Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Démocratie Québec contre le SRB et demande un référendum

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 avril 2017 82 commentaires

Stéphanie Martin
Le Soleil

Anne Guérette demande aux gouvernements d’être prudents avant de se lancer dans l’aventure du SRB et exige un référendum sur la question à Québec.

«Si le maire croit à son projet, qu’il le soumette à un référendum, sinon, l’élection sera une élection référendaire sur le SRB.»

La suite

Nathalie Normandeau invite toutes les stations de radio à s’unir contre le SRB *Marie-Renée Grondin (Journal de Québec)

Un extrait: «On est tous enlignés sur la même chose. C’est-à-dire qu’on est tous contre le SRB. Le SRB, c’est une hérésie dans le contexte actuel. On n’a pas les moyens collectivement de se payer ça, un. Deux: est-ce que c’est vraiment le type de transport dont on a besoin? Le type de solution qu’on a besoin pour soulager nos problèmes de congestion ici à Québec et dans la grande agglomération de la région de Québec? La réponse, c’est non!

Accès transports viables et le Conseil régional de l’environnement disent non à un référendum sur le SRB

Québec, le 12 avril 2017 – Accès transports viables et le Conseil régional de l’environnement Capitale-Nationale (CRE) encouragent la Ville de Québec à ignorer les appels à tenir un référendum sur le projet de service rapide par bus (SRB). Les organisations estiment qu’il n’est plus temps de consulter, mais bien d’avancer avec ce projet structurant de transport en commun.

« Ils étaient où, ces opposants au projet de SRB, quand la Ville de Québec a tenu des consultations publiques sur l’avenir du transport commun en 2004 ou sur le Plan de mobilité durable en 2010? Il est un peu tard pour se réveiller! », a affirmé Alexandre Turgeon, directeur général du CRE. Ce dernier a rappelé que les villes les plus innovantes dans le monde ne passent pas leur temps à repousser les projets structurants à coup d’études ou, pire, de référendum. « Le tramway et maintenant le SRB, ça fait plus de 15 ans qu’on en parle à Québec et les sondages montrent que l’appui de la population à ce projet a toujours été très fort. C’est fini, le tataouinage. Ce projet doit avancer pour le bien de la région de Québec », a ajouté Monsieur Turgeon.

Etienne Grandmont, directeur général d’Accès transports viables, a abondé dans le même sens: « On l’a déjà dit et on le répète: le projet de SRB n’est pas parfait et il est encore temps de l’améliorer. Mais ce n’est pas avec un référendum qu’on obtiendra le meilleur de ce projet. » Monsieur Grandmont a par ailleurs évoqué l’importance d’améliorer l’offre de service sur les axes les plus achalandés, notamment celui entre la colline Parlementaire et le secteur Laurier: « nous espérons l’ajout d’une ligne de SRB sur cet axe dès la phase I du SRB, au plus tard dans une phase II ».

Leur communiqué

Mise à jour (14 avril 2017): SRB dans la tourmente: une occasion à saisir * Un texte de François Bourque (Le Soleil) à lire absolument.

Un extrait: « Voici que le parti d’opposition dirigé par Anne Guérette part à son tour en guerre contre le SRB sans même prendre la peine de proposer de solution de rechange. Ça viendra, promet-on. C’est beau l’opportunisme politique, mais il me semble que pour ce parti, une posture contre le transport en commun est presque contre nature.

Démocratie Québec-Jeff Fillion, même combat. Je ne pensais pas écrire ça un jour dans la même phrase. »

Mise à jour (18 avril 2017): Lévis se retire du projet * Taïeb Moalla (Journal de Québec)

Le ministère des Transports du Québec (MTQ) révisera le projet de SRB à la lumière du retrait de Lévis. «Tout est sur la table.» * Annie Morin (Le Soleil)

SRB: le retrait de Lévis pourrait bénéficier à Québec, selon Accès Transports Viables * Ian Bussières (Le Soleil)

Mise à jour (19 avril 2017): L’appui au SRB en chute libre * Stéphanie Martin (Journal de Québec)

Transporter les passagers, mais aussi transformer la ville * Serge Viau, ancien directeur général de la Ville de Québec et ex-membre du Comité sur la mobilité durable, Québec (Point de vue, Le Soleil)

SRB : pour qui? (1re partie) FM 93 (audio)

Mise à jour (20 avril 2017): SRB: quels sont les plans B de Québec? * Ian Bussières (Le Soleil)

SRB : des M$ en jeu pour les grands joueurs de l’immobilier * Jonathan Bernard (FM 93) (Audio)

SRB: Lessard renvoie Québec à sa table à dessin * Annie Morin (Le Soleil)

Voir aussi : SRB, Transport en commun.


82 commentaires

  1. Jean Cazes

    12 avril 2017 à 18 h 38

    « Nathalie Normandeau invite toutes les stations de radio à s’unir contre le SRB »…

    Ah oui, lesquels? Tout ce qui est en dehors de RC et des radios communautaires, c’est-à-dire qui représentent à l’unisson une « certaine pensée unique »? Désolé, C’est plus fort que moi, fallait que je réagisse, et je soutiens tout à fait dans ses propos Étienne Grandmont que je salue en passant.

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    • nietnietniet

      12 avril 2017 à 21 h 49

      Je crois que s’il y a un référendum, nous serons en mesure de dire si les « radios d’opinion » avaient la même opinion que la majorité des citoyens de Québec ou non.

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      • laéR

        13 avril 2017 à 17 h 33

        Malheureusement, les gens n’ont pas d’opinion. Ils n’ont pas les capacités d’analyse logique leur permettant de faire la juste part des choses et justement, s’en remettent aux radios d’opinions. Ces dernières guideront leurs idées et gagneront leur pari.

        La manipulation de la radio sur la population n’est pas à prendre à la légère.

        C’est ce qu’on nomme la propagande. Les radios ont beaucoup de pouvoir, beaucoup plus que vous et moi. Jumelez cela aux réseaux sociaux et voilà!

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      • nietnietniet

        13 avril 2017 à 20 h 16

        @laéR C’est vrai que beaucoup de gens n’ont pas la capacité ou la volonté pour se faire une idée sur le sujet. Ils sont donc à la merci autant des radios comme R-C ou de l’autre côté comme le FM 93 et RadioX.

        Mais c’est vrai peu importe l’enjeu (élection ou référendum). La démocratie est imparfaite mais je crois qu’un référendum devrait avoir lieu pour les enjeux de la taille du projet du SRB. Idem pour l’amphithéâtre d’ailleurs.

