Lors du colloque sur la sécurité routière qui s’est tenu en fin de semaine, Monsieur Fabrice Magnier, chef du centre de gestion du trafic (Bordeaux Métropole, France) nous a présenté ce qui peut sembler être un projet audacieux pour des nord-américains, soit le retrait des « carrefour de feux ».
Un exemple: devant une école, un passage piétonnier. Les automobilistes n’y respectaient pas le feu de circulation. Solution ? On enlève le feu de circulation. Mais on rétrécit la voie de circulation à l’approche de l’endroit de sorte qu’un seul véhicule peut le franchir. Résultat ? Les enfants traversent maintenant sans craindre qu’un automobiliste brûle le feu rouge.
16 avril 2018 à 12 h 40
Dans les quelques villes de pays en développement que j’ai visitées en Amérique du sud, il y avait également peu de feu de circulation. Qui plus est, il y avait peu d’aménagement en général.
Mes observations m’ont fait réaliser que la rue, dans sa plus simple expression, constitue tout au moins un lieu où les différents utilisateurs sont contraints de communiquer et s’entendre.
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