Points de vue
Le Soleil
Deux projets colossaux de transport collectif se trouvent sur la table à dessin à l’heure actuelle : le REM à Montréal et le SRB à Québec. Des investissements de plusieurs centaines de millions de dollars seront nécessaires pour permettre la réalisation de ces projets porteurs. Le Québec doit se donner une vision à long terme en matière de transport en commun afin que ces deux projets se réalisent le plus rapidement possible, dans un respect bien évident des contraintes environnementales, sociales et économiques.
Alain Aubut, président et chef de la direction, Chambre de commerce et d’industrie de Québec
Jean-Pierre Bédard, directeur général, SDC Montcalm
Mario Bédard, FCPA auditeur, FCA, président du conseil d’administration, Mallette S.E.N.C.R.L.
Nicole Bilodeau, directrice générale, Mérici collégial privé
Denis Brière, recteur, Université Laval
Jean-François Chalifoux, président-directeur général, SSQ Groupe financier
Yvon Charest, président et chef de la direction, iA Groupe financier
Michel Dallaire, président et chef de la direction, Groupe Dallaire et chef de la direction,
Fonds de placement immobilier Cominar
Pierre Dolbec, président, Corporation des parcs industriels de Québec
Alain Girard, président, Hôtel Château Laurier Québec
Stéphan La Roche, directeur général, Musée de la civilisation
Bruno Marchand, président-directeur général, Centraide Québec et Chaudière-Appalaches
Robert Mercure, directeur général, Fairmont Le Château Frontenac
Evan Price, président-directeur général, CO2 Solutions
Paul Raymond, président et chef de la direction, Alithya
Louis Roy, président, Optel, société-mère d’Optel Vision
Jean St-Gelais, président du conseil et chef de la direction, La Capitale mutuelle de l’administration publique et La Capitale groupe financier inc.
Anick Tardif, présidente du conseil d’administration, VETIQ
Carl Viel, président-directeur général, Québec International
25 février 2017 à 13 h 04
Intéressant
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25 février 2017 à 16 h 01
si j’avais moi aussi une voiture de fonction vous pourier ajouté mon nom a ceux qui désire le SRB et le prendront jamais
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25 février 2017 à 16 h 36
j’allais écrire dans le même sens: combien de ces personnes ont déjà pris un transport en commun urbain dans le cadre de leurs fonctions (excluant le taxi), plutôt que le véhicule de fonction fourni dans le contrat d’embauche et conduit parfois par un chauffeur ? Dans leur situation, je pourrais promouvoir n’importe quel projet, en autant qu’on ne me demande pas d’en être partie.
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25 février 2017 à 16 h 47
Toujours aussi positifs quand il s’agit de TEC. Misère.
Vous auriez préféré que les préposés à l’entretien ménager de ces organismes mettent tout leur poids pour influencer les 1er ministres à Québec et Ottawa?
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25 février 2017 à 20 h 30
La baisse d’utilisation du transport en commun est généralisé une tendance lourde en amérique
What’s Behind Declining Transit Ridership Nationwide?
https://www.citylab.com/commute/2017/02/whats-behind-declining-transit-ridership-nationwide/517701/
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26 février 2017 à 15 h 12
Mais encore. Qu’est-ce que cet article vous inspire?
La conclusion de l’article en dit bien long sur un certain biais et sur les pièges à éviter en tirant des conclusions.
« Little is certain in the *** murky realm *** of transit ridership interpretation, except perhaps one thing: If cities want to *** lure *** passengers onto trains and buses, paying attention to cracks in both types of networks, and investing to fix them, is a pretty sure bet. »
L’utilisation du mot « lure » au lieu du mot attract démontre un certain biais. Au moins l’auteure est assez franche pour avouer ses faiblesses pour interpréter les statistiques qu’elles citent dans son article. Le phénomène peut-il être analysé de façon simpliste?
Je doute que vous en fassiez autant M. Guy pour ce qui est de mentionner vos faiblesses.