        On ne peut pas être pour la démocratie juste quand ça fait notre affaire. Et un référendum est somme toute relativement démocratique.

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      • laéR

        13 avril 2017 à 23 h 01

        La démocratie implique que les gens contre se font toujours plus entendre et étendre leur idéologie aux gens sans fondement dans leurs idées. Allez savoir pourquoi? Les camps du oui sont toujours mal structurés au départ et se font dammer le pion vers la ligne d’arrivée.

        Je n’arrive pas à croire que les gens ne voient pas le mur qui se dressent devant nous avec tous indicateurs en ce sens:

        fin de la croissance de la population entraîne
        Sur saturation des maisons et logements vides entraîne
        Dégringolade de la valeur immobilière entraîne
        Baisse de la richesse collective entraîne
        Fermeture de commerce de détails entraîne
        Pertes d’emplois;
        Entraîne baisse de la richesse collective etc…..

        NOUS AVONS BESOIN D’ATTIRER DES GENS… D’AILLEURS QUE CELA NE VOUS PLAISE OU NON.

        CES GENS N’ONT RIEN À FOUTRE D’UN TUNNEL

        ILS VEULENT SE DÉPLACER EN VILLE À FAIBLE COÛT ET EFFICACEMENT…

        COMME TOUTES LES GRANDES VILLES DU MONDE

        FACE À L’ABSENCE DE TEC INTELLIGENT, ILS NE VIENDRONT PAS ICI.

        Vous connaissez la suite.

        Merci madame Normandeau, Guérette et compagnie de saccagez notre seul projet collectif différent que de construire des autoroutes.

        Oui à un projet de société : OUI AU SRB. NON AU AU 3E PONT.

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  2. Nathan

    12 avril 2017 à 19 h 02

    j’aimerais savoirr ce qu’il propose outre le Srb? Car elle ne veut pas densifier donc l’étalement urrbain va continuer.
    D’autre ville canadienne ont un mode de transport collectif lourd, pourquoi pas à Québec?
    Autant que ceux qui sont contre de la hauteur!

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    • laéR

      13 avril 2017 à 17 h 36

      C’est d’un pitoyable incroyable. Ce qui arrive présentement me faire sentir honteux de notre communauté. La ville est superbe, certain membre de sa communauté non.

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    • Jeff M

      13 avril 2017 à 19 h 41

      En effet, tous ceux qui se positionne contre le SRB devront aussi se positionner sur une vision alternative tôt ou tard.
      En passant, allez donc commenter sur le site du journal de Québec, y’a plus de gens à convaincre de ce côté ;)

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  3. Clement Cote

    12 avril 2017 à 20 h 12

    On dirait que Anne Guérette a choisi de faire dans le populisme. Dès que les radios « d’opinion » (…) s’unissent contre le SRB, elle décide que c’est le pire projet de l’histoire de Québec.

    Si elle veut un mauvais projet contre lequel s’opposer, elle devrait plutôt s’en prendre au 3e lien, gaspillage éhonté de fonds publics qui ne profitera qu’à quelques promoteurs immobiliers et qui ne fera que pelleter le problème de congestion routière de quelques années en avant.

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  4. Jean François Côté

    12 avril 2017 à 21 h 01

    Anne Guérette est contre le projet de SRB parce que la population n’appuie pas le projet.

    C’est la principale lacune de Guérette toujours contre un projet mais incapable d’ expliquer de façon logique et rationnelle pourquoi elle s’y oppose.

    C’était pareil dans son quartier mais à un moindre niveau pour les ilots Irving, Esso,St Nicolas et le magnifique Pavillon Pierre Lassonde qu’elle aurait aimé voir construit derrière le musée !

    Mais c’est quand même incroyable de voir tous les animateurs de radio de Québec être contre ce projet en 2017 !!! Toutes les villes modernes et importantes ont un système de transport en commun efficace.

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  5. Michel Haineault

    12 avril 2017 à 22 h 17

    Anne Guérette semble avoir une fixation sur le maire Labeaume. Son manque de substance va jouer contre elle et son parti lors de la prochaine élection. Qui voudrait d’une mairesse qui prône l’immobilisme ?

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    • Francis L

      13 avril 2017 à 11 h 07

      Le contraire serait plutôt étonnant, non?

      Je trouve que Anne Guérette a le dos large alors qu’elle doit se battre contre un quasi empereur. Je ne suis pas toujours en accord avec elle, mais je pense qu’une opposition à l’hotel de ville n’est que bénéfique.

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      • Michel Haineault

        13 avril 2017 à 11 h 54

        Il est où son programme ? À ce jour, il n’y a toujours rien de concret sur le site de Démocratie Québec. En public, elle ne fait que s’opposer aux projets du maire et démontrer son hostilité envers le maire lui-même.
        On peut être pour ou contre le SRB, pour ou contre l’amphithéâtre. Au moins avec Labeaume, on sait où il s’en va.
        Je ne voterai jamais pour un parti qui nous propose le vide sidéral, et une candidate qui semble plus intéressée à dénigrer son adversaire politique qu’à devenir mairesse de ma ville.

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      • Francis L

        13 avril 2017 à 13 h 10

        Donc on laisse carte blanche et on ne pose plus de questions? Labeaume serait un surhomme qui a toujours raison?

        Je ne crois pas que le programme ou les idées de Démocratie Québec soient si importants, car même avec un taux de satisfaction en baisse, je doute que Anne Guérette n’ait même une mince chance aux élections.

        Mais elle est là pour poser des questions et tenter de faire réfléchir le maire un peu. Au moins, nous ne vivons pas encore dans un système à parti unique, même si nous en sommes proche.

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      • Michel Haineault

        13 avril 2017 à 13 h 31

        Qui a dit qu’il fallait donner carte blanche à Labeaume et dire qu’il a toujours raison ? Quand on veut devenir mairesse d’une ville, on se comporte autrement. Comme Québec Solidaire, Anne Guérette se tire dans le pied en dénigrant continuellement et souvent avec hostilité ses adversaires. Cette façon de faire de la politique ne me plaît pas, et ne plaît pas à la majorité. Au moins, Québec Solidaire a un programme à proposer.

