Ce genre de réactions me laisse perplexe, car c’est le type de bloc de béton que l’on tolère pendant des dizaines d’années au Centre-Ville ou dans le Vieux sans créer de montée de boucliers. ;-)
Excellente observation (ce n’est pas du sarcasme).
Quel est le sens des cette oeuvre ? Intriguer; Susciter la réflexion; Éveiller et proposer une perspective nouvelle sur notre environnement habituel.
C’est vrai que le Vieux Québec, chef d’oeuvre du patrimoine national et fierté de la population est plein de verrues bétonnées, de stationnements à ciel ouvert et de terrains vagues dignes d’une friche industrielle. Et personne n’y trouve à redire. Mais soudain, 3 malheureux blocs de béton empilés deviennent une horreur et une honte pour la ville. Les mêmes blocs qui s’alignent par dizaines à 500 mètres sur la rue de Saint-Vallier et qui ne dérangent absolument personne.
Étonnant non ?
Je n’étais pas fan de l’art moderne mais je commence à changer d’avis.
La ville comme inspiration D’abord, l’art urbain se distingue de l’art officiel, car les membres de ce mouvement ne demandent pas d’autorisation lorsqu’ils s’approprient la ville. Pour eux, c’est un territoire vierge où ils trouvent de l’inspiration pour créer. Cette énergie créatrice parcourt le monde entier. Berlin en Allemagne, Melbourne en Australie et São Paulo au Brésil, sont les trois observatoires principaux où l’on peut voir des œuvres incroyables. L’union fait la force Souvent, ces artistes se réunissent en collectifs, car ils partagent le même but et le même état d’esprit. Dans ce groupe, ils veulent se réapproprier la ville, redéfinir l’espace public et nous **** sensibiliser, face aux mensonges et aux injustices *** »
22 août 2016 à 14 h 53
C’est songé…
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22 août 2016 à 14 h 56
une vrai honte pour une ville de Patrimoine mondial!! Ma nièce de 4 ans aurais fais mieux…
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22 août 2016 à 16 h 46
Les passages insolites
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23 août 2016 à 08 h 48
Vous voyez…ceux du lien web que vous donnez, sont d’après moi 1000 fois plus belle!
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23 août 2016 à 12 h 18
L’œuvre en question fait justement partie des « passages insolites ». Jean-Pierre Morin en est l’auteur.
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22 août 2016 à 19 h 21
C’est affreux
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23 août 2016 à 10 h 39
Ce genre de réactions me laisse perplexe, car c’est le type de bloc de béton que l’on tolère pendant des dizaines d’années au Centre-Ville ou dans le Vieux sans créer de montée de boucliers. ;-)
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23 août 2016 à 11 h 37
Excellente observation (ce n’est pas du sarcasme).
Quel est le sens des cette oeuvre ? Intriguer; Susciter la réflexion; Éveiller et proposer une perspective nouvelle sur notre environnement habituel.
C’est vrai que le Vieux Québec, chef d’oeuvre du patrimoine national et fierté de la population est plein de verrues bétonnées, de stationnements à ciel ouvert et de terrains vagues dignes d’une friche industrielle. Et personne n’y trouve à redire. Mais soudain, 3 malheureux blocs de béton empilés deviennent une horreur et une honte pour la ville. Les mêmes blocs qui s’alignent par dizaines à 500 mètres sur la rue de Saint-Vallier et qui ne dérangent absolument personne.
Étonnant non ?
Je n’étais pas fan de l’art moderne mais je commence à changer d’avis.
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23 août 2016 à 12 h 01
Extrait d’un blogue sur over-blog:
« Qu’est-ce que l’art urbain?
La ville comme inspiration D’abord, l’art urbain se distingue de l’art officiel, car les membres de ce mouvement ne demandent pas d’autorisation lorsqu’ils s’approprient la ville. Pour eux, c’est un territoire vierge où ils trouvent de l’inspiration pour créer. Cette énergie créatrice parcourt le monde entier. Berlin en Allemagne, Melbourne en Australie et São Paulo au Brésil, sont les trois observatoires principaux où l’on peut voir des œuvres incroyables. L’union fait la force Souvent, ces artistes se réunissent en collectifs, car ils partagent le même but et le même état d’esprit. Dans ce groupe, ils veulent se réapproprier la ville, redéfinir l’espace public et nous **** sensibiliser, face aux mensonges et aux injustices *** »
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