Moi ce qui m’inquiète pas mal plus c’est le Airbnb. La localisation m’intéressait grandement malgré les prix élevés.
Le Airbnb m’a fait oublié le projet car selon moi, si il faut revendre la valeur ne sera pas à la hausse quand ce sera connu ce que font les fêtards de Airbnb. Tous les projets qui n’interdisent pas le Airbnb sont exclus dans mon cas. Comme par hasard c’est le genre de détails qui sont omis par certains bureaux de ventes.
Votre propos sont remplis de préjugés et démontrent votre profonde méconnaissance de cette plateforme.
La grande majorité des clients d’Airbnb sont des gens respectueux. Aussi, le locateur a le loisir d’accepter ou de refuser des clients sur la base des commentaires formulés par d’autres sur le site.
De plus, ceux qui utilisent les services d’Airbnb sont des gens qui n’auraient pas les moyens de se loger dans un hôtel avec une cuisinette au Centre-Ville. C’est pratique de pouvoir se faire à manger et de ne pas avoir à dépenser une fortune au restaurant.
Quant aux voisins et autres résidents de l’immeuble, c’est certain que le va-et-vient d’inconnus peut déranger.
Sans cette possibilité d’hébergement (avec ses qualités et ses défauts), plusieurs ne pourraient pas se permettre de voyager et de visiter notre belle ville.
«Votre propos est rempli de préjugés et démontre votre profonde méconnaissance de cette plateforme.»
Ça n’en prend pas plusieurs pour faire des dommages à la réputation d’un immeuble.
Dans votre belle banlieue, avez-vous eu à subir les ontariens en «spring break»?
Il y a eu plusieurs reportages sur ce sujet à télévision. Vous pouvez vous plaindre de reportages «remplis de préjugés» à la SRC et à CBC – entre autres – qui ont fait des reportages sur le sujet. Une constante semble ressortir dans ce qu’il y avait dans ces reportages, c.-à-d. la localisation. Les fêtards semblent bien apprécier les condos ou logements au Centre-Ville ou près de lieux où l’on peut faire du ski.
Airbnb dans certains lieux où le pourcentage d’utilisation est limité oui. Là où on investit clairement avec le but d’offrir du Airbnb dans des condos ou logements dans des tours ou lorsque la densité est grande pour moi c’est non merci!
Un peu partout dans le monde, les villes, la société civile et, il faut bien le dire, l’industrie touristique essaient de s’adapter et de contre-attaquer pour encadrer et contenir le phénomène. Plusieurs raisons amènent les autorités à agir.
Certaines mettent de l’avant un discours plutôt économique et fiscal. L’enjeu est alors de ne pas perdre de recettes fiscales et de mettre le site et ses usagers et usagères à égalité avec l’industrie touristique qui, elle, est encadrée et taxée. Plusieurs villes ont introduit des taxes visant le site allant de quelques sous la nuit (0,65 euro à Barcelone) à 14 % de la facture (Portland, Oregon). La plupart exige que les usagers s’inscrivent auprès des autorités locales de tourisme et se fassent accréditer.
D’autres villes y vont aussi avec un œil sur la protection du parc de logements locatifs et du caractère résidentiel des quartiers. Barcelone, notamment, a mené une campagne importante pour lutter contre l’hébergement hôtelier illégal en son centre historique. Récemment, la Ville a directement mis Airbnb à l’amende (45 000 $) pour avoir fait la publicité de logements non inscrits au registre de tourisme. Dorénavant, un usager ou une usagère ne pourra offrir plus de deux chambres sur le site, pas plus que quatre mois par an et devra coucher sur place, autrement ça devient de l’hôtellerie. À Paris aussi on tente de protéger les logements : les inspections se multiplient et les amendes sont salées (jusqu’à 40 000 $). Des villes essaient d’encadrer le site, par exemple à San Francisco un usager ou une usagère ne peut mettre une chambre en location plus de 90 jours par an, tandis qu’à New York, le site est forcé de fournir à la Ville les coordonnées des usagers et usagères.»
«De plus, ceux qui utilisent les services d’Airbnb sont des gens qui n’auraient pas les moyens de se loger dans un hôtel avec une cuisinette au Centre-Ville. C’est pratique de pouvoir se faire à manger et de ne pas avoir à dépenser une fortune au restaurant»
Un autre modèle offre ceci:
«Vous êtes logé gratuitement par une personne, la moindre des choses est de faire tout votre possible pour vous adapter à son mode de vie. À votre arrivée, parlez clairement de votre programme et demandez toutes les instructions concernant la maison ou l’appartement. Soyez respectueux et, en partant, laissez bien sûr l’endroit comme vous l’avez trouvé ou encore plus propre ! Il est aussi courant d’apporter un petit cadeau de remerciement (une bouteille de vin, un bouquet de fleurs, un pot de confiture… C’est l’attention qui compte!»