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  6. Louis

    13 avril 2017 à 02 h 41

    Je vais être ici un « casseux » de party». Je n’écoute pas la radio de Québec et ne suis pas un partisan d’Anne Guérette pour qui je n’ai aucune confiance de la voir à la mairie. Mais sur ce projet, j’appuie son avis de décès du SRB. J’avoue que je ne conduis pas et demeure au centre-ville. Toutefois, il me semble qu’il y a plein d’éléments qui jouent en défaveur de ce projet.

    D’abord, on ne m’a encore convaincu que les Québécois utiliseront ce transport en commun au détriment de leur chère automobile. Surtout quand je vois tous les projets de condos et de résidences se construisant dans les quartiers périphériques de la ville. Ces nouveaux propriétaires préféreront probablement utiliser encore leur auto plutôt que de le SRB qui se retrouvera tout de même dans la circulation, donc potentiellement dans la congestion.

    De plus, le fait de dépenser près 60 millions de dollars juste pour étudier le projet me simple exagéré. Les spécialistes seront-ils payer 1 000$ l’heure?

    Ensuite, je trouve que cela ressemble à un projet conçu pour soutenir les ambitions du promoteur Dallaire. D’ailleurs, ce dernier semble être l’un des seuls gros noms qui appuient officiellement le SRB. Il le veut pour son « Rockefeller Center » du boulevard Laurier et, on l’apprend aujourd’hui, pour son deuxième « RC » sur la Rive-Sud.

    Enfin, même si les Québécois semblent d’accord pour un troisième lien, ils semblent tout autant réticents à un SRB qui, convenons-en, ressemble davantage et de gros autobus articulés rattachés l’un à l’autre. Un tramway sur rails me semble plus convenable car lui, avec ses rails, n’aura pas d’autos pour le « congestionner ».

    Dans ce contexte, ne devrait-on évaluer D’ABORD la possibilité d’ajouter des autobus, des parcours, de modifier les heures de travail des grosses institutions publiques (fonction publique, université, collèges, etc, afin de diminuer la congestion aux heures de pointe). Le Cégep de Lévis veut le faire et l’Université Laval y songe également. C’est moins coûteux que deux milliards, d’autant que je ne suis pas certain que le Fédéral ni le Provincial voudront financer seuls ce projet. Il demandera au privé d’investir et ça, ce n’est pas garanti.

    Par ailleurs, je trouve que madame Guérette sort ses cartes un peu trop vite, la vraie campagne n’est même pas commencée. Elle aurait besoin d’une bonne direction des communications car sur ce point, Démocratie-Québec est lamentable.

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    • nietnietniet

      13 avril 2017 à 06 h 27

      Tout à fait d’accord avec l’ensemble de vos propos.

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    • Insider

      13 avril 2017 à 07 h 37

      « De plus, le fait de dépenser près 60 millions de dollars juste pour étudier le projet me simple exagéré. Les spécialistes seront-ils payer 1 000$ l’heure? » (sic)

      Belle démagogie! Devrait-on confier ça à des spécialistes comme vous et Mme Guérette en les rémunérant au salaire minimum?

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      • Louis

        13 avril 2017 à 20 h 25

        Tiens, un autre qui répond à des commentaires par des attaques personnelles! Je croyais que Québec urbain s’était débarrassé de ce genre d’utilisateur…

        Démontrez-moi alors comment une étude sur un transport en commun doive coûter 58 millions de dollars?

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      • Insider

        13 avril 2017 à 23 h 59

        « Tiens, un autre qui répond à des commentaires par des attaques personnelles! Je croyais que Québec urbain s’était débarrassé de ce genre d’utilisateur… »

        Belle façon de contrer une attaque personnelle en agissant de la même façon! lol

        Et entre vous et moi. Des personnes dans mon entourage pourraient avoir pris ce genre de commentaire comme une attaque personnelle:

        « Les spécialistes seront-ils payer 1 000$ l’heure? » (sic)

        Disons simplement que les commentaires suivants ne m’ont pas impressionné:

        « 60 millions de dollars juste pour étudier le projet »

        « Ces nouveaux propriétaires préféreront probablement utiliser encore leur auto plutôt que de le SRB qui se retrouvera tout de même dans la circulation, donc potentiellement dans la congestion. » (sic)

        Ça enlève toute crédibilité à ce qu’il y avait d’intéressant dans vos commentaires. Prenez le temps de lire tous les commentaires et vous comprendrez peut-être mon exaspération.

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    • Insider

      13 avril 2017 à 07 h 41

      « Dans ce contexte, ne devrait-on évaluer D’ABORD la possibilité d’ajouter des autobus… »

      Ironiquement, une des choses que permet de faire un SRB, c’est de libérer entre autres choses des véhicules pour les affecter ailleurs sans faire l’acquisition de nouveaux autobus. Léger détail que nos gérants d’estrade omettent de mentionner.

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    • Michel Haineault

      13 avril 2017 à 10 h 38

      Bonjour Louis,
      En tout respect, il y a des trois éléments dans ton commentaire qui ne sont pas exacts.
      Premièrement, il n’y a pas que Michel Dallaire qui est intéressé par le SRB. D’autres promoteurs, comme ceux qui construisent actuellement dans l’écoquartier de la Pointe-aux-Lièvres (et ce ne sont pas les seuls), le sont aussi. J’ai déjà entendu GM Développement en parler en bien. Suffit de les écouter lorsqu’ils font la promotion de leurs projets en public ou sur internet. La différence, c’est que le groupe Dallaire insiste beaucoup plus qu’eux, vu l’ampleur de ses deux projets près des ponts et l’intérêt qu’il aurait à y voir se construire des pôles d’échanges sur place….
      Un autre point qui n’est pas exact dans ton commentaire concerne les coûts et le financement du SRB. La plus haute estimation était de 1,6 milliard. Maintenant que le tracé va être réduit d’environ la moitié à Lévis, ceux-ci vont probablement se chiffrer entre 1 et 1,3 milliard. Quant au financement, il n’a jamais été question pour quiconque de faire appel au privé. On peut s’attendre à ce que le financement provienne à 100 % des gouvernements supérieurs. Au pire, la ville de Québec aurait à contribuer 10 %.
      Les PPP n’ont pas leur place selon moi dans les transports en commun. Dans des projets autoroutiers comme le troisième lien, oui. Justement, pour ce qui est du troisième lien, celui-ci coûterait beaucoup plus cher s’il était sous-fluvial et construit à l’est, là où le fleuve est beaucoup plus large. Ce troisième lien ne soulagerait la congestion entre les deux rives que temporairement. Le pire, c’est que la congestion s’aggraverait grandement sur le réseau de la rive nord. Tous les nouveaux et nombreux développements domiciliaires que ce lien favoriserait à Lévis amèneraient leurs lots d’automobilistes de ce côté-ci du fleuve pour le travail.
      Enfin, le troisième élément de ton commentaire qui n’est pas exact concerne la congestion dans laquelle se retrouverait le SRB. Le fait est que le SRB circulerait dans des voies réservées sur toute la longueur de son parcours, et qu’il aurait en plus la priorité aux feux de circulation. Tout comme pour un tramway, il permettrait aux gens de se déplacer plus rapidement.
      Pour terminer, tu as raison sur un point : la modulation des horaires de travail pourrait en effet soulager la circulation. Je suis à la fois surpris et content d’apprendre qu’il y a des institutions d’enseignement qui y songent.
      Enfin, sache que le SRB profiterait entre autres à des gens comme toi qui habitent le centre-ville. Ce genre d’infrastructure a toujours contribué à apaiser la circulation dans les centres-villes. Les exemples sont nombreux en Europe qui démontrent que cela améliore la qualité de vie des gens qui y habitent et contribue à l’effervescence d’une vie de quartier riche et diversifiée.

