Simon Boivin
Le Soleil
(Québec) La décrépitude d’immeubles patrimoniaux découle de l’intransigeance et des taxes de la Ville de Québec, et non pas de la négligence des propriétaires, dénonce un hôtelier de la Grande Allée.
Gaétan Drolet a pignon sur rue sur la Grande Allée depuis 42 ans. Il détient l’hôtel Relais Charles-Alexandre, à l’angle de la rue Galipeault.
La volonté de la Ville d’exproprier un de ses voisins, le propriétaire de la maison Pollack, un bâtiment à valeur patrimoniale «supérieure», l’indigne. À son avis, Québec va perdre de l’argent en procédant de la sorte.
«Cette maison-là a été à vendre pendant quatre ans avant que M. [Stevens] Coulombe l’achète, lance M. Drolet. Tous les entrepreneurs de Québec l’ont regardée. C’est impossible de la rénover à moins de perdre de l’argent. C’est pour ça que personne ne l’a achetée. Sauf M. Coulombe, en pensant faire changer le zonage.»
28 juillet 2017 à 11 h 10
Ça ressemble au dossier Louis Lessard et l’église.
L’UPAQ aurait probablement intérêts à faire une visite à l’accent d’Amérique.
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28 juillet 2017 à 15 h 37
Moi aussi je pourrais témoigner de certaines choses mais considérant les risques encourus, je préfère me taire.
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