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26 février 2017 à 15 h 15
J’attendrai votre réponse avant de m’attaquer à la partie un peu moins noble de votre argumentaire… 8;-)
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26 février 2017 à 21 h 57
Libre a vous de croire au projets colossaux de transport collectif qui risque de transporté des sièges vide hord des heures de pointe avec des chaufeurs syndiqué bientot en grève
Moi je crois a un cocktail de moyen souple et en competition comme l’auto partage (UBER) le bus municipale, des navette priver,le taxi,et aussi le velo
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26 février 2017 à 22 h 31
Libre à vous de répandre vos faits alternatifs en nous poussant dans la gorge vos paralogismes trompe-l’œil tels que ceci:
« La baisse d’utilisation du transport en commun est généralisé une tendance lourde en amérique. » (sic)
Dans l’article que vous citez pour justifier une fois de plus votre délire, il y a un passage que vous passez sous silence:
« In other cities, rail numbers grow while bus numbers fall. That’s true in Los Angeles, where thickening traffic and construction hold-ups are slowing buses and perhaps discouraging passengers. In Chicago, CTA bus ridership is dropped by nearly 20 percent between 2008 and 2016, “even as rail ridership has increased by roughly the same amount,” writes urban policy analyst Daniel Kay Hertz; service cuts likely bear a good deal of blame. (There may be some issues with the ridership data itself, too.). »
Vous faites du « cherry picking ». Quand des chiffres sur le TEC vont à l’encontre de vos préjugés, vous les ignorez.
Vous ne cessez d’étaler votre incompétence sur le sujet du TEC. C’est de plus en plus pitoyable et surtout pénible à lire pour les initiés au domaine du TEC.
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26 février 2017 à 22 h 40
« Moi je crois a un cocktail de moyen souple et en competition comme l’auto partage (UBER) le bus municipale, des navette priver,le taxi,et aussi le velo »
C’est incroyable de lire ceci. Comme si en étant pour un projet comme un SLR ou SRB, ça implique forcément que l’on est contre UBER, le taxi, l’autobus du RTC, les navettes privées, Communauto, les transports actifs, etc.
Une fois de plus vous démontrez votre malhonnêteté intellectuelle, car si vous preniez le temps de me lire vous auriez remarqué que mes commentaires permettent de déduire facilement que j’utilise plus qu’un mode de transport actif ainsi que plusieurs modes de votre cocktail que vous préférez. Sur quelle planète imaginaire vivez-vous?
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26 février 2017 à 22 h 49
« Moi je crois a un cocktail de moyen souple et en competition comme l’auto partage (UBER) le bus municipale, des navette priver,le taxi,et aussi le velo » (sic)
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27 février 2017 à 13 h 51
« Moi je crois a un cocktail de moyen souple et en competition comme l’auto partage (UBER) le bus municipale, des navette priver,le taxi,et aussi le velo>
Au delà des arguments bancals, il est difficile de prendre au sérieux quelqu’un qui commet 9 fautes en moins de 30 mots.
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27 février 2017 à 19 h 34
Malgré les articles antitram de François Bourque, le tramway est un succès retentissant dans les villes Européennes où il a été implanté post 2000.
http://skyrisecities.com/news/2016/11/135-years-innovation-and-invention-bordeaux-tramway
http://www.alstom.com/press-centre/2006/1/99-availability-and-exceptionally-high-passenger-levels-the-Bordeaux-urban-tramway-is-a-resounding-success-20060109/
Le SRB c’est bien mais comme solution transitoire vers l’implantation du Tramway de Québec. Pour ça, on a besoin de s’assurer de l’implantation de voies qui prévoient l’installation d’un rail dans le futur.
Vivement qu’on accélère le processus, oui.
« Rail numbers grow while bus numbers drop. »
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28 février 2017 à 20 h 46
Je suis d’accord avec vous. Les choix qui se feront pour le SRB devront tenir compte de ces facteurs afin d’au moins amortir les coûts supplémentaires d’y aller en 2 phases (la 1re étant une transition via le SRB) si on pense se rendre au Tramway dans le futur…
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3 mars 2017 à 07 h 46
Hier il y avait une intéressante causerie avec Normand Mousseau.
Il y vient de publier le livre « Gagner la guerre du climat
Douze mythes à déboulonner ».
Ce qu’il a dit était très intéressant.
Il a aussi son émission de radio la Grande Équation (disponible en podcast).
« Normand Mousseau est professeur de physique à l’Université de Montréal, titulaire de la Chaire de recherche de l’UdeM sur les matériaux complexes, l’énergie et les ressources naturelles et directeur académique de l’Institut de l’énergie Trottier. Il est l’auteur de plusieurs livres sur la question énergétique et celle des ressources naturelles, dont La Révolution des gaz de schiste (2010) et Le Défi des ressources minières (2012). Il fut le co-président de la Commission sur les enjeux énergétiques du Québec dont le rapport « Maîtriser notre avenir » fut rendu public en février 2014. Depuis septembre 2011, il produit et anime l’émission de vulgarisation scientifique hebdomadaire La Grande Équation, diffusée sur les ondes de Radio VM. En 2016, il est nommé directeur académique de l’Institut de l’énergie Trottier (IET). »
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