Bien que ce modèle n’exige pas la réciprocité, par expérience, je peux affirmer que l’hôte obtiendra en retour un carnet d’adresses où vous il(elle) sera accueilli avec plaisir dans d’autres villes.
Dans ce modèle le propriétaire ou locateur est présent, ce qui selon moi fait toute la différence.
Tout à fait vrai. Airbnb est devenu une véritable plaie dans le marché immobilier. Des spéculateurs ont envahi le marché ce qui vient compliquer les choses. Outre le prix et la location il faut maintenant accorder autant d’importance aux règlements de l’immeuble concernant ce type d’activité sinon on risque de se retrouver avec une surprise de taille sur les bras.
Je ne connais pas bien les terrains et les rues du secteur.
Je conçois qu’il n’y avait peut-être pas d’autres terrains disponibles sur une rue plus tranquille du secteur. Le prix du terrain est probablement aussi inférieur lorsque situé sur un grand boulevard.
Mon commentaire est plus une réflexion personnelle sur le fait d’habiter sur une grande artère.
J’en ai déjà fait l’expérience, et même si l’on entend pas les voitures lorsqu’on est à l’intérieur, la qualité de vie n’est pas la même.
C’est bien, mais il manque une dizaine d’étages.
Espérons que le projet à l’entrée de Saint-Vallier Ouest se fasse bientôt et soit beaucoup plus en hauteur.
AirBnB je n’ai personnellement pas de problème avec cela.
Bon projet pour un premier achat. Charest n’est pas si bruyant de nuit.
Sur le plan architectural, la seule chose que je déplore est la faible hauteur du rez-de-chaussée. L’édifice a l’air écrapouti. 2-3 pieds de plus auraient contribué à mieux intégrer le projet dans la trame urbaine de St-Roch.
10 octobre 2017 à 17 h 59
Très amusant ce projet.
Le mur de bois m’inquiète surtout avec les voitures/autobus qui circulent si près. Ça ne peut pas être pire que les projets de GM.
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10 octobre 2017 à 19 h 25
Moi ce qui m’inquiète pas mal plus c’est le Airbnb. La localisation m’intéressait grandement malgré les prix élevés.
Le Airbnb m’a fait oublié le projet car selon moi, si il faut revendre la valeur ne sera pas à la hausse quand ce sera connu ce que font les fêtards de Airbnb. Tous les projets qui n’interdisent pas le Airbnb sont exclus dans mon cas. Comme par hasard c’est le genre de détails qui sont omis par certains bureaux de ventes.
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15 octobre 2017 à 08 h 29
Les fêtards d’Airbnb?
Votre propos sont remplis de préjugés et démontrent votre profonde méconnaissance de cette plateforme.
La grande majorité des clients d’Airbnb sont des gens respectueux. Aussi, le locateur a le loisir d’accepter ou de refuser des clients sur la base des commentaires formulés par d’autres sur le site.
De plus, ceux qui utilisent les services d’Airbnb sont des gens qui n’auraient pas les moyens de se loger dans un hôtel avec une cuisinette au Centre-Ville. C’est pratique de pouvoir se faire à manger et de ne pas avoir à dépenser une fortune au restaurant.
Quant aux voisins et autres résidents de l’immeuble, c’est certain que le va-et-vient d’inconnus peut déranger.
Sans cette possibilité d’hébergement (avec ses qualités et ses défauts), plusieurs ne pourraient pas se permettre de voyager et de visiter notre belle ville.
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16 octobre 2017 à 16 h 05
«Votre propos est rempli de préjugés et démontre votre profonde méconnaissance de cette plateforme.»
Ça n’en prend pas plusieurs pour faire des dommages à la réputation d’un immeuble.
Dans votre belle banlieue, avez-vous eu à subir les ontariens en «spring break»?
Il y a eu plusieurs reportages sur ce sujet à télévision. Vous pouvez vous plaindre de reportages «remplis de préjugés» à la SRC et à CBC – entre autres – qui ont fait des reportages sur le sujet. Une constante semble ressortir dans ce qu’il y avait dans ces reportages, c.-à-d. la localisation. Les fêtards semblent bien apprécier les condos ou logements au Centre-Ville ou près de lieux où l’on peut faire du ski.
Airbnb dans certains lieux où le pourcentage d’utilisation est limité oui. Là où on investit clairement avec le but d’offrir du Airbnb dans des condos ou logements dans des tours ou lorsque la densité est grande pour moi c’est non merci!
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16 octobre 2017 à 16 h 39
Extrait d’un article publié par le com pop SJB:
«Contre-offensive internationale
Un peu partout dans le monde, les villes, la société civile et, il faut bien le dire, l’industrie touristique essaient de s’adapter et de contre-attaquer pour encadrer et contenir le phénomène. Plusieurs raisons amènent les autorités à agir.