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      • Louis

        13 avril 2017 à 20 h 30

        J’apprécie beaucoup vos arguments et vous avez probablement raison sur plusieurs points. On verra bien et tant mieux si vous avez raison.

        Mais je n’en reviens toujours pas qu’on dépense 58 millions pour un projet que même le maire ni le ministre des Transports ne peuvent expliquer sommairement à la population qui, elle, va le payer.

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      • Michel Haineault

        13 avril 2017 à 22 h 19

        @ Louis : Il s’agit d’une enveloppe budgétaire pour la préparation des plans et devis. Là, on entre dans les « technicalités ». Le ministre a dit que si c’était trop (les 56 millions), que ce qui resterait irait pour les travaux. Or, il y a peu de chances que cela se produise. La propension à toujours tout dépenser son budget étant très généralisée…
        Vos craintes, je les partage donc. Mes années au fédéral m’ont fait voir des trucs pas mal troublants lorsque des contrats étaient envoyés à l’externe. Quand il n’y a pas un seul fonctionnaire capable de très bien comprendre ce qui se passe au juste, tous les tenants et aboutissants d’un projet qui, de par nature, peut être fort complexe, comment voulez-vous qu’on puisse faire un suivi rigoureux des dépenses ?
        Ceci dit, faudrait pas dire non à tous les projets d’infrastructure pour cette raison. Pour les gros projets comme le SRB, l’idéal serait d’adjoindre aux vérificateurs-comptables les services d’au moins un spécialiste indépendant du domaine pour les aider à y voir plus clair. Cela rassurerait les payeurs de taxes.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        13 avril 2017 à 22 h 36

        Comment peut-on être « spécialiste du SRB » tout en étant indépendant du domaine ? Éclairez-nous. Merci.

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      • Michel Haineault

        13 avril 2017 à 23 h 41

        Oups ! Je voulais dire « un spécialiste indépendant du PROJET ». Autrement dit, qui n’a pas un intérêt personnel ($) dans notre futur SRB.
        Les vérificateurs sont des comptables, et non des ingénieurs. Pour effectuer un suivi exhaustif des dépenses qui ne se limite pas uniquement à vérifier des factures, des écritures comptables et des états financiers, il faut comprendre suffisamment bien le domaine sur lequel portera la vérification.
        Si un neurochirurgien facture 10 000 $ à l’État en arguant qu’il a pris 10 heures pour effectuer une intervention et que celle-ci a nécessité les ressources XYZ, qui d’autre qu’un autre neurochirurgien peut savoir si cela est raisonnable ?
        Sur ce, la vieille carcasse, qui a beaucoup contribué sur ce blog aujourd’hui, s’en va se coucher. :-)

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      • Insider

        14 avril 2017 à 00 h 18

        « Mais je n’en reviens toujours pas qu’on dépense 58 millions pour un projet que même le maire ni le ministre des Transports ne peuvent expliquer sommairement à la population qui, elle, va le payer. »

        Prenez quelques minutes pour écouter le ministre en entrevue, il a tellement de problèmes à s’exprimer de façon intelligible qu’il est ridiculisé à Infoman et par des chroniqueurs politiques. Si l’avenir de ce projet repose sur une explication du ministre ou de notre très humble maire, vaut mieux lancer la serviette immédiatement.

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      • Insider

        14 avril 2017 à 00 h 31

        « Pour effectuer un suivi exhaustif des dépenses qui ne se limite pas uniquement à vérifier des factures, des écritures comptables et des états financiers, il faut comprendre suffisamment bien le domaine sur lequel portera la vérification. »

        J’ajouterais que ça prend des spécialistes qui ont un fort « incitatif » à faire un suivi financier serré sans compromettre la qualité et la pérennité du projet.

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    • Jean Cazes

      13 avril 2017 à 17 h 37

      L’un des commentaires les plus intéressants que j’ai lus depuis longtemps dans QU, que l’on soit d’accord ou non. Bravo, je tenais à le souligner.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      13 avril 2017 à 20 h 44

      Le document officiel du Ministre des finances (page 31)

      56 millions pour les plans et devis ajoutés au 12,5 millions du début (page 33). S’il y a un document plus précis, je ne l’ai pas trouvé.

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  7. Nathan

    13 avril 2017 à 06 h 30

    J’attend toujours sa vision des choses, ces projets à elle! On va attendre longtemps car à pars d’être contre labeaume, elle n’a aucune subtance!

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  8. Attila

    13 avril 2017 à 11 h 54

    C’est un scandale que madame Guerrette est encore en politique. Anne Guerrette est une carriériste ça se sent à des kilomètres à la ronde. Tout ce qu’elle a fait tout au long de sa pitoyable carrière c’est s’opposer à la construction de n’importe quel édifice qui fait plus que 6 étages. C’est du n’importe quoi. Systématiquement elle propose de faire un parc à la place. C’est plus que lancinant. Peu importe le projet, elle essaie de se faire du capital politique en s’opposant au projet.
    Le SRB déjà est un compromis en attendant le Tramway de Québec qui lui, est attendu depuis non pas 15 ans, mais 50 ans! Plus on retarde le projet, plus les coûts montent.
    Ce projet est le minimum pour poursuivre la croissance naturelle de la Capitale. Québec est en voie de devenir une grande ville. Il faut contrôler les dépenses, mais mettre les priorités à la bonne place. Le Tramway de Québec est un projet structurant pour la ville, et tôt ou tard, la ligne Lévis-De l’église-Charest-D’Estimauville se fera. C’est impératif!

