de l’aménagement du territoire et du transport. Bien que des efforts restent à faire, notamment pour accroitre les parts modales associées au transport en commun, ce rapport permet de constater les progrès réalisés dans l’atteinte d’un développement plus durable du territoire.
19 février 2016 à 08 h 35
C’est intéressant de voir la carte du pourcentage de la population des municipalités à l’extérieur de la communauté métropolitaine qui travaillent dans la CMQ (p.47 du rapport). Devrait-on revoir ses limites pour y inclure certaines d’entre elles?
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19 février 2016 à 12 h 23
En effet, cette carte a également retenu particulièrement mon attention, tout comme celle qui indique que 80% des déplacements se font en auto dans la région ! Évidemment, j’avais remarqué que la voiture était toujours reine, mais je ne croyais pas que le chiffre était aussi élevé.
Pour revenir à la carte de la p.47, il ne peut être aussi clair qu’il serait peu probable que la valeur des propriétés de la ville de Québec s’effondre de façon catastrophique comme certaine personne le prétendent parfois…
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19 février 2016 à 16 h 45
Les municipalités à l’extérieur de la CM qui ont un taux de navettage supérieur à 50%, ou un taux de navettage à contre-sens supérieur à 25% font automatiquement partie de la RMR, et ce, à perpétuité.
Le navettage à contre-sens est lorsque plus de 25% des emplois locaux sont occupés par des gens du noyau de la RMR (Québec et Lévis). Ce qui est particulièrement le cas des petites municipalités industrielles, où le nombre d’emploi est très élevé.
Sans être dans la CM, le fait d’être dans la RMR limite, entre autre, les agrandissements des périmètres urbains de ces municipalités (article 62 de la LPTAA). Ces municipalités sont donc liées d’une certaine façon à la CM. De les inclure à la CM permettrait effectivement une meilleur planification, et surtout, d’accorder une distinction entre les banlieues dortoirs (navettage) et les pôles d’emplois (navettage à contre-sens).
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19 février 2016 à 18 h 53
Merci pour les informations
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