François Bourque
Le Soleil
Extraits d’un texte de Jean-Paul L’Allier daté de 2008
«Il faut pouvoir faire la preuve rapidement du succès qui commence… il faut que les gens voient que c’est d’abord pour eux, les résidents du quartier, que l’on agit… et pour que les citoyens les plus sensibles au développement urbain y voient un projet gagnant.»
«Le quartier est devenu laid? L’urgence est de l’embellir en commençant par un geste spectaculaire qui montrera que la ville est là pour rester et qu’elle ne compte que sur elle-même pour réussir, mais avec la participation de la population, une population formée à l’opposition et à la résistance alors qu’on doit l’associer à la construction et à la revitalisation.»
«Y a-t-il une recette magique?… Je pense que oui, il y a une recette mais la magie s’appelle ici : faire de la vraie politique et laisser travailler les urbanistes, les architectes et les créateurs, miser sur la culture et se donner une vision d’avenir plutôt que de coller des projets sans liens qui visent à corriger le passé sans perspective d’avenir… et faire tout cela AVEC les citoyens concernés… C’est possible, on l’a fait et cela marche.»
Jean-Paul L’Allier, 6 novembre 2008
6 janvier 2017 à 21 h 43
Bonsoir,
Comme il est de bon ton, pour certains lecteurs, de « démoniser » constamment le quartier Saint-Roch qui est pourtant le symbole même de la renaissance de Québec grâce à ce maire visionnaire et à l’action citoyenne, permettez-moi de vous signaler la conclusion des souvenirs que nous a généreusement partagés l’ex-journaliste (et ami) du Soleil, Robert Fleury, dans sa série de 7 articles :
http://blogue.monsaintroch.com/2017/saint-roch-1973-2009-par-robert-fleury-7-de-7-a-letat-de-jouer
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13 janvier 2017 à 10 h 15
Merci! J’ai bien aimé la lecture des articles de Robert Fleury.
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