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    • Francis L

      13 avril 2017 à 13 h 24

      Le SRB, c’est loins d’être un projet parfait.

      Un SRB, c’est une solution à la portée d’une ville deux fois plus petite que Québec, comme Gatineau. Mais le tramway a été mis au poubelle, non pas pour le coût (quasiment le même), mais pour l’acceptation sociale : le tramway serait trop grano?

      Sans parler du parcours : le maire ne veut même pas analyser la possibilité de passer en haute-ville tellement il aime son idée sur Charest. Donc on n’améliore pas la situation du tracé le plus sous pression. Pire, on risque même de détériorer la situation.

      Depuis le début de ce projet, tout ce qu’on entend c’est toujours « les ponts ». On croirait que le SRB a été conçu pour Lévis, pas pour Québec.

      Mais malgré cela, faudrait-il enterrer le projet? Je ne pense pas, par contre on devrait faire des analyses rigoureuses, quitte à froisser les idées du maire.

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      • Michel Haineault

        13 avril 2017 à 13 h 54

        Le SRB en Outaouais se déployait aussi et surtout à Ottawa…
        Celui qui est prévu à Québec serait évolutif. Autrement dit, il est prévu d’y faire construire une plateforme qui permettrait éventuellement d’y accueillir un tramway. Et le plus vite serait le mieux en ce qui me concerne.
        Faire passer le SRB par Charest accélérerait la requalification de ce boulevard qui en a grandement besoin. À moins d’être contre la densification, je ne vois pas pourquoi on s’y opposerait. De plus, il n’est pas dit qu’un jour un autre tracé s’ajouterait sur René-Lévesque. Entre le Grand Théâtre et l’Université, il y a 4-5 kilomètres. Au prorata, cela coûterait environ 150 millions de plus. Actuellement, rejoindre ces deux lieux ne prend qu’une dizaine de minutes, et les métrobus passent à toutes les 3-5 minutes aux heures de pointe.
        Enfin, la raison pour laquelle on veut qu’il traverse le pont, c’est parce qu’on a bon espoir que cela pourrait régler en partie la congestion.
        Bonne journée !

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      • Insider

        14 avril 2017 à 00 h 08

        @ Michel Haineault

        « Faire passer le SRB par Charest accélérerait la requalification de ce boulevard qui en a grandement besoin. À moins d’être contre la densification, je ne vois pas pourquoi on s’y opposerait. »

        Il y a un argument contre ce choix qui est difficile à contrer. Le potentiel de développement est presque limité à 50 % à cause de la falaise. Ceci avait été abordé sur QU dans le billet « Tramway sur Charest: un pari risqué, pensent deux experts ». (Octobre 2010)

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  9. Nathan

    13 avril 2017 à 15 h 28

    Et si la ville en louais 4 5 pour l’été! Il roulerait comme un bus normal sauf que 5 secondes avant d’arriver au feux tout devient rouge et il a la priorité!

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  10. llap

    13 avril 2017 à 16 h 16

    Anne Guérette est contre tout et ça, ce n’est pas un programme électoral.

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  11. Trashy

    13 avril 2017 à 17 h 22

    Je ne suis pas pro Guérette une seule seconde, mais franchement le SRB c’est juste ridicule. Une panoplie d’autobus roulant au pétrole un derrière l’autre au cout de plus d’un milliard de dollars, c’est ca la solution d’avenir pour Québec ? Cruel manque d’ambition !

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  12. Nathan

    13 avril 2017 à 19 h 16

    Aie la gang j’ai su une bonne!
    Guérette dit que charest, c’est un désert totale!

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  13. Michel Haineault

    14 avril 2017 à 10 h 55

    Un excellent article ce matin de François Bourque du journal Le Soleil, qui est certainement un des meilleurs journalistes pour traiter des enjeux locaux à Québec : « SRB dans la tourmente: une occasion à saisir ». Au fait, le maire de Lévis n’était-il pas censé rencontrer le ministre Lessard à ce sujet, hier en fin d’après-midi ? Je sens que le SRB va être un enjeu majeur, voire « explosif », lors de la prochaine élection municipale…

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    • Insider

      14 avril 2017 à 11 h 02

      Il faut aussi être conscient que nous allons payer pour Montréal qui a su saisir l’occasion. Si on fait une confiance aveugle aux stations de radio qui pousseront pour cette campagne nous devrons quand même payer la facture pour Montréal. Tout ça en espérant obtenir un 3e lien?

      Québec devrait savoir plus que jamais ce que c’est de tout miser sur une chose et voir ses espoirs déçus par la suite.

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    • Insider

      14 avril 2017 à 11 h 11

      J’aime bien aussi comment François Bourque fait ressortir les contradictions au fil des années dans le discours de Normandeau. J’espère qu’elle évitera de se contredire comme ça au tribunal, faute de quoi le verdict ne fera plus de doute. ;-)

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      14 avril 2017 à 11 h 21

      Cet article a été ajouté au billet (voir plus haut)

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  14. Michel Haineault

    14 avril 2017 à 12 h 11

    Si de faire passer le SRB par René-Lévesque plutôt que par Charest est pour être plus vendeur auprès de l’électorat, j’embarque sans hésiter, et je pense que le maire Labeaume devrait faire pareil. Après tout ce que j’ai vu et entendu depuis hier du camp adverse, ce n’est vraiment pas le temps pour les partisans du OUI de s’entre-déchirer sur le tracé. Le boulevard Charest pourrait toujours être ajouté ultérieurement.

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    • Insider

      14 avril 2017 à 12 h 55

      L’alternative étant de payer au bénéfice d’autres villes sans avoir l’opportunité ne serait-ce que d’exiger un référendum, ça devrait être un « no-brainer » de saisir l’occasion. Faute de quoi nous serons invités à un dîner de con par les citoyens de Montréal, Ottawa, Toronto et Vancouver.