Certaines mettent de l’avant un discours plutôt économique et fiscal. L’enjeu est alors de ne pas perdre de recettes fiscales et de mettre le site et ses usagers et usagères à égalité avec l’industrie touristique qui, elle, est encadrée et taxée. Plusieurs villes ont introduit des taxes visant le site allant de quelques sous la nuit (0,65 euro à Barcelone) à 14 % de la facture (Portland, Oregon). La plupart exige que les usagers s’inscrivent auprès des autorités locales de tourisme et se fassent accréditer.
D’autres villes y vont aussi avec un œil sur la protection du parc de logements locatifs et du caractère résidentiel des quartiers. Barcelone, notamment, a mené une campagne importante pour lutter contre l’hébergement hôtelier illégal en son centre historique. Récemment, la Ville a directement mis Airbnb à l’amende (45 000 $) pour avoir fait la publicité de logements non inscrits au registre de tourisme. Dorénavant, un usager ou une usagère ne pourra offrir plus de deux chambres sur le site, pas plus que quatre mois par an et devra coucher sur place, autrement ça devient de l’hôtellerie. À Paris aussi on tente de protéger les logements : les inspections se multiplient et les amendes sont salées (jusqu’à 40 000 $). Des villes essaient d’encadrer le site, par exemple à San Francisco un usager ou une usagère ne peut mettre une chambre en location plus de 90 jours par an, tandis qu’à New York, le site est forcé de fournir à la Ville les coordonnées des usagers et usagères.»
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16 octobre 2017 à 17 h 16
«De plus, ceux qui utilisent les services d’Airbnb sont des gens qui n’auraient pas les moyens de se loger dans un hôtel avec une cuisinette au Centre-Ville. C’est pratique de pouvoir se faire à manger et de ne pas avoir à dépenser une fortune au restaurant»
Un autre modèle offre ceci:
«Vous êtes logé gratuitement par une personne, la moindre des choses est de faire tout votre possible pour vous adapter à son mode de vie. À votre arrivée, parlez clairement de votre programme et demandez toutes les instructions concernant la maison ou l’appartement. Soyez respectueux et, en partant, laissez bien sûr l’endroit comme vous l’avez trouvé ou encore plus propre ! Il est aussi courant d’apporter un petit cadeau de remerciement (une bouteille de vin, un bouquet de fleurs, un pot de confiture… C’est l’attention qui compte!»
Bien que ce modèle n’exige pas la réciprocité, par expérience, je peux affirmer que l’hôte obtiendra en retour un carnet d’adresses où vous il(elle) sera accueilli avec plaisir dans d’autres villes.
Dans ce modèle le propriétaire ou locateur est présent, ce qui selon moi fait toute la différence.
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13 octobre 2017 à 15 h 31
Tout à fait vrai. Airbnb est devenu une véritable plaie dans le marché immobilier. Des spéculateurs ont envahi le marché ce qui vient compliquer les choses. Outre le prix et la location il faut maintenant accorder autant d’importance aux règlements de l’immeuble concernant ce type d’activité sinon on risque de se retrouver avec une surprise de taille sur les bras.
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13 octobre 2017 à 17 h 05
Perso j’habiterais pas un appart situé sur une grande artère comme Charest.
Dommage que le projet ne soit pas sur une rue tranquille.
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13 octobre 2017 à 17 h 21
Laquelle dans ce secteur ? Connaissez-vous un terrain où ce projet était possible ? Merci
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14 octobre 2017 à 17 h 58
Je ne connais pas bien les terrains et les rues du secteur.
Je conçois qu’il n’y avait peut-être pas d’autres terrains disponibles sur une rue plus tranquille du secteur. Le prix du terrain est probablement aussi inférieur lorsque situé sur un grand boulevard.
Mon commentaire est plus une réflexion personnelle sur le fait d’habiter sur une grande artère.
J’en ai déjà fait l’expérience, et même si l’on entend pas les voitures lorsqu’on est à l’intérieur, la qualité de vie n’est pas la même.
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14 octobre 2017 à 21 h 41
C’est bien, mais il manque une dizaine d’étages.
Espérons que le projet à l’entrée de Saint-Vallier Ouest se fasse bientôt et soit beaucoup plus en hauteur.
AirBnB je n’ai personnellement pas de problème avec cela.
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15 octobre 2017 à 17 h 46
Bon projet pour un premier achat. Charest n’est pas si bruyant de nuit.
Sur le plan architectural, la seule chose que je déplore est la faible hauteur du rez-de-chaussée. L’édifice a l’air écrapouti. 2-3 pieds de plus auraient contribué à mieux intégrer le projet dans la trame urbaine de St-Roch.
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