Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…

Journée d’étude et de réflexion: 50 ans de participation citoyenne en aménagement du territoire au Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 avril 2016 7 commentaires

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50 ans de participation citoyenne en aménagement du territoire au Québec. Perspectives, enjeux et défis. Cet événement est une présentation du département de géographie, de la Faculté de Foresterie, Géographie Géomatique, de l’Université Laval, en partenariat avec le Comité des citoyens du Vieux-Québec, le réseau Villes Régions Monde, PARVI, Groupe interuniversitaire de recherche sur les paysages de la représentation, la ville et les identités urbaines, International Year of Global understanding, le Programme de recherche sur les quartiers centraux de l’Université Laval.

Vendredi, 29 avril 2016 (8 h30 à 17 h) Université Laval, Pavillon Kruger (GHK) 2320-2330

Inscription L’inscription à l’activité est au coût de 20$ (à régler sur place, en argent comptant seulement) et comporte un repas chaud servi par un traiteur. Les demandes d’inscription doivent être acheminées à l’adresse suivante :

mathieu.st-pierre.1@ulaval.ca

Le programme de l’évènement

Voir aussi : Conférences / évènements.

7 commentaires

  1. Michel Haineault

    14 avril 2016 à 19 h 48

    On devrait nous pondre une étude qui nous indiquerait dans quelle mesure la participation citoyenne a eu un effet sur nos décideurs en matière d’aménagement du territoire. Comme ça, on saurait jusqu’à quel point on se berce d’illusions en s’exprimant.
    Ah non, c’est vrai ! Beaucoup trop compliquée à réaliser… Seule une étude de corrélation pour messieurs et mesdames, les citoyens. Démocratie représentative quand tu nous tiens…

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      14 avril 2016 à 22 h 05

      Québec Urbain sera présent à cette journée et devrait en faire rapport.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        16 avril 2016 à 13 h 18

        Commentaire reçu de Michel Haineault:

        D’après moi, si vous leur posez la question, on va vous répondre qu’une étude d’impact coûterait trop chère à réaliser et prendrait trop de temps. On va peut-être même vous dire que sa réalisation serait impossible au niveau méthodologique, ce qui serait complètement faux. Comme vous le savez peut-être, il n’y a qu’avec une telle étude qu’on pourrait établir un lien de causalité évident.

        Les élus sont tous pour la vertu. On les entend souvent vanter les mérites des études d’impact et d’efficience, mais très peu d’entre eux semblent prêts à assurer les risques qui viennent avec une fois qu’ils sont au pouvoir et ont à rendre des comptes.

        Imaginer une étude d’impact qui démontrerait clairement que la participation citoyenne n’a eu la plupart du temps aucun effet sur les décisions qui ont été prises en aménagement du territoire…
        Je vous souhaite quand même d’y passer un bon moment.

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    • Léonce Naud

      16 avril 2016 à 15 h 54

      « Never doubt that a small group of committed citizens can change the world; indeed it’s the only thing that ever has. » Margaret Mead, Worldwide News, Hiver 1993.

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      • Michel Haineault

        16 avril 2016 à 16 h 16

        Je le souhaite bien; et si tel est le cas, il serait dans l’intérêt des élus qui croient dans la démocratie, la vraie de vraie, c’est-à-dire la directe, de nous le démontrer sans équivoque dans le cadre d’une étude sérieuse. Le jour où il n’y aura plus de doute à y avoir quant à notre influence sur les décisions qui sont prises et qui nous concernent, on comprendra qu’il en va dans notre intérêt d’intervenir. Le cynisme qui fait qu’on préfère souvent rester assis à ne rien faire va en prendre toute une claque, et ce sera tant mieux. Ce sont après tout nos quartiers de vie.

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    • Léonce Naud

      16 avril 2016 à 15 h 57

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      • Michel Haineault

        16 avril 2016 à 17 h 14

        Je salue le travail qui a été fait en ce sens, mais je persiste à croire que si plus de gens étaient convaincus d’avoir une réelle influence, ce projet (très beau faut le reconnaître) aurait pris beaucoup moins de temps à aboutir. Et la raison en est fort simple : il y aurait eu plus de militants sur la ligne de front qui auraient mis de la pression. Nous sommes encore malheureusement nombreux à nous dire « Kossé ça donne ? Peut importe ce qu’on dit, ils (les politiciens) font toujours à leur tête. »

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