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    • AndreGil

      14 avril 2017 à 20 h 20

      Ce que je comprends du tracé du SRB sur Charest c’est une vision du développement futur de la ville de Québec. En fait, c’est de relier le centre-ville techno (St-Roch) au nouveau centre-ville des affaires (soit le boulevard Laurier à Ste-Foy) en passant par Charest cela permettra de densifier et de créer de nouvelles zones d’habitation tout le long de ce tracé ce qui est impossible de faire en haute ville. C’est sûr qu’il aurait été intéressant de passer par René- Lévesque pour que les dames de Montcalm puissent se rendre à Place Ste-Foy plus rapidement mais là n’est pas le but ultime. C’est sûr que ça ne fait pas l’affaire du personnel de l’hôpital St-Sacrement ni des fonctionnaires du complexe G ni des étudiants du Cegep Garneau mais a un moment donné il faut trancher. Il faut voir plus loin, si le maire Lallier n’avait pas eu de vision, le Jardin St-Roch n’aurait jamais vu le jour. C’est présentement la vision du maire Labeaume, soit on embarque ou on débarque à la station de madame Guérette.

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      • Insider

        14 avril 2017 à 20 h 32

        @ AndreGil

        Vous n’aidez pas à rendre votre argumentaire crédible en écrivant ceci:

        « C’est sûr qu’il aurait été intéressant de passer par René- Lévesque pour que les dames de Montcalm puissent se rendre à Place Ste-Foy plus rapidement mais là n’est pas le but ultime. »

        Le jupon dépasse. Entre ce genre de discours et l’opinion des chercheurs du CRAD je vous laisse deviner ce que je vais privilégier.

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      • Michel Haineault

        14 avril 2017 à 21 h 29

        Combien de kilomètres du tracé original à Lévis vont être retranchés ? Aux dernières nouvelles, environ une dizaine.
        Si le gouvernement Couillard tiens mordicus au SRB, voici ce qu’il pourrait faire : (1) contribuer pour 60 % au financement; (2) retenir un tracé qui comprendrait à la fois Charest et René-Lévesque.
        Ce nouveau tracé serait d’environ 5 kilomètres moins long que l’original de 43 kilomètres. L’estimation la plus élevée des coûts à date pour ces 43 km est de 1,6 milliard.
        Il y a 2 millions d’habitants sur l’île de Montréal, et 675 000 à Québec-Lévis. La dernière estimation des coûts pour le REM est de 6 milliards. Au prorata, cela représente 2 milliards pour le SRB…

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      • AndreGil

        15 avril 2017 à 09 h 50

        @ Insider
        C’est de l’ironie, je ne prétends pas que cela vienne d’une étude de marché, il faut à un moment donné détendre l’atmosphère sur ce sujet qui est en train de prendre une drôle de tournure.

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      • Francis L

        15 avril 2017 à 09 h 55

        « pour que les dames de Montcalm »…

        Commentaire réducteur et même sexiste. De plus, si vous étiez moindrement informé, vous seriez que le trajet haute-ville-université-laval est le plus achalandé de toute la ville. C’est ce tracé qui a rempli le métrobus, amenant l’idée du tramway et ensuite dur SRB.

        Le but premier d’un service en commun, c’est encore de transporter des gens, densifier la ville est un second bénéfice. Et avec tout les secteurs que le maire souhaite densifier, Charest est tout à fait sacrifiable, la ville ne va pas exploser démographiquement.

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      • Jeff M

        15 avril 2017 à 11 h 06

        Je ne suis pas contre de passer le trajet par René Lévesque, mais ce que je déplore de ce côté ce sont les difficultés de densifications urbaines. On n’aura pas vraiment de nouveaux usagers de TEC par là. À moins de pousser le projet des « zones franches » déjà évoqué dans le passé.

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      • Insider

        15 avril 2017 à 11 h 14

        « Le but premier d’un service en commun, c’est encore de transporter des gens, densifier la ville est un second bénéfice. Et avec tous les secteurs que le maire souhaite densifier, Charest est tout à fait « sacrifiable », la ville ne va pas exploser démographiquement. »

        Excellent commentaire!

        Selon moi, le débat devrait se concentrer sur ça. Malheureusement avec nos radios-poubelles et nos politiciens, le débat est pris en otage par les démagogues .

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      • Insider

        15 avril 2017 à 11 h 18

        @ AndreGil

        OK, c’est noté…

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      • Insider

        15 avril 2017 à 11 h 28

        @ Jeff M

        Il y a 2 écoles de pensée, pour l’une on mise sur le potentiel dans 10 ou
        20 ans. Pour l’autre, on mise sur le fait que le SRB permettra de libérer des ressources qui seront utilisées ailleurs pour aller chercher de nouveaux usagers du TEC qui seront amenées vers le centre-ville ou les parcours Métrobus.

        Si on accepte d’absorber la hausse des tarifs pour les usagers et l’investissement avec nos taxes et impôts on peut faire preuve de patience.

        Je doute cependant que l’on puisse faire preuve de patience avec les effets néfastes sur notre climat, l’étalement urbain, la congestion routière et surtout la très forte pression politique pour servir exclusivement l’auto-solo.

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      • Insider

        15 avril 2017 à 11 h 49

        Et je suis très conservateur en évoquant 10 ans. Allez lire l’article cité dans le billet « Tramway sur Charest: un pari risqué, pensent deux experts » pour connaître l’avis des chercheurs du CRAD.

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  15. Jeff M

    15 avril 2017 à 11 h 28

    La classe politique a laissé le champs libre trop longtemps aux opposants du transport en commun par les radios poubelles. Il est temps que s’organise une campagne d’information pour le SRB. Avec les élections municipales qui s’en viennent en octobre, on devine que Labaume cherche un bon timing pour commencer ça. Entk, il l’a promis cette campagne d’info depuis déjà un certain temps. On devine aussi que la mobilité sera probablement l’enjeu important de cette élection – mais 6 mois en politique c’est long, alors tout peut arriver.
    Anne Guérette, quant à elle, pas sûr qu’elle aide sa cause à long terme. Car elle devra aller plus loin que juste s’opposer à un projet. C’est là que son alliance avec les radios poubelles va éclater, à moins qu’elle soit plus habille que je le pense. Tout dépendra des clientèles qu’elle voudra cibler.
    Au gouvernement du Québec, je serais très très très curieux d’entendre les conversations en coulisse et dans le caucus. Parmis les députés libéraux de la région, certains sont certainement en train de pousser pour le 3e lien et de mettre les freins sur le SRB, craignant que la CAQ exploite trop bien ces thèmes à la prochaine élection.

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    • Insider

      15 avril 2017 à 11 h 42

      Guérette cible-t-elle la bonne clientèle? Mise-t-elle vraiment sur la clientèle qui pourrait voter pour elle sans se pincer le nez?

