Photo: Marc Robitaille
Brigitte Trudel
Le Fil
Des étudiants en architecture proposent des pistes à l’Assemblée nationale pour valoriser la colline parlementaire comme espace public.
L’architecture de l’hôtel du Parlement et l’aménagement de la colline parlementaire servent-ils de façon idéale la démocratie qu’ils symbolisent? Sont-ils l’écho du travail de l’Assemblée nationale, qui est de représenter les citoyens? Voilà les interrogations à la base du projet d’étude et d’ateliers Res Publica, qui réunit l’École d’architecture de l’Université Laval, celle de l’Université Rome Sapienza et l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional de l’Université Laval. (…)
Une bonne part des travaux ont porté sur la pos sibilité d’exploiter la cour intérieure de l’hôtel du Parlement, méconnue non seulement du public, mais des parlementaires eux-mêmes «C’est un espace inutilisé, mais au grand potentiel constate Jean-François Allard. On pourrait le rendre accessible en lui donnant, par exemple, un rôle d’accueil ou des fonctions protocolaires; on pourrait aussi en faire un lieu public.»
Mémoire au Président de l’Assemblée nationale du Québec * Merci à Monsieur Léonce Naud
8 avril 2017 à 20 h 05
Les pages 23 à 32 du Mémoire ci-dessus intéresseraient probablement ces étudiants en architecture. Il ne leur est cependant pas interdit de prendre connaissance du reste.
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