      Je crois qu’elle improvise. Elle n’a pas de vision, de stratégie. À tel point que je doute qu’elle aspire à prendre le pouvoir. Selon moi, elle est aussi sérieuse que Québec Solidaire lorsqu’elle évoque sa prétention de prendre le pouvoir. ;-)

      C’est les citoyens bien informés sur le sujet qui ne devraient pas laisser le champ libre aux radios-poubelles de Québec. Qui n’a pas dans son entourage des personnes qui font une confiance aveugle à tout discours – qui sort de la bouche des Jeff, André, Sylvain et Nathalie – sur nos ondes radiophoniques?

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  16. Jeff M

    15 avril 2017 à 11 h 30

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  17. Jean

    15 avril 2017 à 20 h 20

    Comment peut-on imaginer un SRB qui oublie de servir son centre-ville dans une première phase ?

    C’est insensé….. Que se cache-t-il là-dessous ?

    On installe un SRB, un tramway, un métro où il y a du trafic pour désengorger et améliorer le trafic.

    Tant qu’à y être faisons le passer par St-Féréol-les-Neiges …. Pour le développement futur ….. Dans 100 ans ….

    Espérons que les élus du provincial et du fédérale auront du jugement pour rectifier le tout, c’est un milliard de nos impôts tout de même.

    Un SRB c’est bon, mais faite-le comme il le faut SVP.

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  18. sylvain frigon

    16 avril 2017 à 10 h 17

    Passer un SRB sur un pont à l’abandon…ce projet est mal foutu, sur un 3e lien moderne le SRB serais bien plus pertinent pour l’avenir!

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    • Insider

      16 avril 2017 à 13 h 07

      SRB + 3e lien. C’est ce qui est l’avenir???

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    • Michel Haineault

      16 avril 2017 à 16 h 16

      Faudrait que ce lien soit à Sainte-Foy : le SRB n’ira pas jusqu’à Beauport. Maintenant que le port de Québec a des visées pour Rabaska, le maire de Lévis va probablement nous revenir avec son idée de l’avoir dans l’est plutôt que dans l’ouest… Ceci dit, vous marquez un point : un SRB qui passerait sur un pont dont l’entretien laisse à désirer serait assez particulier.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        16 avril 2017 à 16 h 28

        Un 3e lien avec un SRB ? La meilleure idée pour anéantir le projet. Désolé. Il y a parfois des calculs qui me sidèrent. Il ne faudrait pas oublier aussi le pont pour l’Île d’Orléans. Et comme nous sommes collectivement riches au point où 75% des québécois gagnent moins de 50,000 $, comment pouvons-nous ainsi désirer tout. Mais bon …

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      • Michel Haineault

        16 avril 2017 à 17 h 41

        C’est à Couillard et son équipe de mettre les priorités à la bonne place.
        Je fais pour ma part partie de cette école de pensée qui dit souvent oui aux projets d’infrastructure et toujours non à des augmentations de la masse salariale des employés des secteurs publics et parapublics qui dépassent l’inflation. Juste en contrôlant de la sorte la rémunération des médecins, on dégagerait des marges plus que suffisantes pour satisfaire les partisans du SRB et du 3e lien. On pourrait même se payer un nouveau pont pour l’île d’Orléans.
        Comme je l’ai écris sur ce blog il y a à peine quelques jours, je suis inquiet de la pression additionnelle que mettrait un 3e lien sur le réseau routier de Québec. Sauf que si on est pour laisser le pont de Québec se dégrader encore longtemps, eh bien qu’advienne au plus vite un 3e lien à Sainte-Foy !
        En passant, pourquoi dites-vous qu’un SRB et un 3e lien serait « la meilleure idée pour anéantir le projet » ?
        On ne peut pas toujours être d’accord sur tout. Dois-je m’excuser d’être un partisan de l’extrême-centre, comme certains me l’ont déjà dit ?

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  19. Insider

    16 avril 2017 à 20 h 27

    « En passant, pourquoi dites-vous qu’un SRB et un 3e lien serait « la meilleure idée pour anéantir le projet » ? »

    Un 3e lien est un excellent moyen de récompenser l’étalement urbain.

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    • Michel Haineault

      18 avril 2017 à 12 h 24

      Il me faudrait une étude qui le démontre pour en être certain. L’élargissement d’une autoroute « est un excellent moyen de récompenser l’étalement urbain ». Là-dessus, il n’y a pas de doute.

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      • Insider

        18 avril 2017 à 17 h 58

        Je vous suggère la lecture de ce mémoire:

        Chahboub, Kamal (2012). « Le tronçon de l’autoroute 25 et l’étalement urbain » Mémoire. Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal, Maîtrise en géographie.

        Voici un extrait:

        « Ce que craignaient les opposants du projet s’est finalement avéré exact. En effet, nous pouvons vérifier cet étalement urbain à deux niveaux:

        1. Au niveau de la CMM, les données concernant le mouvement de la population du centre-ville de Montréal vers la périphérie ainsi que celles démontrant l’évolution du cadre bâti au détriment des terres agricoles attestent de l’étalement urbain.

        2. Au niveau du tronçon de l’Autoroute 25, les données amassées pendant le travail de terrain confirment l’évolution de l’étalement urbain à l’échelle de l’est de Laval, surtout autour du tronçon de la 25. En effet, au niveau de la zone délimitée, nous avons constaté que sur une période de 10 ans, le bâti a atteint 10 % du territoire.
        L’étalement urbain est un problème d’aménagement du territoire, car la congestion routière d’aujourd’hui est le résultat de l’étalement urbain des années précédentes.

        Comme nous l’avons démontré dans cette recherche, l’étalement urbain futur est déjà entamé avec les nouveaux projets développés ou en cours de réalisation, et ce, surtout dans la région de Laval, car ils vont inciter l’expansion du territoire urbanisé vers des zones
        éloignées du centre-ville de Montréal. Comme nous l’avons souligné, l’étalement urbain touche aussi la région métropolitaine. D’une part, des périphéries de plus en plus éloignées (la couronne nord et sud) se développent au détriment de la ville de Montréal, qui perd ses résidents. D’autre part, cet étalement se fait au détriment des terres agricoles, et spécialement des terres qui étaient pourtant protégées par la Loi sur la protection du territoire agricole.

        La ville de Montréal perd aussi de plus en plus de résidents au profit de la banlieue et de la périphérie. Le prix des terrains, des maisons et des logements est le principal facteur de ce mouvement. En effet, il est beaucoup moins cher de se loger en banlieue que sur l’île de
        Montréal. La différence est tellement importante que certains résidents n’ont d’autre choix que de quitter la ville de Montréal pour trouver un endroit plus agréable à vivre et moins cher en périphérie.

        Nous pouvons conclure que le prolongement de l’Autoroute 25 risque d’aggraver l’étalement urbain à l’échelle de la CMM. Avec toutes les constructions déjà réalisées ou en voie de réalisation, et particulièrement les projets résidentiels, les Montréalais et les résidents d’autres régions seront certainement incités à s’installer en banlieue. »

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      • Michel Haineault

        18 avril 2017 à 21 h 09

        Vous pouvez aussi nous reproduire le deuxième chapitre du mémoire, c’est-à-dire celui qui décrit la méthodologie qui a été employée ? Autrement dit, est-ce une étude corrélative ou d’impact ? Les études corrélatives ne permettent tout simplement pas d’établir un lien de cause à effet. On ne peut donc pas généraliser.
        Mon premier choix serait qu’on entretienne comme du monde le pont de Québec plutôt que d’en construire un nouveau juste à côté. L’étalement urbain, je n’aime pas ça, moi non plus. Ceci dit, on ne peut pas faire passer le SRB sur un pont qu’on néglige. La sécurité avant tout.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        18 avril 2017 à 22 h 26

        @ Michel Haineault

        Il n’y aura pas de SRB sur la rive-sud

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      • Insider

        18 avril 2017 à 22 h 24

        L’ordinateur que j’utilise présentement ne me permet pas de faire un copier-coller sans que je doive apporter de nombreuses corrections avant de publier de façon convenable.

        Faites une recherche dans Google avec les mots suivants:

        « archipel UQAM autoroute 25 mémoire »

        Si un modérateur pouvait mettre un hyperlien vers la page du site web archipel où est publié le mémoire ce serait apprécié.

        Je vous implore de faire plus que seulement lire la méthodologie qui a été utilisée par respect pour les efforts qui ont été investis!

        Et de toute façon s’il faut en croire le maire de Lévis pas de souci avec le pont. Il est plus simple de se retirer du projet et faire du lobby pour un 3e lien. Quelle vision de ce politicien, et surtout quel manque de courage politique!

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      • Insider

        18 avril 2017 à 22 h 48

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  20. Michel Haineault

    18 avril 2017 à 12 h 30

    Un autre très bon texte à lire sur le sujet : http://www.lapresse.ca/le-soleil/opinions/points-de-vue/201704/17/01-5089150-srb-et-desinformation.php
    En consultant le site de l’Institut de développement urbain du Québec, je me suis aperçu qu’il y avait une vidéo sur Québec 2050 où on voit un plan du SRB dont le tracé inclut à la fois Charest et René-Lévesque (0:12 sec) : https://www.youtube.com/watch?v=z84suBbAPcA

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    • Jean Cazes

      19 avril 2017 à 08 h 05

      Merci pour la référence! Et laissez-moi vous dire que « cette pensée unique » construite à coups de « fakes news » aura un impact considérable sur les enjeux des prochaines élections municipales :

      « (…) Foncièrement de droite et généralement pointilleux sur les dépenses publiques, ces animateurs – sans compter les députés de la CAQ – semblent soudainement préférer qu’on engouffre près de cinq milliards $ de deniers publics à construire un nouveau lien routier qui sera congestionné dans moins de 10 ans plutôt qu’à peine 1,5 milliard $ dans un projet de transport structurant qui désengorgera les routes – et qui améliorera le sort de leurs auditeurs quotidiennement coincés dans le « trafic » – pendant plusieurs décennies. »

      Pendant ce temps, à Portland, en Europe…

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      • Michel Haineault

        19 avril 2017 à 10 h 54

        J’ai vécu dans trois villes avant de venir m’établir ici. J’ai aussi beaucoup voyagé. Nulle part ai-je entendu des animateurs de radio en mener aussi large. Ces gens prennent en otage une partie de l’électorat en alimentant leurs frustrations des pires bassesses qu’on puisse imaginer. Ils crachent sans gêne leur mépris envers les plus vulnérables de la société. Ils le font aussi envers les cyclistes, les gauchistes, les écolos, les musulmans, et les filles aux gros seins qu’ils ne peuvent se taper. Le simple fait de ne pas partager leur point de vu justifie selon eux ce mépris et cette réaction en public. Le problème n’est pas qu’ils soient pour ou contre tel ou tel projet. Le problème est dans la façon de le faire savoir.
        Je me sens dégoûté ce matin par ce que j’ai appris hier soir. Si Québec est pour faire de même et abandonner le SRB, il va être temps pour moi de plier bagage. Il n’est pas vrai que je vais vivre dans une ville qui se laisse dicter sa ligne de conduite par quelques petits manipulateurs volubiles dont les auditeurs se sont fait dire récemment qu’ils devraient frapper les cyclistes qui roulent en hiver. Au maire Labeaume maintenant de nous montrer ce qu’il a dans le ventre et de faire en sorte qu’on ne devienne pas la risée de toutes les autres villes canadiennes. Qu’on ne donne pas raison aux quelques Montréalais qui voient encore Québec comme un gros village de colons.

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  21. Michel Haineault

    18 avril 2017 à 22 h 44

    Le nom de Gilles Lehouillier trônera au sommet du panthéon des maires les plus insignifiants de toute l’histoire municipale du Québec…

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      18 avril 2017 à 23 h 08

      De par cette décision de Lévis, il y a trois conséquences. A) Le budget prévu pour Lévis vient de partir pour Québec. Souhaitons-le B) Il n’y aura jamais fusion entre Lévis et Québec C) Il est temps que le maire de Québec se lance dans une campagne de promotion du SRB tout comme il l’avait fait pour le Centre Vidéotron, ce qui lui a évité un référendum.

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      • Michel Haineault

        18 avril 2017 à 23 h 39

        Vous en oubliez une : D) Les poules vont avoir des dents avant qu’il n’y ait un 3e lien dans l’est. Si 600 millions, c’est trop cher; imaginez 6 milliards… Il n’est vraiment pas très malin ce Lehouillier.

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      • Insider

        18 avril 2017 à 23 h 45

        En fait le budget part pour d’autres villes, Québec, Montréal et biens d’autres villes canadiennes. Prions pour que les citoyens de Lévis aient une exemption d’impôts sinon il seront de très bons invités pour nos dîners`dans la plus pure tradition française. ;-)

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